Encore une journée comme les autres au bureau. Voilà quelques minutes que tu laisses ton esprit errer en imaginant ton week-end qui approche lentement. Tu regardes l’horloge, effarée de constater qu’il est à peine plus de 10h30. Décidément cette journée n’en finira jamais.
Le facteur entre et dépose à ton intention un petit colis sur ton bureau. Tu ne reçois que très peu de colis au bureau. Tu l'ouvres machinalement, et plonge la main à l’intérieur pour en sortir le contenu. Ta main saisit un premier objet que tu extraits de la boîte. Un rasoir… Tu remarques également une bombe de mousse à raser dans la boîte. Surprise, tu restes quelques secondes à fixer le fond du carton, le rasoir dans ta main, la bouche entrouverte. Puis tu prends conscience de la situation et tu replonge immédiatement le rasoir dans l’emballage tout en regardant, gênée, si l’une de tes collègues t’a vu. Apparemment pas. Tu déplie le papier glissé dans le carton et y lis les mots suivants :
« Ma chère, ce soir nous allons passer une soirée à tes dépens. Mais pour cela, il faut te préparer. Prends le carton et son contenu et va immédiatement te raser intégralement. Lorsque ce sera fait, envoie-moi une photo. FenX »Ce message te laisse sans voix, voilà plusieurs jours que nous ne nous étions pas contactés et voilà ce colis qui arrive et annonce une soirée agitée. Mais plus étonnant encore ; ma requête. Le lieu ne s’y prête pas vraiment, les WC ne sont pas l’endroit le plus optimal pour faire cela. Mais d’un autre côté, ça rend ce vendredi ennuyeux beaucoup plus intéressant. Tu prends le carton et te dirige vers les toilettes l’air de rien. Tu entres dans les WC réservés aux handicapés, ils sont plus spacieux et surtout plus calmes. Tu retires ta jupe puis ton string et t’installes tant bien que mal. Tu étale la mousse sur ta toison et commence à faire glisser la lame du rasoir entre tes cuisses, lentement, appliquée. Tu rase le moindre poil présent, ta jolie toison n’est rapidement plus qu’un souvenir. Après avoir rincé l’excédent de mousse, tu te redresse face au miroir et y observe ton pubis entièrement rasé d’un œil satisfait. Tu t’empresses de prendre une photo et de me l’envoyer comme demandé puis de t’habiller et de ranger le tout dans le carton avant de rejoindre ta place de travail comme si de rien n’était. A peine assise tu reçois un SMS en réponse à ta photo.
« Rends-toi à nouveau aux WC des femmes, 2ème cabine, laisses-y ton string sur la chasse d’eau et retourne à ton bureau. Reste dans cette tenue jusqu'après le repas de midi !».Personne dans le bureau ne te voit te lever à nouveau. Tu entres dans les WC, pénètre dans la 2ème cabine et retire ton string. Tu grimpe sur la cuvette pour le déposer sur la chasse d’eau comme demandé avant de retourner à ta place de travail. Tu me retourne le SMS
« Voilà Monsieur, c’est fait ».Je te réponds simplement
« Très bien, à ce soir et bonne journée. ».Tu ne peux t’empêcher d’être gênée par ta tenue, tu sers les cuisses toute la journée, convaincue que tout le monde sait ce que tu caches sous ta jupe. Après dîner, tu retournes, soulagée, aux WC pour y récupérer ton string afin de le remettre. Dressée de tout ton long sur la cuvette des toilettes, ta main parcours aveuglément le dessus de la chasse d'eau. Plus rien!!! Tu constates avec stupeur qu’il n’y est plus ! Quelqu’un l’a pris. Est-ce moi ? Une collègue ? L’après-midi ne sera qu’un long supplice de honte et de gêne.
Durant l'après-midi, l'un des apprentis de ton entreprise entre dans le bureau et commence à vider les différentes corbeilles à papier disposées un peu partout. Ce travail ingrat est réservé aux apprentis depuis des années... Absorbée par ton travail, tu reviens soudainement sur terre lorsque ton regard, errant dans le vide à la recherche d'une idée, croise le visage écarlate du jeune homme accroupit à côté du bureau en face de toi, un sac poubelle dans la main. Tu réalise alors que tes jambes sont décroisées et que du coup, tu comprends immédiatement la raison de sa gêne ainsi que la cause de son érection se dessinant sous son jean... Tu croise instantanément tes jambes, morte de honte, tentant de dissimuler ce sentiment. Tu sens tes joues rougirent et ton coeur battre de plus en plus fort. Tu n'ose imaginer ce qu'il doit penser de toi. Tu occuperas le reste de l'après-midi à tant bien que mal en attendant désespérément la relaxe.
Lorsque l’horloge indique 16h55, tu te réjouis à l’idée que ta souffrance est bientôt terminée. C’est à ce moment que parviens un nouveau SMS :
« Hôtel habituel, chambre 31, 17h30. FenX ».
30 minutes pour s’y rendre ?! Il ne faudra vraiment pas traîner en chemin. A peine l’horloge indique 17h00 que tu te lèves et t’empresse de partir en direction de l’hôtel. Dans le bus, tu es particulièrement mal à l’aise, ta jupe n’est pas aussi longue que ce que tu souhaiterais en de pareilles circonstances. Tu sens l’air frais s’engouffrer entre tes cuisses, ce qui te rend écarlate. Enfin l’hôtel est à vue, tu regardes ta montre, 17h28 ! A peine les portes ouvertes, que tu bondis hors du bus, et fonce en direction de l’hôtel. Tu salues vaguement le réceptionniste, récupère la clef de la chambre et te hâte vers l’ascenseur. Te voilà enfin devant la chambre, 17h36 ! Ça va barder penses-tu. Tu entres dans la chambre. Je ne suis pas encore là, ouf te dis-tu. C’est alors que tu remarques le carton sur le lit avec un mot :
« Tu es en retard ! Attends-moi dans la position d’attente habituelle, nue sur le sol, face à la porte. Tu as 10 minutes. N’ouvre pas le carton ».Tu te déshabille aussitôt, puis tu te diriges vers le centre de la chambre selon mes indications et t’installe dans ta position d’attente, nue. A genou, genoux écartés, les mains dans le dos, la tête baissée. Tu te souviens l’apprentissage de cette position, tu étais resté ainsi pendant près de trois heures un soir, à chaque fois que je le souhaitais, je présentais mon sexe bien raide devant ta bouche et t’ordonnais de me sucer dans cette position. Tu avais passé ta soirée à sucer. Ces soirées se répétaient régulièrement, avec toujours ce même traitement. Depuis, cette position ne te gène plus. Les souvenirs de ces soirées et de la journée en cours te provoque une douce vague de chaleur. Immobile, tu essaie d’imaginer le contenu de la boîte sur le lit, lorsque la porte s’ouvre lentement. J’apparais dans l’encadrement de la porte et y reste quelques secondes, admirant ta dévotion laissant la porte ouverte. Les yeux baissés, tu ne vois que le bas de l’entrée et prie pour que personne ne passe dans le couloir à cet instant. Je finis par entrer en fermant la porte.
- « Bonjour»
- « Bonjour Monsieur »
- « Alors tu as aimé mon colis ? »
- « Oui Monsieur, merci. »
- « J’ai trouvé ça, je crois que ça t’appartient. » te dis-je en balançant ta culotte devant ton visage.
- « Oui Monsieur » dis-tu en rougissant, comprenant que j'étais venu la récupérer sur ton lieu de travail.
Je m’agenouille à côté de toi et glisse une main entre tes cuisses en insistant sur ton clito. J’agite ma main rapidement et j’écoute tes gémissements m’indiquant que le traitement en question n’est pas pour te déplaire.
- « Ta chatte est bien plus jolie rasée ainsi »
- « Heureuse qu’elle vous plaise Monsieur » me réponds-tu en gémissant
J’arrête brutalement de te caresser et me redresse devant toi, déboutonne mon pantalon et présente ma queue bien raide devant ta bouche qui s’entrouvre aussitôt. Je l’y engouffre rapidement et tu commences à la sucer avec application, toujours à genou sur le sol. Tout en faisant de long va-et-vient dans ta bouche, je te dis alors :
- « Tu étais en retard ce soir ! Ce ne sera pas sans conséquence. »
Cette remarque t’inquiète. Tu sens ma queue gonfler encore plus. Elle glisse encore de longues minutes entre tes lèvres, puis, au moment de jouir, je la ressors et me masturbe face à toi. De longs jets jaillissent sur ta poitrine avant que ma queue ne replonge dans ta bouche. Tu avales les dernières gouttes pour la nettoyer, habituée à un tel traitement.
- « Bien, maintenant passons à ta punition ». Lèves-toi et va ouvrir le carton sur lit. »
Tu t’exécutes et tu te diriges vers la boîte, nue, les seins souillés. Tu l’ouvre et y découvre des vêtements. Un petit top, une mini-jupe, des bas et des talons.
- « Vas te laver, puis habille toi ! »
Tu constates qu’il n’y a aucun sous-vêtement. Tu te diriges donc vers la salle-de-bains et t’exécute. Une fois habillée, tu ressors pour te présenter à moi. Sans sous-vêtement, tu te sens horriblement exhibée dans cette tenue. La mini-jupe remonte au moindre mouvement, risquant à tout moment de dévoiler ta chatte nue et lisse . Quant à tes tétons, ils s’exhibent clairement au travers du top. J’observe le spectacle en me régalant.
- « Maintenant mets-toi à genoux, fesses en l’air et visage contre le sol »
Tu sens ma langue se balader sur tes fesses, entre tes cuisses et glisser lentement vers ton petit trou. Tu frissonnes à ces caresses sans pour autant oser bouger. Je prends alors le carton sur le lit et en fouillant à l'intérieur en sors un petit plug que tu n'avais pas remarqué.
- « La prochaine fois tu seras à l’heure. »
- « Oui Monsieur, je vous le promets.»
Je dépose une grosse gorgée de salive entre tes fesses et dirige le tout à l’aide du plug en direction de ton cul. Une fois sur ton petit trou, je commence à y enfoncer lentement le plug. Tes soupirs de douleurs ne m’empêchent pas de continuer lentement. Au moment où il entre complètement en toi, tu lâche un petit cri. Je prends alors une corde et la passe autour de ta taille puis entre les lèvres de ta chatte avant de remonter entre tes fesses, te fabrique ainsi un string qui maintient le plug en place.
- « Bien, lève-toi maintenant »
Tu obéis et te tiens droite devant moi. Le plug comme incrusté dans ta chair.
- « Très bien, maintenant allons boire quelque chose »
Tu me regarde, le regard suppliant.
- « Monsieur, je… »
- « Stop ! La prochaine fois tu seras à l’heure » te dis-je aussitôt.
- « Très bien Monsieur »
Tu me suis, le visage terrorisé. Chaque pas engendre de violents spasmes dans ton bas ventre. La corde frottant sur ta chatte à chaque mouvement ne facilite pas les choses. Tu te vois au passage dans l’un des miroirs du hall de l’hôtel et comprends pourquoi les gens te dévisagent tous. Ta tenue est extrêmement provocante et ta poitrine pointe vulgairement au travers de ton petit top blanc moulant. Tu enfuis la tête dans tes épaules, morte de honte.
Nous traversons la rue et entrons dans un café à moitié plein. La quasi-totalité des personnes t’observent lorsque l’on entre. Nous nous dirigeons vers une table dans le fond. Tout en tirant ta chaise, je t’ordonne de t’y asseoir.
Le fait de t’asseoir enfonce le plug au plus profond de toi et tu ne peux retenir un petit soupir. Tu te rends alors compte que tu fais face à l’ensemble des clients du café. Tu sens que ta jupe arrive à peine à mi-cuisse et ne permet même pas de masquer le haut de tes bas.
- « Interdiction de croiser les jambes et conserve en permanence un espace de 20 cm au minimum entre tes genoux »
Tu m’observe, le regard suppliant, avant de capituler, le visage rouge écarlate de honte. Alors que nous buvons notre consommation, le plug au plus profond de ton cul et la corde glissant entre tes lèvres et écrasant ton clito commencent à faire leur effet. Tu prends conscience de la situation, habillée de manière ultra provocante, sans sous-vêtements, un plug enfoncé dans l’anus, une simple corde qui commence à être imbiber entre tes cuisses en guise de seul dessous et ta petite chatte imberbe exposée aux yeux de tous. Tu remarques même les regards salaces de certains hommes présents accompagnés d’une bosse dans leur pantalon qui en dit long sur leurs intentions à ton égard. Une femme te regarde même en souriant.
Après une trentaine de minutes, tu entends enfin ces mots tant attendus sortir de ma bouche:
- « Très bien, allons-nous en maintenant »
Tu me regarde, soulagée, et me suis comme à ton habitude, les mains croisées sur ton bas ventre et la tête baissée. La corde est maintenant trempée et le plug qui remue dans ton cul au moindre mouvement commence à te faire lâcher prise. Nous nous dirigeons vers l’hôtel et arrivé au niveau de l’ascenseur, tu constates avec effroi que je décide de prendre les escaliers. Trois étages dans cet accoutrement et avec ces talons vertigineux ? Chaque marche accentue encore l’excitation et arrivé à mi-chemin tu ne peux plus masquer tes soupirs. Voyant cela, je soulève ta jupe, te plaque contre le mur et te caresse le clito en agitant la corde t’arrachant un orgasme violent que tu ne peux contenir en à peine deux minutes. Tes cris raisonnent dans la cage d’escalier. Immédiatement nous poursuivons notre ascension et l’intérieur de tes cuisses est littéralement inondé. Tes jambes tremblantes rendent les marches suivantes encore plus difficiles. Nous arrivons enfin dans la chambre. Je te retire la corde, trempé et observe ta chatte inondée.
- « Retire ta jupe et ton top et appuie toi face à la fenêtre, main contre la vitre et relève les fesses.»
- « Bien Monsieur »
Il ne te reste plus que les bas, les talons et le plug lorsque tu t’appuies contre la fenêtre. Elle donne face à un immeuble et tu comprends que les voyeurs d’en face n’en perdront pas une miette… Tu entends alors mes vêtements tomber sur le sol puis sens ma queue bien durcit se présenter à l’entrée de ta chatte et s’y engouffrer d’une traite. Chaque contact fait également bouger le plug toujours dans ton cul. Bientôt tu sens un second orgasme arriver et lorsque tu remarques l’homme dans l’immeuble d’en face qui se masturbe en t’observant, tu ne peux le retenir. Un long cri s’échappe. Essoufflée, le visage écrasé contre la vitre, tentant de reprendre tes esprits au milieu d'un nuage de buée, tu sens ma queue quitter ta chatte. Je retire le plug de ton cul. Tu te sens libérée, enfin. J’ouvre tes fesses pour observer ton anus, dilaté.
- « Je vois que tu as même rasé cette partie-là, c’est très bien »
- « Oui Monsieur »
Je pose mon gland à l’entrée de ton cul et commence à entrer lentement. Ma queue trempée par ta jouissance ne rencontre aucune difficulté à entrer dans ton cul. Tu n’as même pas opposé de résistance, sachant que la punition serait encore pire. Je commence de longs mouvements de va-et-vient et accélère progressivement. Tes cris de douleurs et de plaisirs doivent se faire entendre jusque dans plusieurs chambres aux alentours. Juste en face, une jeune femme te regarde, fumant nonchalamment sa cigarette sur son balcon, l'oeil lubrique. Après quelques longues minutes, je finis par jouir. Remplissant ton cul de mon plaisir. Ressortant ma queue, je t’ordonne de te retourner, de te pencher en avant, d’écarter tes fesses pour montrer ton petit trou aux voisins voyeurs. Une douche plus tard, nous nous autorisons un petit souper dans un restaurant non loin de là.
A la fin de la soirée, me demandant la permission de rentrer chez toi, je réponds d'un non ferme et en profite pour te glisser à l’oreille :
- « Ce n’est pas terminé, j’ai réservé la chambre jusqu’à demain… Je te réserve encore quelques surprises. »…
Et c’est ainsi que ce vendredi qui s’annonçait banal le matin même prenait une nouvelle dimension…