mercredi 10 avril 2013

[Fiction] Besoin de changer d'air


Voilà maintenant près de 10 jours que tu as décidé de franchir le pas. Après plusieurs discussions sur le web, nous avons finalement fixé les différentes conditions de ton viol simulé. Tu as retourné un « contrat » afin d’affirmer que l’événement en question sera effectué avec ton consentement et tu m’as également transmis toutes les informations que je souhaitais. Tes coordonnées, tes horaires, tes habitudes, ton adresse, etc…
Malheureusement tu ne sais pas à quel moment le viol aura lieu, ni où. Voilà donc maintenant une dizaine de jours que tu sursaute au moindre bruit, que lorsqu’un homme te dévisage, tu te demandes si c’est moi et que le moment est donc venu, car oui, tu ne sais pas de quoi j’ai l’air. Le seul indice en ta possession est une photo de moi torse nu avec le visage flouté. Rien de rassurant et cette angoisse permanente mélangée à l’excitation provoquée instantanément à l’idée que l’heure était venue commence à te peser et t’occupe presque entièrement l’esprit. C’est donc avec la ferme intention de te vider la tête que tu te décides à aller faire un petit jogging dans le bois en bordure de ville.
Cet endroit t’apaise, c’est en quelque sorte ton petit sanctuaire. Le samedi matin, cette partie du bois est extrêmement peu fréquentée et c’est avec plaisir que tu t’y rends lorsque la semaine a été plus éprouvante qu’à l’accoutumé. C’est exactement ce dont tu as besoin aujourd’hui. Tu gares ta voiture à l’entrée de la forêt, constatant que tu y es la seule présente, enfile tes chaussures de courses et procède à quelques petits échauffements avant de retirer ton survêtement.
Tu portes ta tenue de course habituelle, short jaune court et moulant et un petit top rose moulant également. L’air frais du matin mordille ta peau et t’encourage à débuter ta course rapidement pour te réchauffer au plus vite.
Le sol qui défile sous tes enjambés et l’air glacé entrant dans tes poumons à chaque inspiration s’avèrent libérateurs. Les mètres puis bientôt les kilomètres filent à toute allure. Après plus d’une trentaine de minutes, tu entends des cris un peu plus loin sur le sentier. Tu aperçois finalement un homme criant au bord du chemin. A voir la laisse qu’il tient dans sa main droite, il est certainement à la recherche de son chien. Tu ralentis jusqu’à lui pour lui demander si tout va bien, profitant par la même occasion de ce prétexte pour reprendre quelque peu ton souffle. L’homme te regarde, paniqué, demandant si tu as aperçu son chien en venant. Tu réponds par la négative tout en observant les alentours à la recherche de l’animal. Il t’explique que son chien s’est enfuit et qu’à cause de sa jambe il n’arrive pas à grimper le talus. Tu observes discrètement et vois une béquille dans sa main gauche.
« J’ai marché jusqu’ici, mais je n’arrive pas à grimper. Il me semble que j’entends quelque chose… »
Tu lui propose donc de grimper sur le talus pour jeter un rapide coup d’œil à tout hasard. L’homme te remercie chaleureusement et se déplace en boitant pour te laisser passer. Tu commences à grimper la cote et une fois en haut tente de repérer le chien. Soudain tu entends un clappement en contrebas. Tu t’enfonces un peu dans la forêt en direction du bruit. Le bruit semble provenir de derrière un groupement d’arbuste. Les râles de l’animal semblent indiquer que ce dernier est blessé. Tu écartes délicatement les branches pour ne pas effrayer la pauvre bête. Tu découvres alors un magnétophone. Avant d’avoir réalisé, une main surgit derrière toi et plonge sur ta bouche pendant qu’une seconde t’agrippe autour du buste, maintenant tes bras collés à ton corps. Tout est allé si vite que tu n’as pas eu le temps de réagir.
Tu te retrouves plaquée au sol. Le contact avec les feuilles encore glacées par la rosée matinale te donne l’impression de recevoir des décharges dans le corps. Tu tentes de te débattre, mais tu es maintenue au sol. Tu sens rapidement une corde s’enrouler autour de tes poignets et le comprimer fermement. Tu cherches à te délier, mais trop tard. Tu te tortille dans tous les sens pour essayer de te défaire de cette emprise. Tes gémissements étouffés par ma main se stoppent immédiatement lorsque tu aperçois la lame d’un couteau s’approcher de ton visage.
 « Chut, sinon… »
Tu t’arrêtes instantanément, tétanisée par la peur. Cette fois plus aucun doute possible, tu comprends que l’heure est venue. C’est donc moi…
Mes mains te redressent sur tes pieds. Rapidement, ton petit top se retrouve à tes poignets, libérant du même coup ta poitrine. Pour des raisons de confort, tu ne portes jamais de sous-vêtements lorsque tu vas faire du sport. Le froid mélangé à l’excitation durcit immédiatement tes tétons. Puis je glisse lentement ton short le long de tes cuisses, dévoilant peu à peu ta petite chatte entièrement nue. Tu serres les cuisses, gênée, mais en vain et rapidement tu te retrouves entièrement nue, les mains attachées dans le dos. Tu te retournes, cherchant à me cacher ton intimité mais je te plaque aussitôt face à un arbre. L’écorce griffe ta chair. Tu sens alors une seconde corde glisser autour de tes chevilles les liant une à une à chacune des extrémités de la béquille te maintenant de ce fait les jambes grandement écartées.
A peine le temps de te plaindre que te voilà lancer au sol, sur tes genoux. Relevant la tête pour me regarder, tu me vois approchant de ton visage tout en sortant ma queue de mon jean’s. Tu pince les lèvres sachant à quoi t’attendre.
« Ouvre ! »
Tu détourne la tête tout en pinçant encore plus tes lèvres en signe de refus.
Je prends alors une branche posée sur le sol derrière toi. Ne voyant pas ce qui se passe, tu entends uniquement la branche fendre l’air une première fois puis une seconde avant de venir s’écraser sur tes fesses. Un hurlement s’échappe de ta bouche. La branche et les épines de sapin s’y trouvant fait une punition redoutable. Une autre punition et une troisième eu raison de ton refus.
« Stop !!! C’est bon, je vais le faire, mais pitié arrêtez. »
J’observe satisfait tes fesses rougies par les coups avant de venir présenter ma queue devant ta bouche qui l’y enfourne aussitôt avec obéissance.
« Applique toi, si je ne suis pas satisfait tu seras encore punis ! »
Tu suce encore plus fortement, à genoux sur le sol, nue et les mains attachées dans le dos. Ma queue glisse sur ta langue pendant que ma main dirige ta tête. La salive commence à s’écouler de ta bouche, inondant ma bite de plus en plus. Tu subis complètement et le rythme ne te laisse même pas avaler ta salive correctement. De long jet de salive coulent le long de ton menton avant de tomber sur ta poitrine. Je ressors ma queue trempée puis dirige ta bouche vers mes couilles elles aussi trempées. Ma bite s’écrase sur ton visage, le souillant de ta salive. Après quelques minutes je me mets derrière toi, colle un scotch sur ta bouche pour t’empêcher de crier puis je te pousse en avant. Ta joue vient se coller au sol humide et froid pendant que mes mains remontent tes hanches. Mes doigts explorent ta feinte. Tes gémissements étouffés par le ruban adhésif n’ont aucun effet et n’empêchent pas mes doigts de plonger au fond de ta chatte. Je les ressors trempés ! Satisfait, j’y enfonce ma queue d’un violent coup t’arrachant par la même occasion un énorme gémissement. Les jambes toujours écartées par la béquille, tu ne peux rien faire. Tes mains attachées tentent de me repousser, mais en vain. Tu te fais prendre sans rien pouvoir y faire. Les coups sont rapides et violents. J’écarte tes fesses avec mes mains, ouvrant ton petit trou. Ton petit mouvement du bassin en signe de protestation n’a pas grâce à mes yeux et j’ouvre encore plus fortement ton cul tout en observant ta mouille s’écouler de ta chatte complétement inondée. Chaque coup t’arrache un râle  étouffé par le scotch.
Je ressors enfin ma queue, trempée, souillée de ton plaisir inavouable, t’observant fermer les yeux soulagée, pensant le supplice terminé. Jusqu’à ce que tu sentes ma queue se placer entre tes fesses et venir presser contre ton petit trou. Tu soulèves la tête immédiatement en répétant une série de «non ! » que je parviens à comprendre malgré le bâillon. Tes mains tentent de retirer ma queue de cet endroit, mais sans succès et tu sens ma queue forcer le passage et commencer à plonger au fond de ton cul, centimètre par centimètre. Tu fermes les yeux, mais ne parviens pas à retenir les cris de douleurs. En quelques secondes, ma bite est entièrement enfoncée. Commence alors une série de vas et vient interminables. Après plusieurs minutes, tu sens encore le rythme s’accélérer et la situation accompagnée de l’humiliation qu’elle te procure finit par t’arracher de plus en plus de plaisir. Tu finis par avoir un violent orgasme incontrôlable tout en te faisant sodomiser. Sans t’accorder le moindre répit, j’accélère le rythme et la force de mes coups de reins. Après quelques minutes supplémentaires, tu es à bout de force et c’est avec un soulagement inimaginable que tu sens enfon ma queue ressortir de ton cul, le laissant dilaté par le traitement infligé durant tout ce temps. A peine quelques secondes plus tard et tu sens de long jets de sperme s’écraser sur ton cul et entre tes fesses.
Tu t’écroules au sol, exténuée, sentant les liens autours de tes poignets et chevilles se défaire te libérant enfin. Je remets ton short en place en prenant bien soin de ne pas te laisser le temps de nettoyer le sperme sur ton cul. Tu réalises trop tard et comprends que tu vas devoir rentrer ainsi, avec ton cul souillé. A ma demande tu restes ainsi sans bouger durant quelques secondes avant de pouvoir libérer ta bouche et remettre ton top. Lorsque tu te relèves, tu constates que je ne suis plus là. Les jambes tremblantes, tu regagnes péniblement ta voiture avec un sentiment de satisfaction. Tu rentres chez toi en prenant soin d’attacher ton pull de survêtement autour de ta taille pour cacher les traces de souillures marquées sur ton short.
Depuis ce jour, tu m’envoie régulièrement ton planning des jours à venir avec l’espoir, parfois sans succès, que tu seras à nouveau victime d’une telle maltraitance et ce sans savoir quand, où ni comment...
Mais depuis ce jour, une chose est sûre, tu ne vois plus ton « sanctuaire » du samedi de la même façon.