Voilà maintenant près de 10 jours que tu as décidé de franchir
le pas. Après plusieurs discussions sur le web, nous avons finalement fixé les
différentes conditions de ton viol simulé. Tu as retourné un « contrat »
afin d’affirmer que l’événement en question sera effectué avec ton consentement
et tu m’as également transmis toutes les informations que je souhaitais. Tes
coordonnées, tes horaires, tes habitudes, ton adresse, etc…
Malheureusement tu ne sais pas à quel moment le viol aura
lieu, ni où. Voilà donc maintenant une dizaine de jours que tu sursaute au
moindre bruit, que lorsqu’un homme te dévisage, tu te demandes si c’est moi et
que le moment est donc venu, car oui, tu ne sais pas de quoi j’ai l’air. Le
seul indice en ta possession est une photo de moi torse nu avec le visage
flouté. Rien de rassurant et cette angoisse permanente mélangée à l’excitation
provoquée instantanément à l’idée que l’heure était venue commence à te peser
et t’occupe presque entièrement l’esprit. C’est donc avec la ferme intention de
te vider la tête que tu te décides à aller faire un petit jogging dans le bois
en bordure de ville.
Cet endroit t’apaise, c’est en quelque sorte ton petit
sanctuaire. Le samedi matin, cette partie du bois est extrêmement peu
fréquentée et c’est avec plaisir que tu t’y rends lorsque la semaine a été plus
éprouvante qu’à l’accoutumé. C’est exactement ce dont tu as besoin aujourd’hui.
Tu gares ta voiture à l’entrée de la forêt, constatant que tu y es la seule
présente, enfile tes chaussures de courses et procède à quelques petits
échauffements avant de retirer ton survêtement.
Tu portes ta tenue de course habituelle, short jaune court
et moulant et un petit top rose moulant également. L’air frais du matin
mordille ta peau et t’encourage à débuter ta course rapidement pour te
réchauffer au plus vite.
Le sol qui défile sous tes enjambés et l’air glacé entrant
dans tes poumons à chaque inspiration s’avèrent libérateurs. Les mètres puis
bientôt les kilomètres filent à toute allure. Après plus d’une trentaine de minutes,
tu entends des cris un peu plus loin sur le sentier. Tu aperçois finalement un
homme criant au bord du chemin. A voir la laisse qu’il tient dans sa main
droite, il est certainement à la recherche de son chien. Tu ralentis jusqu’à
lui pour lui demander si tout va bien, profitant par la même occasion de ce prétexte
pour reprendre quelque peu ton souffle. L’homme te regarde, paniqué, demandant
si tu as aperçu son chien en venant. Tu réponds par la négative tout en
observant les alentours à la recherche de l’animal. Il t’explique que son chien
s’est enfuit et qu’à cause de sa jambe il n’arrive pas à grimper le talus. Tu observes
discrètement et vois une béquille dans sa main gauche.
« J’ai marché jusqu’ici, mais je n’arrive pas à grimper.
Il me semble que j’entends quelque chose… »
Tu lui propose donc de grimper sur le talus pour jeter un
rapide coup d’œil à tout hasard. L’homme te remercie chaleureusement et se
déplace en boitant pour te laisser passer. Tu commences à grimper la cote et
une fois en haut tente de repérer le chien. Soudain tu entends un clappement en
contrebas. Tu t’enfonces un peu dans la forêt en direction du bruit. Le bruit
semble provenir de derrière un groupement d’arbuste. Les râles de l’animal
semblent indiquer que ce dernier est blessé. Tu écartes délicatement les
branches pour ne pas effrayer la pauvre bête. Tu découvres alors un magnétophone.
Avant d’avoir réalisé, une main surgit derrière toi et plonge sur ta bouche
pendant qu’une seconde t’agrippe autour du buste, maintenant tes bras collés à
ton corps. Tout est allé si vite que tu n’as pas eu le temps de réagir.
Tu te retrouves plaquée au sol. Le contact avec les feuilles
encore glacées par la rosée matinale te donne l’impression de recevoir des
décharges dans le corps. Tu tentes de te débattre, mais tu es maintenue au sol.
Tu sens rapidement une corde s’enrouler autour de tes poignets et le comprimer
fermement. Tu cherches à te délier, mais trop tard. Tu te tortille dans tous
les sens pour essayer de te défaire de cette emprise. Tes gémissements étouffés
par ma main se stoppent immédiatement lorsque tu aperçois la lame d’un couteau
s’approcher de ton visage.
« Chut, sinon… »
Tu t’arrêtes instantanément, tétanisée par la peur. Cette
fois plus aucun doute possible, tu comprends que l’heure est venue. C’est donc
moi…
Mes mains te redressent sur tes pieds. Rapidement, ton petit
top se retrouve à tes poignets, libérant du même coup ta poitrine. Pour des
raisons de confort, tu ne portes jamais de sous-vêtements lorsque tu vas faire
du sport. Le froid mélangé à l’excitation durcit immédiatement tes tétons. Puis
je glisse lentement ton short le long de tes cuisses, dévoilant peu à peu ta
petite chatte entièrement nue. Tu serres les cuisses, gênée, mais en vain et
rapidement tu te retrouves entièrement nue, les mains attachées dans le dos. Tu
te retournes, cherchant à me cacher ton intimité mais je te plaque aussitôt
face à un arbre. L’écorce griffe ta chair. Tu sens alors une seconde corde
glisser autour de tes chevilles les liant une à une à chacune des extrémités de
la béquille te maintenant de ce fait les jambes grandement écartées.
A peine le temps de te plaindre que te voilà lancer au sol,
sur tes genoux. Relevant la tête pour me regarder, tu me vois approchant de ton
visage tout en sortant ma queue de mon jean’s. Tu pince les lèvres sachant à
quoi t’attendre.
« Ouvre ! »
Tu détourne la tête tout en pinçant encore plus tes lèvres
en signe de refus.
Je prends alors une branche posée sur le sol derrière toi.
Ne voyant pas ce qui se passe, tu entends uniquement la branche fendre l’air
une première fois puis une seconde avant de venir s’écraser sur tes fesses. Un
hurlement s’échappe de ta bouche. La branche et les épines de sapin s’y
trouvant fait une punition redoutable. Une autre punition et une troisième eu
raison de ton refus.
« Stop !!! C’est bon, je vais le faire, mais pitié
arrêtez. »
J’observe satisfait tes fesses rougies par les coups avant
de venir présenter ma queue devant ta bouche qui l’y enfourne aussitôt avec
obéissance.
« Applique toi, si je ne suis pas satisfait tu seras
encore punis ! »
Tu suce encore plus fortement, à genoux sur le sol, nue et
les mains attachées dans le dos. Ma queue glisse sur ta langue pendant que ma
main dirige ta tête. La salive commence à s’écouler de ta bouche, inondant ma
bite de plus en plus. Tu subis complètement et le rythme ne te laisse même pas
avaler ta salive correctement. De long jet de salive coulent le long de ton
menton avant de tomber sur ta poitrine. Je ressors ma queue trempée puis dirige
ta bouche vers mes couilles elles aussi trempées. Ma bite s’écrase sur ton
visage, le souillant de ta salive. Après quelques minutes je me mets derrière
toi, colle un scotch sur ta bouche pour t’empêcher de crier puis je te pousse
en avant. Ta joue vient se coller au sol humide et froid pendant que mes mains
remontent tes hanches. Mes doigts explorent ta feinte. Tes gémissements
étouffés par le ruban adhésif n’ont aucun effet et n’empêchent pas mes doigts
de plonger au fond de ta chatte. Je les ressors trempés ! Satisfait, j’y
enfonce ma queue d’un violent coup t’arrachant par la même occasion un énorme
gémissement. Les jambes toujours écartées par la béquille, tu ne peux rien
faire. Tes mains attachées tentent de me repousser, mais en vain. Tu te fais
prendre sans rien pouvoir y faire. Les coups sont rapides et violents. J’écarte
tes fesses avec mes mains, ouvrant ton petit trou. Ton petit mouvement du
bassin en signe de protestation n’a pas grâce à mes yeux et j’ouvre encore plus
fortement ton cul tout en observant ta mouille s’écouler de ta chatte
complétement inondée. Chaque coup t’arrache un râle étouffé par le scotch.
Je ressors enfin ma queue, trempée, souillée de ton plaisir
inavouable, t’observant fermer les yeux soulagée, pensant le supplice terminé.
Jusqu’à ce que tu sentes ma queue se placer entre tes fesses et venir presser
contre ton petit trou. Tu soulèves la tête immédiatement en répétant une
série de «non ! » que je parviens à comprendre malgré le bâillon. Tes
mains tentent de retirer ma queue de cet endroit, mais sans succès et tu sens
ma queue forcer le passage et commencer à plonger au fond de ton cul,
centimètre par centimètre. Tu fermes les yeux, mais ne parviens pas à retenir
les cris de douleurs. En quelques secondes, ma bite est entièrement enfoncée. Commence
alors une série de vas et vient interminables. Après plusieurs minutes, tu sens
encore le rythme s’accélérer et la situation accompagnée de l’humiliation qu’elle
te procure finit par t’arracher de plus en plus de plaisir. Tu finis par avoir un
violent orgasme incontrôlable tout en te faisant sodomiser. Sans t’accorder le
moindre répit, j’accélère le rythme et la force de mes coups de reins. Après
quelques minutes supplémentaires, tu es à bout de force et c’est avec un
soulagement inimaginable que tu sens enfon ma queue ressortir de ton cul, le
laissant dilaté par le traitement infligé durant tout ce temps. A peine
quelques secondes plus tard et tu sens de long jets de sperme s’écraser sur ton
cul et entre tes fesses.
Tu t’écroules au sol, exténuée, sentant les liens autours de
tes poignets et chevilles se défaire te libérant enfin. Je remets ton short en
place en prenant bien soin de ne pas te laisser le temps de nettoyer le sperme
sur ton cul. Tu réalises trop tard et comprends que tu vas devoir rentrer
ainsi, avec ton cul souillé. A ma demande tu restes ainsi sans bouger durant
quelques secondes avant de pouvoir libérer ta bouche et remettre ton top.
Lorsque tu te relèves, tu constates que je ne suis plus là. Les jambes
tremblantes, tu regagnes péniblement ta voiture avec un sentiment de
satisfaction. Tu rentres chez toi en prenant soin d’attacher ton pull de
survêtement autour de ta taille pour cacher les traces de souillures marquées
sur ton short.
Depuis ce jour, tu m’envoie régulièrement ton planning des
jours à venir avec l’espoir, parfois sans succès, que tu seras à nouveau
victime d’une telle maltraitance et ce sans savoir quand, où ni comment...
Mais depuis ce jour, une chose est sûre, tu ne vois plus ton
« sanctuaire » du samedi de la même façon.