vendredi 28 novembre 2014

[Fiction] Camarade bourgeoise

       Les mains expertes de ton masseur habituel glissent sur ton dos nu. L’huile, au parfum enivrant, te relaxe entièrement. Quel divin moment que celui-ci. Tu apprécie tant le jeudi après-midi pour cette raison. L’un des nombreux avantages d’être une femme entretenue. Ton mari possédant une importante entreprise vous assurant ainsi une situation financière extrêmement confortable, tu n’as pas à travailler et tu dispose donc d’un temps libre conséquent. L’heure s’écoule à une vitesse folle et déjà vient l’heure de quitter la table de massage. Tu enroule la serviette autour de ton corps et rejoins le sauna qui achève de te détendre totalement. Une douche bien chaude et te voilà en train de t’habiller. Tu revêtis ton string noir puis le soutien-gorge assorti. Cet ensemble Chantal Thomas t’a été offert par ton mari il y’a quelques semaines et te sied particulièrement bien. La fine dentelle recouvre légèrement ta peau alors que la faible transparence du string laisse deviner un pubis orné d’une légère toison soignée par ton esthéticienne. Tu dépose délicatement ton pied à la manucure parfaite dans le premier de tes bas que tu déroule soigneusement jusqu’à tes cuisses. Tu fais de même avec l’autre jambe. Ta robe rouge glisse le long de ton corps pour recouvrir tes cuisses et descendre au dessus de tes genoux. Tes chaussures de marque enfilées et après un long passage devant le miroir pour coiffer tes longs cheveux blonds et te maquiller, te voilà enfin prête à quitter le vestiaire. L’hôtesse à l’accueil t’adresse un large sourire accompagné d’un “Bonne fin de journée Madame.” auxquels tu réponds avec un léger hochement de tête. Assise dans ton cabriolet, tu roules en direction de la maison, le soleil caressant ta peau bronzée. 
       Arrivée dans la longue allée de gravier, tu te gare devant votre grande demeure. Tu entre dans la maison et croise la domestique qui a terminé son travail peu de temps avant et attendait ton retour pour pouvoir rentrer chez elle. Tu ne la regarde même pas et lorsqu’elle part enfin en t’indiquant que ton repas du soir se trouve dans le réfrigérateur, tu ouvre largement la fenêtre donnant sur la terrasse et t’y installe avec un verre de vin. Ton mari étant en déplacement à l’étranger, te voilà seule pour la troisième soirée consécutive. Il en rentrera que tôt demain matin. Tu ouvres le courrier tout en buvant le délicieux nectar. Le verre terminé, tu te dirige vers la cuisine pour le remplir à nouveau. Tu dépose ton verre sur l’îlot de la cuisine et monte les escaliers en direction du dressing pour y ranger tes chaussures. Tu redescendes les marches et te dirige à nouveau vers la cuisine pour y récupérer ton verrede vin. En tendant la main pour le saisir, tu vois une carte de visite glissée sous le pied du verre. Tu saisis le morceau de papier et le retourne lentement, les mains tremblantes...




       Ton corps tout entier semble parcouru par une décharge électrique. Tes doigts s’écartent, laissant tomber la carte sur le sol alors que tu recule d’un pas. Tu te retourne et observe la porte de la terrasse restée ouverte. Voici qu’elle est désormais fermée… Puis tu vois ma silhouette avancer lentement en ta direction. Vêtu entièrement de noir et masqué par une cagoule, cette vision te glace le sang et tu t'enfuies immédiatement en courant en direction de l’étage. Tes bas glissent sur le sol et tu évites la chute de justesse à plusieurs reprises alors que tu entends mes pas derrière toi. Tu enjambes les marches deux à deux jusqu’à finir par trébucher sur l’une d’elle. Au moment où tu prends appuis sur tes mains pour te relever, une main agrippe ta cheville et te tire vers le bas de l’escalier.


        “Au secours!!!! A l’aide!”


       Mais hélas pour toi, votre propriété est trop vaste pour espérer qu’un voisin ne puisse entendre tes appels au secours. Ma main gauche enroule ton cou pendant que je remonte ta robe, dévoilant tes fesses dorées et ton string en dentelles.


        “Pitié!”


       J’arrache ton string violemment et plonge mes doigts dans ta chatte. Tu te débats mais à chaque fois, la sentence est la même, tu sens mes mains presser ta gorge et t’empêcher de respirer. Mes doigts continus de fouiller ton intimité durant quelques secondes encore puis tu sens mes doigts quitter ta chatte pour ouvrir la braguette de mon pantalon et libérer ma queue. Tu l’observe par dessus ton épaule, le visage plaqué contre les marches, jaillissant par l’ouverture. Enjambant tes fesses, je pose mon gland entre tes lèvres et commence à l’enfoncer. Ta chatte à peine mouillée souffre. Les mouvements deviennent de plus en plus profonds et tes cris n’y changent rien. Ma seconde main rejoint la première sur ton cou. Tes mains tentent de me repousser mais rien à faire, ton corps plaqué sur l’escalier ne parvient à se dégager alors que mes assauts s’amplifient encore. Tu sens malgré toi la chaleur envahir lentement le creux de tes reins alors que ta chatte commence à se tremper intégralement. Mes coups de queue deviennent de plus en plus violents. Après quelques minutes supplémentaires, un orgasme explose dans ton bas ventre. Les cris raisonnent dans la maison vide…


        “Je vois que tu aimes ça ma petite bourge…”


       Tu baisse le visage, honteuse d’un tel plaisir… Je te retourne alors sur le dos et déchire ta robe. Les lambeaux de tissus ne cachent plus ton corps. Ton soutien-gorge connait le même sort. Mes genoux se posent sur tes bras, les maintenant plaqués alors que mes mains empoignent ta tête. Ma queue se présente devant ta bouche. Tu proteste à l’aide d’un mouvement de la tête que je stoppe net. Je frotte ma queue sur ton visage, y essuyant les traces de ton orgasme. Mon gland se pose contre tes lèvres qui s'entrouvrent aussitôt que je tire ton visage par les cheveux. Je plonge alors fortement ma queue dans ta bouche, maintenant fermement ta tête par les cheveux. Tu avale bien malgré toi ma bite imbibée du goût de ta chatte. Le rythme intense dans ta bouche ne te laisse pas le temps d’avaler la salive et rapidement ma queue et trempée. Je la frotte à nouveau sur ton visage ce qui commence à faire couler ton maquillage… J’enfourne mes couilles dans ta bouche avant d’y replonger ma queue… L’une de mes mains maltraite ta poitrine alors que le rythme endiablé et la profondeur à laquelle j’enfourne ma bite te provoque des haut-le-cœur. Quelques instants plus tard, ma queue ressort et explose sur ton visage. De longs jets de sperme viennent s’écrouler sur tes lèvres et tes joues…


       “Vous avez eu ce que vous vouliez, partez maintenant!”


       Je me relève et reboutonne mon pantalon en t’observant ainsi, souillée au milieu de lambeaux de vêtements ne restant que tes bas intacts, couchée dans l’escalier. Je ramasse ton string déchiré et m’en sert pour essuyer la mouille entre tes cuisse ainsi que le sperme sur ton visage. J’enroule le morceau de tissu trempé et le plonge dans ta bouche que je recouvre aussitôt d’un morceau de cuir qui maintient le tout. Je te retourne et attache tes mains ensembles à l’aide d’une paire de menottes avant d’approcher ma bouche de ton oreille et de te murmurer très lentement:


        “Ce n’était là que le prélude.”


       Tu tentes de marmonner au travers de ce bâillon mais en vain et déjà je te relève et te dirige au bas de l’escalier. Le goût amer de ton string envahit ta bouche. Ce mélange de cyprine et de sperme semble s’ancrer au moindre millimètre de chair. Je te dirige vers le bureau de ton mari… La porte s’ouvre et dévoile une grande pièce dans laquelle sied un grand bureau en cerisier accompagné d’un fauteuil en cuir. Dans le coin opposé se trouvent  un fauteuil et un canapé en velours vert autour d’une table basse assortie au bureau, le tout posé sur un tapis d’orient. Tout y est soigneusement rangé. Je t'agenouilles sur le canapé et attache les menottes au canapé. Une seconde paire vient maintenir ton autre main. Tu m’observe quitter la pièce et revenir quelques instants plus tard avec un grand sac noir. Je le pose derrière toi et en ressort une longue corde qui commence à s’enrouler autour de ton corps tel une araignée tissant sa toile. Tes hanches, tes genoux puis tes chevilles sont rapidement liés au canapé. La corde passant derrière ton cou, ton visage est maintenu plaqué contre le tissu qui déjà laisse apparaître les premières marques de salive que tu ne parviens pas à avaler à cause du bâillon dans ta bouche. En levant les yeux, tu constate que tu fais face à la bibliothèque sur laquelle figurent plusieurs photos où apparaissent ton mari. Tu entends à nouveau que je sors des objets du sac posé au sol. S’en suit alors plusieurs sons métalliques que tu ne parviens pas à identifier. La réponse viendra lorsque tu sentira un objet arrondi venir s’appuyer contre ton vagin. Du coin de l’œil tu parviens à distinguer un support métallique auquel est fixé un objet que tu ne discerne pas… Un petit “clic” et cette boule en silicone se met à délivrer d’intenses vibrations. Tu tentes de te dégager de l’emprise de cet objet, mais les liens sont disposés de façon à t’en empêcher.




       Tu me vois venir m’asseoir sur le fauteuil à côté de toi et t’observer ainsi. Rouge de honte, tu ne peux te cacher et tu ferme les yeux pour tenter d’oublier la situation. Mais les vibrations ne l'interrompent pas et tu sens rapidement ta chatte se tremper à nouveau. Ta respiration accélère et tu essaies en vain de réprimer cet orgasme qui arrive… Tu hurle de plaisir au travers de ton bâillon alors que des vagues de jouissance envahissent ta chatte. Les jambes tremblantes, tu tentes de reprendre tes esprits, mais les vibrations ne cessent. Aucun répit ne t’est donné et lorsque je retire enfin le string dans ta bouche, tu me supplie d’arrêter:


        “Pitié!!! Arrêtez ça !!!!!”


       Ton string trempé tombe sur le canapé si délicat. Le goût toujours ancré dans ta bouche ne semble pas prêt à se dissiper… Je replonge ma main dans le sac et en ressort un gros plug que je pose sur le canapé sous ton visage.


        “Dans ton intérêt, il vaudrait mieux que tu le trempe avec ta salive avant qu’il n’entre dans ton cul d’ici quelques secondes.”


        “Nooooooon pas ça!!!!”


       Mais lorsque j’augmente encore d’un cran le niveau des vibrations entre tes cuisses avant de retourner m’asseoir sur le fauteuil pour t’observer, tu comprends que tes supplications resteront veines. Tu commence alors à laisser timidement s’écouler quelques jet de salive qui tombent maladroitement sur le plug pour la plupart. Les vibrations sont vraiment forte et tu sens ta chatte ruisseler le long de tes cuisses. Tu sens un nouvel orgasme arriver, mais celui-ci semble venir de bien plus loin, plus intense, plus fort. Une explosion de plaisir jaillit entre tes cuisses accompagné de hurlements de plaisir. La cyprine jaillit de ta chatte en longs jets sous tes yeux médusés… Tu ne te savais pas capable d’une telle chose. Complètement en transe la salive s’écoule abondamment de ta bouche et trempe le plug et le canapé. Tu récupère péniblement ton souffle lorsque je viens éteindre les vibrations, enfin… Ton corps tout entier tremble et ta chatte continue de ruisseler le long de tes cuisses. Je saisis le plug noyé sous ta salive et me dirige derrière toi lentement, comme pour faire durer le supplice. Le plug vient se déposer sur ton petit trou tout serré.


        “Nooooooooooo arrêtez !!!!!”


       Tandis que déjà la large pièce commence à forcer l’entrer dans ton cul. Millimètre par millimètre, tu sens ton anus s’ouvrir bien malgré toi alors que tes supplications ne cessent d’implorer ma clémence. Bien que trempé de ta salive, l’objet entre très péniblement et douloureusement. Tu n’es pas habituée à de tels traitements et cela fait bien longtemps que tu ne pratiques plus l’anal. Depuis que tu es avec ton cher mari à vrai dire… Ton cul en feu te torture et lorsque tu sens enfin le plug venir se placer intégralement dans ton anus, tu lâche un râle de soulagement et de douleur. Tu reste immobile, le moindre mouvement étant trop douloureux. Je dispose un second MagicWand qui vient appuyer sur le plug et l’allume. Les vibrations se transmettent dans tout ton corps et tu peines à dissimuler tes cris et la situation empire lorsque j’active les vibrateur plaquer contre ta chatte… Te voilà déjà en train de perdre à nouveau pied et de te laisser abandonner à ces plaisirs. Les vibrations sur ton cul brûlant et tellement rempli te procurent un mélange de sensations particulier. La douleur est importante, l’humiliation de la situation est insoutenable mais l’excitation est si intense… Et que dire des vibrations sur ta chatte qui ruisselle le long de des cuisses. Je me positionne devant toi de l’autre côté du canapé et te présente ma bite dressée. Totalement en transe, tu commence aussitôt à sucer avidement ma bite sans que je n’ai besoin de te le demander. Ma queue gonfle encore sous tant de ferveur. Tes hurlements de plaisirs sont étouffés par ma queue et lorsque l’orgasme suivant approche, je sens ta bouche se refermer fortement autour de ma queue avant d’entendre un hurlement raisonner durant plusieurs secondes. Je retire ma queue et me dirige derrière toi. Tes jambes sembles parcourues par des petits spasmes et le canapé ainsi que le tapis sont entièrement trempés. Ton dernier orgasme a une nouvelle fois expulsé ta jouissance hors de ta chatte. Je stoppe les deux vibrateurs et les retire. J’observe ton corps se tortillant encore sous l’excitation. Je pose ma queue à l’entrée de ta chatte et l’enfonce violemment au plus profond. Un cris de satisfaction s’échappe de ta bouche alors que les assauts commencent. Le bruit de mes couilles heurtant ta chatte trempée entremêlé à tes gémissements raisonnent dans la pièce. Chacun de mes mouvements bouge le plug dans ton cul et du même coup augmente encore plus ton excitation. Sentant ta chatte se serrer et ton souffle s’accélérer, je ressors aussitôt ma queue et cesse tout mouvement. Ton bassin bouge comme pour rechercher ma queue afin qu’elle termine ce qu’elle a commencer mais en vain. Mais doigts s’emparent du plug et commencent à le sortir lentement de ton cul qui termine de l’expulser, enfin libéré de cette emprise. J’écarte tes fesses et observe quelques instant ton cul encore ouvert. Je frotte ma bite entre les lèvres de ta chatte pour la tremper encore plus et pose ma queue à l’entrée de ton cul.


       Stop! Pas ça!


       Mais déjà ma queue pénètre dans ton cul avec une facilité déconcertante. Le plug a vraiment bien fait son travail et rapidement je commence à entreprendre de longs va-et-vient. Je donne des coups de rein de plus en plus forts et c’est à ta grande surprise que tu sens l’excitation monter à nouveau en toi. Ma queue maltraitant ton cul alors que mes couilles heurtent ta chatte. Lorsque ton regards croise à nouveau la photo de ton mari, tu as l’impression qu’il te regarde, choqué de te voir prise ainsi prendre tant de plaisir en te faisant enculer par un inconnu. Cette image monte encore l’excitation et tu finis par jouir une nouvelle fois. C’est la première fois que tu jouis en te faisant prendre par derrière et cette idée te déstabilise particulièrement. Une fois l’orgasme passé, la douleur reprend le dessus et les violents coup de queue commencent à te faire souffrir de plus en plus. Tu es soulagée de sentir ma bite quitter ton cul, mais à peine le temps de souffler que déjà elle y replonge intégralement. Ce petit supplice continuera encore à quelques reprises avant que je ne finisse par t’enculer de toutes mes forces. Le rythme et la violence des pénétrations t’arraches des cris de douleurs et de supplication et lorsqu’enfin tu sens ma queue quitter ton cul et éjaculer sur tes fesses, le soulagement est immense. Le sperme coule sur tes fesses, lentement, descendant le long de tes cuisses. Ma bite vient se poser une nouvelle fois devant ton visage.


        Nettoie ma bite!


Tu ferme la bouche, dégoûtée.


        Tu refuse de goûter à ton cul c’est ça?


       Tu hoches la tête. Je reprends le plug dans ma main et le dressant devant tes yeux écarquillés, te dis:


        Je penses qu’il va falloir que je te remette une nouvelle fois à ta place.


Je ré-’introduis alors lentement le plug dans ton cul.



        Non! Arrêtez, pas ça, pas encore !!!!


       Le plug est rapidement en toi et après avoir donner 5 grosses claques sur chacune de tes fesses, je reviens positionner ma queue devant ton visage.


        Et maintenant, tu veux goûter ton cul petite bourge?


        Oui, je veux le goûter. Donnez moi votre queue mais par pitié arrêtez.


       Tu prends timidement ma queue dans ta bouche en faisant abstraction du goût. Ma queue ramollie entre entièrement dans ta bouche, la remplissant entièrement, ton cul quant à lui toujours maltraité par le plug. Tu lèche avec application la queue et les couilles devant toi. Puis je me retire et boutonne mon pantalon. Je récupère mes affaires que je range calmement dans mon sac. Je retire le plug et le range également. Puis enfin je te retire les menottes.


        Je te laisse le soin de te détacher toute seule


       Puis je quitte la pièce sans même prendre la peine de te regarder. Tu entends la porte d’entrée claquer. Tu t’affaires aussitôt à te détacher, ce qui te prendre plusieurs minutes. Une fois relevée, tu constate l’étendue des dommages. Le canapé et le tapis sont trempés. Des morceaux de tissus jonchent un peu partout sur le sol et dans les escaliers. Ton cul te fais atrocement souffrir mais pas le temps à perdre, ton mari rentre demain dans la matinée et tu dois ranger tout ça. Tu passeras une grande partie de la soirée et de la nuit à savonner le bureau de fond en comble. Une longue douche suivie d’une courte nuit et le voilà déjà de retour, venant t’embrasser comme accoutumée.


       Depuis cette soirée, tu ne peux plus rentrer dans le bureau de ton mari sans revoir les humiliations subies ici et ressentir un doux frisson te parcourir le corps,