vendredi 3 juillet 2015

[Fiction] Un inventaire pas comme les autres


En ce jour férié caniculaire, vêtue d’un mini short en jeans et d’un top blanc, tu es affairée à l’inventaire du magasin. La boutique a déjà été inventoriée ce matin, mais reste encore le local de stockage. Pénétrant dans le local, tu constates que la chaleur est insoutenable dans le local en question, la faute aux différents réfrigérateurs et congélateurs dans la pièce. Tu décides d’ouvrir la porte du quai de chargement afin de rafraîchir un tant soit peu la pièce. Une nouvelle bouteille d’eau plus tard et te voilà en train de faire le décompte des articles présents. De fines perles de transpiration s’écoulent entre tes seins, te rappelant à chaque instant la gène engendrée par ton soutien-gorge. Tu te caches dans un recoin de la pièce et le retire rapidement, le déposant dans ton sac à main. Ta poitrine moite semble respirer à nouveau, libérée de l’emprise du sous-vêtements. Tu saisies une nouvelle bouteille d’eau à laquelle tu t’abreuves tout en observant le magasin à travers le miroir sans tain. Un rapide coup d’oeil à l’horloge, 16h13. Dans un peu plus d’une heure ton compagnon devrait venir te chercher devant la porte d’entrée. Tu reprends aussitôt tes activités, décidée à en finir au plus vite…
Un bruit dehors te fait sursauter. Tu t’approches de la porte et jette un coup d’oeil sans rien constater de particulier puis tu entends ton smartphone sonné. Tu te dirige vers ton sac à main et en sort ton téléphone. Un message de ma part. tu hésites à l’ouvrir, faute de temps, puis finalement la curiosité prend le dessus. Tu ouvres le message et l’image jointe. Elle te montre, à genoux, quelques secondes plus tôt en train de compter des paquets stockés au bas d’une étagère. La photo à été prise depuis l’angle de la pièce, là où se situe la porte de chargement. Tu te retournes aussitôt et me vois dans un recoin sombre. Tu tentes de sortir en courant par la porte de chargement, mais ma main agrippe ton bras et te ramène à l’intérieur en te jetant au sol. Tu entends alors le moteur de la porte la refermer doucement pendant que je m’avance vers toi. Je saisis un rouleau de ruban adhésif déposé sur un carton et continue mon approche.
Non, non !!!!
Je te couche sur le ventre en posant mon genou sur ton dos pour te maintenir ainsi. Le souffle coupé, tu tentes de te débattre, mais déjà le ruban adhésif enlace tes deux poignets. La porte est désormais fermée et te voilà prise au piège. Je me relève et t’agenouilles en t’agrippant par les cheveux. Ma main glisse dans mon short et en libère mon sexe déjà dressé qui vient se positionner devant ta bouche. Tu détourne le visage, mais ma main attrape tes cheveux et ma queue force le passage. Tu maintiens les lèvres closent mais une première gifle t’arrache un cri. Tu me fusilles du regard tout en maintenant ta bouche fermé. Une seconde claque vient frapper à nouveau ta joue puis ma main tire fermement sur tes cheveux. Ton visage s’écrase contre mon pubis alors que ma queue roule le long de tes lèvres qui finissent pas s’entrouvrir au moment ou la tension sur tes cheveux augmente encore. Aussitôt le morceau de chair y pénètre profondément, te provoquant des hauts le coeur. Le mouvement et lent et profond te faisant ressentir le moindre millimètre s’enfonçant au fond de ta gorge. Mon sexe dégoulinant de salive quitte ta bouche et vient se frotter sur ton visage, te provoquant un mouvement de dégoût avant de diriger ta bouche vers mes couilles. Une nouvelle tension sur tes cheveux fait apparaître ta langue qui s’empresse de lécher mes testicules. Je soulève ton top et le passe au bout de tes poignets liés, libérant ainsi ta poitrine que je m’empresse de maltraiter en la pelotant fortement et en tirant sur tes tétons dressés malgré toi. Je t’allonge sur une petite table, sur le dos, la tête tombant en arrière et je viens à nouveau enfourner ma queue au plus profond de ta gorge pendant que mes deux mains déboutonnent ton jeans très lentement avant de le faire glisser lentement, dévoilant un petit string rouge. Ma main y plonge et part à la recherche de ta chatte totalement imberbe. Ta bouche se ressert autour de ma queue alors que mes doigts pénètrent ton intimité dont l’humidité trahis tes refus précédents. Je titille rapidement ton clito qui gonfle et qui en quelques minutes t’arrache un orgasme alors que ta bouche est tuojours emplie de ma queue. Je la ressort et me dirige de l’autre coté de la table, t’observant, haletante, tentant de reprendre ton souffle et tes esprits. Je finis de retirer ton short et lorsque ma main attrape ton string, tu fais un mouvement des hanches en signe de protestation.
Arrêtez!
Je reprends fermement ton string dans la main et te le déchire violemment en l’arrachant avant de te retourner sur le ventre. Un morceau d’adhésif s’enroule autour de ton dos et de la table sur laquelle tu es penchée. Quelques tour suffisent à te maintenir ainsi puis c’est au tour des chevilles d’être attachées aux pieds de la table maintenant désormais tes jambes écartées et la croupe relevé. Je déplace légèrement la table sur laquelle tu te trouve désormais afin qu’elle fasse face au miroir sans tain. Tu vois ainsi les passant devant toi à quelques mètres à peine.
Ma queue s’enfonce alors fermement dans ta chatte encore humide et commence rapidement à te pilonner fortement. Tu ne peux retenir tes soupirs de plaisir bien longtemps et tout en les laissant s’échapper de ta bouche, tu observes certains de tes voisins passer juste devant toi sans imaginer une seule seconde ce qui t’arrives derrière cette vitre.
Bien malgré toi, cette idée t’arrache un second orgasme. Je ressors ma queue trempée et vient l’enfoncer dans ta bouche te faisant goûter à tes jouissances. Les jambes tremblantes et le corps en sueur, tu suces avec résignation. Après quelques minutes, ma queue quitte ta bouche et crache son plaisir à ton visage. Le sperme chaud vient s’écraser sur ton front et ta joue puis mon gland s’empresse de pousser tout le précieux nectar dans ta bouche pour que tu avales le tout.
Je vais ensuite m’asseoir sur ta chaise, un peu derrière toi et tout en observant ta posture, bois quelques longues gorgées d’eau. Tu attends ainsi plusieurs minutes en tentant de te détacher, mais à chaque fois, une claque s’écrase sur ton cul rapidement rougit faute à tes multiples tentatives. Les orgasmes et les litres d’eau bus auparavant commencent à se faire ressentir et ta vessie est en passe d’exploser.
Pitié détachez moi, je dois aller aux toilettes. Pitié!
Ma main glisse sous ton ventre et vient appuyer sur ta vessie.
Noooooooooon arretez !!!
Quelques petites gouttes d’urine s’échappent de ton entrejambe et tombent sur le carrelage de la pièce.
Vraiment, je dois y aller. Arrêtez maintenant. Stop !
Je retourne m’asseoir et t’observe te débattre et te tordre pour tenter de soulager ta vessie. Les minutes s’écoulent lentement et s’accompagnent de tes cris et supplications jusqu’à ce que l’inévitable ne se produise. Tu ne tiens plus et la pisse commence à s’écouler très lentement entre tes cuisses, par petites quantités avant que, n’y tenant plus, tu ne laisse s’écouler l’ensemble du contenu de ta vessie sur le sol alors que tu enfuies ta tête sous ton épaule, honteuse de la situation. La pisse ne cesse de s’écouler, longeant tes cuisses et te souillant de même que le carrelage.
Alors Véronique, un petit accident?
Tu ne réponds pas, je vois uniquement ton visage écarlate à cause de la gêne…
Ton smartphone s'illumine et un SMS de ton chéri apparaît à l’écran. “J’arrive dans 10 minutes.
Je repose l’appareil et vient me positionner derrière toi et mes mains écartent largement tes fesses dévoilant ta chatte mouillée et souillée ainsi que ton cul tout serré. Je pose un doigts sur cette petite étoile et commence à l’enfoncer.
Non pas ça, pas ça !!!! Arrêtez!
Mais mon doigt ne cesse d’entrer puis commence de petits va-et-vient pendant que je laisse tomber de grosses gorgées de salive sur ton anus pour le lubrifier. Un second doigts rejoint le premier après quelques minutes.
Pitié!
Quelques minutes supplémentaires suffisent à détendre ton anus et dès lors mes doigts le quitte pour faire place à ma bite qui se présente à l’entrée.
Nooooooooooooooon….
Tu tentes de bouger, mais déjà ma queue force son entrée et rapidement commence à faire des mouvements de plus en plus longs. Tu cris mais en vain. Les mains dans ton dos tentent de me repousser, mais sans succès et les mouvement deviennent rapidement plus violents. Levant les yeux, tu vois ton compagnon devant la vitrine. Ton sang ne fait qu’un tour et tu es certaines que tes jambes te lâcheraient si tu n’étaient pas attachée à cette table.
Regarde qui voilà Véronique…
Arrêtez tout de suite.
Mais les mouvement deviennent plus forts et rapides et tu ne peux retenir ton excitation très longtemps. Tu sens ta chatte inondée et une vague de chaleur remonte dans ton bas ventre alors que ton compagnon colle le visage contre la vitrine, tentant de voir si il t'aperçoit. Tu jouis dans un puissant râle excitée, à ta grande surprise, par le fait de voir ton compagnon à quelques mètres de toi, sans savoir que tu te fais enculer par un inconnu sous ses yeux.
Quelques minutes supplémentaires et ton chéri frappe à la porte tout en s’impatientant. Je saisis ton téléphone et compose son numéro avant de le coller à ton oreille.
Dis lui que tu arrives dans quelques minutes.
Non non non pas ça…..
Mais déjà la sonnerie s’arrête et tu entends sa voix tout en l’observant devant la vitrine. La voix tremblante et en tentant de masquer ton essoufflement, tu lui explique que tu as du t’absenter et que tu seras là dans quelques minutes. Durant votre discussion je continue de t’enculer fortement avant de finir par ressortir ma bite et jouir sur tes fesses. Pendant que tu mets péniblement un terme à cette conversation, tu sens mon sperme chaud couler le long de tes fesses tout en voyant ton ami allumer une cigarette et se diriger au café juste en face. Je me dirige vers ton bureau, calmement, pour y saisir un ciseau qui vient libérer tes poignets endoloris puis je pose le ciseau devant ton visage. 
A très vite...
Tu restes immobile plusieurs secondes avant de n’entendre la porte s’ouvrir puis se refermer. Tu t’empares du ciseau et découpe l’adhésif autour de ta taille puis de tes chevilles et t’empresses de te faire une rapide toilette. Incapable de retrouver ce qui devait rester de ton string tu remets ton mini short sans sous-vêtements. Tu t’attaques ensuite à ton urine dispersée sur le sol. Tu refermes les lieux et sort discrètement par la porte arrière, te cachant derrière le station essence à côté pour rejoindre un petit bois qui te permets de rejoindre le trottoir menant au café où t’attend ton chéri, donnant ainsi l’illusion que tu étais bel et bien absente lors de sa venue.
Tu pénètre essoufflée dans le café vide et la stupeur s’empare de toi lorsque tu me vois assis 2 tables derrières ton ami. Tes jambes tremblent et tout en essayant d’avoir l’air le plus naturelle possible, tu embrasse ton chéri avant de t’asseoir face à lui. Tu n’oses pas lever les yeux de peur de croiser mon regard. Ta consommation arrive enfin et les premières gorgées s’écoulent lentement, emportant avec elles le goût de sperme ancré dans ta bouche. Tentant de tenir une conversation, tu finis par me regarder et plus particulièrement ma main qui agite un morceau de tissus rouge. Un frisson t’envahit lorsque tu reconnais ton string, enfin ce qui doit en rester du moins…
Les minutes semblent interminables et ton cul te fait souffrir, te rappelant à chaque instant les assauts dont il a été victime quelques minutes auparavant. Ton coeur s’emballe lorsque je me lève et me dirige vers vous, je passe à quelques centimètres de votre table, lentement, avant de sortir tranquillement du café…
Tu lâches un gros soupir de soulagement accompagné, malgré toi, d’un léger sourire.