La douceur de la soirée d'été s'engouffre sous ta fine jupe et caresse le haut de tes cuisses au-dessus de tes bas. La petite brise vient rafraîchir ton pubis et tes lèvres encore sensibilisés par l'épilation de la matinée. Pour votre anniversaire, tu as décidée d'être coquette et sexy pour ton mari. L'épilation intégrale et l'oubli volontaire de tout sous-vêtements sous cette robe exagérément courte te semblent correspondre parfaitement au thème de la soirée. Ton mari t'a fait parvenir un petit mot accompagné d'une rose rouge au travail te donnant rendez-vous dans un bar latinos du coin à 19h30. Tes talons raisonnent dans la rue alors que le bar t'apparaît au loin. De nombreuses personnes assises sur les terrasses environnante t'observent d'un air intéressé, achevant de te retirer le peu de tissus du regard. Les yeux insistants et le vent effleurant ta chatte te gênent mais t'excitent en même temps. A plusieurs reprises tu sens le vent soulever légèrement ta jupe, exposant le galbe de tes fesses au voyeurs improvisés avant que ta main ne la rabatte aussitôt. Tes tétons dressés par l'excitation pointent au travers de ta robe et laisse clairement deviner que tu ne porte aucun soutient-gorge. Tu ne connaissais pas cette partie de toi, cette excitation engendrée par le fait d'être observée ainsi, de te montrer à des inconnus. C'est toutefois soulagée que tu pousses la porte du bar pour y entrer. La chaleur suffocante et le bruit assourdissant du lieu offrent un dépaysement total par rapport à la rue avoisinante.
De nombreux regards se tournent vers toi et tu te ressens l'impression d'être un agneau lâché parmi les loups affamés. Tu parcours la salle du regard pour y trouver ton mari. Aucune chance qu'il ne soit sur la piste de danse avec les autres personnes s'y déhanchant sur les airs entraînant de la musique latine. Rien non plus aux quelques tables disséminées dans la salle de même qu'au bar. Comme à son habitude il est en retard. Tu te dirige vers le bar et t'assieds sur l'un des tabourets disponibles. Le barman t'apporte rapidement un mojito accompagné d'une petite enveloppe. Tu ouvre l'enveloppe, intriguée.
« Ma chérie, je t'ai préparé une surprise pour notre anniversaire. Bois déjà un verre en attendant. Je t'embrasse ». Tu bois lentement le délicieux nectar tout en observant la foule environnante. Tu maintiens fermement les cuisses serrées pour dissimuler ton intimité. A peine ton mojito terminé qu'un second vient prendre sa place, également accompagné d'une nouvelle enveloppe.
« Un second verre en attendant que quelqu'un vienne te proposer de danser. Tu accepteras cette danse sans discuter. »
Le second mojito semble plus chargé et commence déjà à te monter à la tête. Tu sais parfaitement l'effet que te provoque cette boisson et ton mari le sait également. Une vague de chaleur envahit lentement ton bas-ventre alors que la boisson s'écoule lentement dans ta gorge. Chaque gorgée semble désormais amplifier ton état. Après plusieurs minutes, alors que tu parviens enfin à la fin de ton verre, tu sent une main se poser sur ton épaule. Tu te retourne pensant voir ton mari, mais il s'agit d'un séduisant inconnu qui te propose de l'accompagner sur la piste de danse. Tu te souviens du mot de ton mari et tu accepte sans tergiverser. Tu te relève et l'effet de l'alcool te provoque un léger déséquilibre, t'obligeant à t'accrocher au bras de ton cavalier quelques instants. Une fois sur la piste, la musique t'emporte rapidement et lorsqu'après quelques minutes ton cavalier t'agrippe plus fermement par la hanche pour une danse un peu plus rapprochée, tu te laisse faire sans hésiter et tu suis le rythme imposé. Sa main au bas de tes reins et son torse plaquant ta poitrine commencent à t'exciter de plus en plus. Tu te surprends à plaquer ton entrejambe contre sa cuisse alors que celle-ci bouge, provoquant un divin frottement sur ta chatte. Tu sens sa main glisser sur ta fesse et son sexe en érection contre ton bassin. Tu as l'impression d'être en transe et quelques minutes de cette danse intense inondent ta chatte de désir. Tu mets alors un terme à ce moment d'égarement et retourne t’asseoir sur ton siège tout en te sentant au bord de l'explosion. Tu tentes vainement de reprendre tes esprits tout en jetant un regard sur l'horloge derrière le barman qui indique 20h06. Une nouvelle enveloppe est déposée par le serveur devant toi. Tu t'empresse de l'ouvrir pour prendre connaissance du contenu :
« Quelle danse endiablée. J'espère que tu es prête pour la suite. Je t'attends au restaurant « De La Clef » à 20h15. A tout de suite. Je t'embrasse »
Danse endiablée ??? Il est là ? Tu parcours une nouvelle fois des yeux le bar, mais en vain. Et lorsque tu croise le regard de ton partenaire de danse qui te fixe, tu baisses aussitôt la tête, sentant tes joues virer à l'écarlate. Tu te retournes vers le comptoir pour demander l'addition, mais le serveur te fais signe que les boissons ont déjà été réglées. Tu te relève et te dirige vers la sotie, les jambes dans le coton, étourdie par la faim, l'alcool et l'excitation. L'air frais de la rue s'engouffre dans tes poumons et te procure une sensation de soulagement quasi immédiate. L'heure tourne et le restaurant est à quelques minutes de là. Tu t'engouffres dans les petites ruelles pour gagner du temps, tu connais vaguement ce quartier et ton sens de l'orientation t'aide à te repérer. L'euphorie de l'alcool est toujours présente mais tes jambes semblent avoir retrouvé un peu de leur tonicité. Tu entends ton portable sonner dans ton sac à main. D'une main, tu le saisis et y jette un rapide regard. Un message de ton mari :
«T ou? »
Tu pianote à toute vitesse : « Au resto dans 2min ». La réponse est quasi instantanée :
« Quel resto ???????? Je suis a la maison».
Tu te fige aussitôt, un sentiment d'incompréhension t'envahit laissant rapidement place à de l'inquiétude. Tu observes les alentours et te rends compte que tu es seule dans cette petite ruelle, mal éclairée et peu rassurante. Quelques véhicules stationnés pour seuls compagnons. Tu prends ton téléphone pour composer le numéro de ton mari afin de te rassurer, le temps de quitter ce lieu angoissant. A cet instant l'écran s'illumine. Un nouveau message d'un numéro inconnu. La pièce jointe s'affiche et tu vois une photo de toi, alors que tu étais sur la piste de danse, collée contre le corps de ton partenaire, sa main sur ta fesse, remontant très légèrement ta jupe, laissant apparaître le haut de tes bas et le début de ta croupe aux yeux de tous. Comme seul texte, 4 lettres qui te provoquent un électrochoc « FenX ». Un bras s'enroule autour de ta hanche et une main vient se poser sur ta bouche pour étouffer ton cris naissant. Te voilà plaquée contre l'une des voitures garées. Tu vois alors un couteau apparaître devant tes yeux. La lame reflète le peu de lumière de la ruelle et te fige d'un coup. Je te murmure simplement : « Pas le moindre cri ! Sinon... » et je fais glisser la lame lentement entre ta poitrine. Ton souffle s'accélère et au moment où je retire ma main de ta bouche, aucun cris n'en sort. Ton coeur bat la chamade et tu as l'impression qu'il va jaillir de ta poitrine tant il tape fort. Ma main libre attache tes deux poignets ensemble à l'aide d'une attache plastique, maintenant ainsi tes mains dans ton dos. Tu laisses s'échapper un cris de protestation et aussitôt te voilà avec la lame glissant sur la poitrine pendant que mon autre main tire tes cheveux, basculant ainsi ta tête en arrière. Tes yeux ballaient le ciel comme pour rechercher de l'aide. Les bâtiments environnant semblent tous déserts à cette heure-ci. La lame glisse sous la première bretelle de ta robe et la découpe, laissant immédiatement apparaître ton sein gauche. Tu gémis tandis que la lame poursuit son chemin en direction de la seconde bretelle qui subit très vite le même sort que la première. Le haut de ta robe retombe et libère entièrement ta poitrine. Tu retiens le morceau de tissus avec tes mains dans le dos pour empêcher la robe de tomber au sol, te laissant ainsi totalement nue. Mes mains malaxent ta poitrine et tirent fortement sur tes tétons qui ne tardent à se dresser. Me collant à toi, tu sens mon sexe déjà dur à travers mon pantalon se coller entre tes fesses. Tu t'appliques à conserver ton calme. Tu sens la lame effleurer ta colonne vertébrale, glissant lentement. Chaque millimètre carré de ta peau semble se dresser sous ce traitement. Les frissons te parcours le corps à mesure que le couteau poursuit sa danse.
« Relâches ta robe. »
Tu refuse quelques instant mais la lame glissant sur ton cors te force à obéir et tu sens le morceau de tissus glisser le long de tes cuisses, dévoilant ainsi ton corps à nu. Avec pour seuls vêtements restant tes bas et tes chaussures à talons, tu te sens totalement à ma merci. Tu sens ma main tirer tes cheveux, te forçant à t'agenouiller. Lorsque tes genoux touchent le sol glacé, tu baisses la tête et ferme les yeux comme pour échapper à ce moment, à cet endroit… Tu entends le bruit de la fermeture éclair de mon pantalon et quelques secondes plus tard, mon sexe glisse lentement sur tes joues, tes lèvres. Tu pinces les lèvres, tentant d'échapper à la suite, mais un coup sec sur tes cheveux te fait ouvrir les yeux. Mon sexe se tient devant toi, dressé, approchant de ta bouche. Il vient buter sur tes lèvres toujours serrées mais qui n'ont d'autre choix que de s'ouvrir lorsque tu vois la lame s'approcher à nouveau de toi. Le morceau de chair s'engouffre aussitôt et commence ses vas-et-vient. Tu retiens tes larmes, décidée à ne pas me donner cette satisfaction et laisse ta bouche totalement inactive.
« Mets-y du tient ! »
Tu sens la lame effleurer ta joue et t'active alors à sucer ce membre qui durcit encore. Ta langue joue avec le gland et ton application est rapidement récompensée par le couteau qui s'éloigne et la tension sur tes cheveux qui se relâche. Je pousse parfois ta bouche contre mes couilles que tu lèches avec application avant que ma queue ne reprenne sa place dans ta bouche. Tu sens une larme s'écouler sur ta joue. Le membre s'enfonce profondément dans ta bouche, te provoquant parfois des haut-le-cœur. Des larmes s'écoulent encore sur tes joues pendant les interminables minutes de ce traitement.
Je te relève ensuite et te laisse debout ainsi, pour t'observer. Tu me regarde, une cagoule sur le visage, intégralement vêtu de noir avec seul mon sexe dressé et trempé de ta salive de visible. Tu te sens humiliée, ainsi exhibée dans cette ruelle, nue, le visage souillé. Quelques secondes et te voilà couchée, le dos sur le capot d'une voiture. Les jambes écartées, j'observe cette magnifique chatte parfaitement lisse pendant que ma bite s'approche. Au moment où elle se pose à l'entrée de ta chatte, tu pousse un cris de refus. Je te donne une gifle sur chacun de tes seins alors que tu te débats. Ma bite force le passage et entre entièrement en toi en un instant. Ta chatte est rapidement prise par les assauts de ma queue et tu ne peux l'empêcher de mouiller, surprise de l'excitation ressentie, contrastant avec la honte éprouvée. Les coups de queue sont de plus en plus insistant. Tu sens ta chatte s'écouler autour de ma queue et lorsque mes doigts viennent titiller ton clito en même temps, tu saisi que l'orgasme va être difficile à contenir. Les mouvements s'accélèrent et la coups de reins se font plus profonds, ne tardant pas à avoir raison de toi. Tu sens ton bas ventre envahit par une sensation bien connue. L'orgasme te donne des spasmes de plaisir alors que tu entends tes cris de plaisir raisonner sans aucune pudeur dans la ruelle. A peine terminé, tu es redressée, les jambes tremblantes et le pas craintif, tu te sens dirigée vers un véhicule utilitaire dont j'ouvre la porte coulissante. Un voile noir vient alors masquer tes yeux et te plonge dans l'obscurité totale alors que tes genoux s'écroulent sur le sol du véhicule. Je relève tes hanches en les agrippant fortement pour exhiber ton cul. Le visage plaqué au sol, tes mains tentent d'éloigner les miennes, mais en vain. Mes doigts écartent tes fesses, étirant ton anus. Un long filet de salive s'écoulent lentement entre tes fesses, jusqu'à ton trou où vient se presser mon gland.
« Noooooon !!! Pas ça ! »en transe
Mon sexe entre alors lentement dans ton cul, millimètre par millimètre alors que tes cris de contestations raisonnent dans l'habitacle. En quelques minutes, le rythme s'accentue et ton cul est désormais totalement ouvert et accuse le moindre violent coup de rein. Tes cris s’estompent lorsque je tire à deux mains sur tes cheveux, te rappelant à l'ordre. Ma main droite relâche tes cheveux et vient fouiller dans ta chatte totalement trempée…
« J'ai l'impression que tu aimes ça te la prendre dans le cul. Une vrai petite salope. »
Tu sens le sang monter dans tes joues, honteuse du plaisir que tu prends par ce traitement. Mes doigts titilles à nouveau ton clito alors que ma bite rentre et sort violemment de ton cul. Je continue ce traitement jusqu'à t'arracher un nouvel orgasme. Je sens ton cul se serrer autour de ma bite alors que tes cris accompagnent ton orgasme.
Je ressors ma bite et t'agenouille pour te la faire sucer.
« Nettoie ma queue ! »
Tu ne refuses même plus. Dégoûtée mais résignée, tu avales timidement le membre souillé. En quelques seconde le goût âcre disparaît de même que le dégoût. Tu la suces avidement pour tenter de mettre fin au plus vite à ce traitement.
« Et bien tu aimes la bite dis-moi. Non ? »
En l'absence de réponse, je te gifle avec mon sexe.
« Je t'ai posé une question ! »
« Oui j'aime la bite » marmonnes-tu du bout des lèvres, honteuse.
« Si je te détaches les mains, tu seras bien sage et tu ne retireras pas ton bandeau ?» te dis-je en continuant de te donner des petits coup de bite sur la joue.
Tu hoches la tête comme seule réponse et lorsque tes poignets sont enfin déliés, tu t'empresses de saisir mon sexe avec ta main pour accélérer l'échéance. Je ressors ma queue que tu continue de branler . Ce que tu identifie comme mon pouce vient glisser sur tes lèvres. Tu entrouvres les lèvres et constates avec stupeur lorsque le morceau de chair entre dans ta bouche qu'il ne s'agit pas de mon pouce mais d'une autre queue qui commence à baiser ta bouche alors que tu continue de branler ma queue. Totalement désemparée, tu suces et branles les deux queues à tour de rôle, résistant à la tentation de retirer le bandeau sur tes yeux. Ta bouche commence à être endolorie par tant de sollicitations et c'est soulagée que tu sens l'autre queue quitter ta main. Tu sens un corps s'allonger à côté de toi et soulever ta jambe pour se glisser sous toi. Sa bite commence à baiser ta chatte pendant que ma queue continue d'abuser de ta bouche. Tu sens ta chatte inonder le membre qui t’empale et commence les vas-et-viens. Quelques minutes plus tard, ma queue s'échappe à son tour et, alors que je te bascule vers l'avant, vient se poser à l'entrée de ton cul et commence à forcer le passage… En quelques secondes te voilà prise par devant et derrière, les bites alternant le rythme et la force. Tu lâche totalement prise, assommée par tant de sentiments différents et laisse consciemment les deux morceaux de chair s'immiscer en toi à leur guise. Tu te sens dériver totalement et ton orgasme arrivant, assumes le plaisir procuré par la situation.
« Tu aimes te faire baiser comme ça ? Prise par deux bites comme un vulgaire objet ?»
« Oui j'aime ça » dis-tu ouvertement tout en donnant des coups de cul pour approfondir encore les pénétrations.
Les coups de bites s'accélèrent et t'arrache un violent orgasme. Tes cris raisonnent et doivent certainement être audibles à des dizaines de mètres à la ronde. Les jambes tremblantes, tu sens ma queue gonfler dans ton cul avant d'en sortir et de venir se présenter devant toi. Je relève ta tête et presse ma bite contre tes lèvres qui l'enveloppent sans hésitation. La seconde bite quitte ta chatte et entre dans ton cul totalement ouvert. Te voilà prise par le cul et la bouche et chacun de tes assaillants te baise sans relâche jusqu'à ce que tu sentes enfin ma queue quitter ta bouche et gicler sur ton visage dans un râle de plaisir. Le liquide chaud s'écoule sur ton visage alors que ton cul et toujours sollicité. A l'aide de mon gland, je pousse mon foutre répandu sur ton visage vers ta bouche. Quelques derniers coups de langue sur mon sexe avant qu'il ne s'éloigne et que tu ne te retrouve à nouveau face à ton second assaillant. Tout en te donnant quelques fessées sur ton cul , je te murmure à l'oreille :
« Défonces-toi le cul avec cette queue maintenant. Fais-moi voir à quel point tu aimes ça. »
Tu cambres tes reins au maximum et donne de puissants et rapides coup de tes fesses pour accentuer la pénétration. Rapidement le souffle de mon complice s'accélère et son sexe gonflant tu sens que la libération est enfin proche. Encore un peu d'entrain et tu sens la queue quitter ton cul et cracher son plaisir sur tes fesses. Les jets s'écrasent alors que d'un geste rapide je retire ton bandeau. Tes yeux écarquillés reconnaissent aussitôt ton mari, sous toi, en train de jouir sur ton cul alors que m'approchant de ton oreille, je te murmure :
« Bon anniversaire. »
J'ouvre la porte du véhicule utilitaire et la referme derrière moi, vous laissant tous les deux savourer votre fantasme enfin réalisé.