jeudi 31 mars 2016

[Fiction] Séjour chez Gabrielle

               
Pour te remercier de m'avoir fait découvrir ta région lors de mon séjour, je t'invite au restaurant. Tu portes une robe, des bas et des talons hauts. Après quelques verres de vins, je glisse ma main sous la table et la glisse le long de ta cuisse. La nappe cache mes gestes et les gens autour de nous ne se doutent de rien. Après quelques minutes de ce doux traitement, je te demande d'aller au WC retirer tous tes sous-vêtements. Tu te lève et reviens quelques secondes plus tard avec ton string et ton soutien-gorge dans ton sac à main. Tes seins glissent sous ta robe, te donnant l'impression de risquer de sortir à chaque instant au moindre de tes pas. Le frottement et la situation ont durcis tes tétons qui pointent outrageusement au travers de ta robe. Tu remarque le sourire pervers d'un homme assis à une table voisine qui semble avoir compris la situation. A nouveau assise à la table, ma main écarte largement tes genoux : « Reste ainsi. ». Tes cuisses ouvertes exhibent entièrement ta chatte aux yeux de tous. Seul la nappe tombante t'offre un semblant d'intimité. Ma main glisse à nouveau vers ton entrejambe et commence à venir titiller ton clito alors que je bois mon café comme si de rien n'était. Je poursuis ces caresses de longues minutes durant, sentant tes lèvres trempées de désirs et voyant tes seins pointer au travers du léger morceau de tissus. Au moment de régler enfin l'addition, le serveur se tient à côté de moi et après t'avoir lancé un regard amusé, je laisse tomber ma carte de crédit au sol. Le serveur s’agenouille pour la ramasser et ne peut que constater la position dans laquelle tu te trouve. Le court instant durant lequel il fait mine de ramasser innocemment la carte de crédit alors qu'il se délecte de la vision de ta chatte ainsi exposée et humide te fait rougir de honte. Il nous lance un regard aguicheur en me rendant la carte et lorsque nous partons, tu baisses les yeux et accélère vers la sortie. L'air frais de la rue s'engouffre sous ta robe et caresse ta chatte de son souffle.
Nous marchons dans la rue très fréquentée avant que je ne te dirige dans une ruelle. Une dizaine de mètres et nous voilà dans la pénombre. Je m'appuie contre le mur derrière une pile de palette en bois offrant une cache non loin des passants. Je te saisie par les cheveux et t'agenouille devant moi. Le sol glacé et irrégulier agresse tes genoux alors que je soulève ta robe que j'enroule autour de ta taille, exhibant ton cul. Je déboutonne aussitôt mon pantalon qui libère ma queue déjà dressée. Je la plonge dans ta bouche qui la suce aussitôt. Je force le passage plus profondément et lorsque ma queue s'enfonce dans ta gorge, tu sens tes yeux s'emplirent de larmes. Tu sens ma queue gonfler de désir alors que tu entends les gens marcher dans la rue non loin de là. Lorsqu'elle ressort enfin, tu la suces avidement, excitée de plus en plus par la situation alors que ta main libre caresse ta chatte. Mes aller-retour au fond de ta gorge achèvent de tremper ma queue alors que tu jouis sous tes caresses. Je fais glisser les bretelles de ta robe sur chacune de tes épaules pour les retirer, libérant ainsi ta poitrine entre laquelle je presse ma queue trempée. Tu presses tes seins à l'aide de tes mains pour enrouler mon sexe qui commence des va-et-vient alors que du bout de la langue tu titille mon gland. Quelques minutes de ce traitement et je te relève, te tournant face aux palettes observant ainsi les passants à quelques mètres de là ne se doutant pas de ce qui se passe ici.
Ma bouche se pose sur tes fesses alors que mes doigts s'aventurent sur ton clito gonflé. Je le caresse fermement et rapidement alors que ton souffle s’accélère. Puis ma langue glisse lentement sur tes fesses et descend le long du sillon jusqu'à parvenir, très lentement, à ton anus que le bout de ma langue titille alors que mes doigts s'acharnent sur ton clito. Ton corps se cambre, m'offrant ainsi ton cul que ma langue ne cesse de goûter. Quelques minutes de ce traitement suffisent à faire exploser ta chatte alors que tu mords tes lèvres pour ne pas hurler. Les jets de cyprine giclent au sol dans d'insoutenables spasmes. Je me relève et glisse lentement ma queue dans ta chatte inondée. Chaque millimètre de ton vagin est ultra sensible et lorsque commencent les violents aller-retours, tu peines à retenir tes cris de plaisir. Ma queue est entièrement trempée de ton jus et lorsqu'elle quitte ta chatte pour venir se poser sur ton anus, tu sais qu'elle entrera sans réelle difficulté. A peine le temps de reprendre ton souffle que déjà ma bite pénètre dans ton cul sans peine jusqu'à t'emplir pleinement. Puis commencent les mouvements de vas-et-viens de plus en plus rapides et profonds. Ta main s'empresse d'aller caresser à nouveau ton entrejambe alors que les coups de reins se font de plus en plus violents. Des cris s'échappent de ta bouche n'entravant pas le flux incessant de passants alors que ta chatte explose une nouvelle fois.
Puis ma queue quitte enfin ton cul. « Mets-toi à genoux ». Tu obéis aussitôt et sans hésitation suce avidement le morceau de chair. Quelques secondes de ces fellation goulue et gourmande suffisent à me faire atteindre l'orgasme. Je ressors ma queue de ta bouche restée béante alors que ta langue sortie attend de récolter ma jouissance. Ma main branle ma bite devant ton visage avant que de longs jets ne jaillissent et viennent atterrir sur tes joues, tes lèvres et ta langue. Mon gland pousse ensuite le sperme chaud de tes joues vers ta bouche avant que tu n'avale le tout. A l'aide d'un kleenex, tu finis de t'essuyer avant de remettre ta robe en place et de me suivre pour rejoindre la rue principale. Le goût ancré dans ta bouche, ton cul encore endolori et tes cuisses trempées te maintiennent dans une excitation constante alors que je nous dirige vers un taxi garé non loin de là. Nous entrons à l'intérieur, tu es assise derrière le chauffeur auquel je tends simplement un morceau de papier. La voiture démarre aussitôt alors que ma main glisse entre tes cuisses et que trois de mes doigts ne plongent dans ta chatte. La radio du taxi étouffe tes soupirs de plaisir alors que ta chatte se liquéfie. Lorsque le taxi s’apprête à s'arrêter, je ressort mes doigts et les plonge dans ta bouche pour que tu goutte à ton propre jus. Le taxi s'arrête devant une grande demeure au milieu de nul part. Le chauffeur réglé, nous voilà hors du taxi marchant dans l'allée en direction de la vaste habitation. La large porte s'ouvre et nous voilà dans le hall. Je te retire à nouveau ta robe et tu te retrouve ainsi, nue avec uniquement tes bas et tes talons au milieu du hall. « Retires tes chaussures ». Tu obéis et je dépose tes affaires sur une chaise dans un coin de la pièce où se trouve une chaîne et un collier. Je passe le collier autour de ton cou et y accroche la chaîne, verrouillant le tout avec un cadenas. « Suis-moi Gabrielle. » dis-je en tirant la chaîne en direction d'une seconde porte que j'ouvre lentement…
La lumière tamisée de la pièce te demande quelques secondes d'adaptation pour distinguer ce qui se passe ici. Deux autres femmes, nues, sont agenouillées, enchaînées au sol à l'aide d'un collier et d'une chaîne similaires aux tiens. Le buste dressé et le regard vers le sol, elles exhibent, face à toi leurs attributs. Je te présente devant elles et chacune leur tour, elles goûtent à ta chatte avec délectation et application. Puis je t'enchaîne à ton tour à leurs côtés. Tu prends la même position, les genoux écartés sur le sol, la poitrine sortie et le visage baissé. Je me dirige alors vers la pièce annexe, située derrière vous trois, avant de revenir quelques secondes plus tard, accompagné d'autres personnes. T'efforçant de garder la tête baissée, tu tente vainement d'identifier le nombre de personnes présentes du coin de l'oeil. « Mesdames,  vous pouvez saluer votre hôte ainsi que ses amis comme il se doit. Levez la tête à présent.». Tu t’exécute et dénombre 6 hommes et une femme nus devant vous en plus de moi. Les hommes masqués se présentent aussitôt devant vous, plaçant leurs sexes devant vos bouches. Vous saisissez les queues de vos mains et votre bouche, passant d'une queue à l'autre et les queue passant de bouches en bouches. La femme observe la scène en se caressant lentement, savourant cette vision. Les mains, les langues caressent et lèchent vos corps, s'immiscent en vous sans ménagement alors que vos bouches continuent de sucer bites après bites et parfois deux en même temps. Trois hommes s'allongent sur le dos à côté de vous. Vous les enjambez et laissez leur sexe pénétrer dans vos chattes. Les trois autres hommes plongent leurs queue dans vos bouches, alors que je retire à mon tour mes vêtements. Je viens présenter mon sexe à côté de toi et tu t'empresses de le branler de même que l'autre bite. Les branlant toutes les deux, tu les suce en alternance pendant que ta chatte continue de subir les assauts de l'homme sous toi. La femme se lève alors et vient s'agenouiller derrière toi et commence à écarter tes fesses. Sa langue plonge sur ton anus et commence à le lécher en alternance avec ses doigts qui s'enfoncent dans ton cul. Une fois ton cul travaillé, elle se déplace et administre le même traitement à ta voisine. Je me positionne aussitôt derrière toi et commence à enfoncer ma bite dans ton anus. Rapidement te voilà prise par trois bites, une dans chaque orifice. Quelques minutes suffisent à t'arracher un violent orgasme qui inonde le sol et trempe l'homme sous toi. Je sors de ton cul et, alors que la femme passe à la troisième soumise, plonge ma queue dans le cul de ta voisine dont les cris raisonnent dans toute la demeure. Elle jouit rapidement et c'est dès lors au tour de la troisième femme de subir une triple pénétration qui la conduira à l'orgasme. Tu vois dès lors la femme enfiler un énorme gode-ceinture et après avoir craché dessus, venir se coucher sur le dos devant vous. Les queues quittent aussitôt tes orifices et je te tire à l'aide de la chaîne en direction de cet énorme gode que la femme arrose de lubrifiant. Je te retourne, dos à la femme, te descend sur l'immense objet qui rempli ta chatte en forçant le passage alors que les diverses queues se ruent sur ta bouche libre. Les deux autre femmes subissent toute deux une double-pénétration et t'observent ainsi empalée devant elles. Les bites étouffent tes cris alors que le god continue d'entrer péniblement en toi, millimètre par millimètre. Puis l'un des hommes jouis sur ton visage laissant la place au suivant qui rapidement exploite ta bouche avant de jouir à son tour sur ton visage. L'un des autres hommes quitte le cul de l'une des des femmes et vient cracher son plaisir sur ton visage à son tour et ainsi de suite jusqu'à ce que nous ayons tous jouis sur ton visage et ta poitrine. Le sperme s'écoule lentement alors que tu continue de te faire empaler par cet immense gode. Dès lors, les deux autres femmes viennent récolter le sperme répartit sur toi à l'aide de leur langue puis tout en t'embrasser goulûment, déverse le foutre dans ta bouche. Tu continue de te faire pilonner pendant ce temps, avalant gorgée après gorgée tout le liquide récoltée par tes complices du soir. Lorsque le gode-ceinture quitte enfin ta chatte, l'une des femmes s'allonge sous toi, sa bouche ouverte alors que la domina vient caresser fortement ton clito, te faisant exploser sur le visage de la demoiselle, rapidement trempée et souillée de ta cyprine. Tu t'assieds sur son visage, utilisant sa langue à ton gré pour nettoyer ta chatte béante. Tous quittent aussitôt la pièce et il ne reste désormais plus que nous deux et la domina qui change son gode-ceinture pour un modèle de dimension plus raisonnable bien que toujours assez impressionnant. Tu es allongée sur le sol, les jambes tremblantes, à bout de forces, souillée et humiliée lorsque je me dirige vers un coin de la pièce pour y allumer une bougie resté là, tu découvre un nouvel homme attaché sur une chaise, nu, bâillonné et cagoulé t'observant durant tout ce temps. Je le libère de la chaise et vient l'attacher avec l'un des colliers de l'une des femmes posé au sol. Je me penche vers toi et pendant que la femme lubrifie son gode, te demande : « Maintenant l'un de vous deux va se faire enculer par elle. A toi de choisir qui ! ». Ton cul endolori et tes jambes tremblantes te donne la réponse en un instant : « Lui ! » t'exclames-tu. L'homme gémit et tu ne peux que deviner ses supplications au travers de son bâillon lorsque la femme écarte ses fesses et commence à entrer péniblement en lui. Son cul semble si serré qu'il ne doit pas être un habitué et ses hurlements raisonnent dans la pièce. Puis progressivement le rythme s’accélère et l’homme commence à se faire littéralement démonté par la femme. Tu ne peux que constater son regard empli de haine à ton égard. Après plusieurs minutes d'un interminable calvaire, la femme se retire enfin, te montrant l'anus largement ouvert de l'homme. Je profite de ce moment là pour retirer le bâillon et la cagoule de la tête de l'homme. Tu découvre alors, stupéfaite, le visage de ton mari, les yeux emplis de larmes et de soif de vengeance. « T… To… Toi ? Je savais pas… Si j'avais su j'aurais…. » « Ferme-la ! » dit-il alors que la domina le libère de son collier. « Je vais te le faire payer espèce de salope ! ». Dit-il en allant rechercher les 6 hommes de tout à l'heure. Et alors qu'ils reviennent tous en se masturbant, le sexe déjà  dressé, je glisse simplement à ton oreille : « Merci encore Gabrielle, je te laisse désormais aux mains de ton mari et ces messieurs. ». Et je quitte la salle alors que ton mari commence à t'enculer sans aucun ménagement et que les autres bite dressées s'alternent déjà dans ta bouche et tes mains.