mardi 12 juillet 2022

[Récit réel] Sara cocufie son mari

PREAMBULE

Vous l'aurai probablement remarqué, je suis du genre connecté et surtout je laisse différentes possibilités pour me contacté. Alors forcément, Twitter est de la partie... J'y flâne parfois à la recherche d'inspiration ou de contact. Et c'est par ce canal que Sara m'a contacté au début du mois de juillet. Après plusieurs échanges, elle m'explique qu'elle et son mari sont adeptes de candaulisme et que son cocu porte une cage de chasteté au quotidien depuis plus d'un an. Ils ont déjà eu plusieurs rencontres où Monsieur était toujours présent en observateur. Après avoir tout deux remarqué que plus l'humiliation était présente lors de leurs jeux et plus ils trouvaient ça réellement excitant, Sara a donc décidé de cocufier Monsieur à distance alors qu'il ne serait pas là avec un partenaire qu'il ne connaissait pas. Ils vivent dans un appartement au 3ème étage d'un immeuble situé à Neuchâtel. 46 ans, mariée depuis plus de 15 ans, originaire d'Espagne, un charme latin avec de grand yeux joueurs, elle avait eu 2 enfants et avait longtemps été complexée par son corps marqué par ses grossesses avant de réaliser qu'elle était toujours désirable pour bon nombre d'hommes (dont son mari). Depuis près de 3 ans elle s'est découverte une sexualité totalement débridée avec le soutien inconditionnel de son mari (libertinage en club, échangisme, etc...). Au fil des expériences, Monsieur appréciait de plus en plus de rester en retrait alors qu'elle était prise par d'autres. Ils sont extrêmement proches au quotidien et ce n'est que dans le cadre de leurs jeux/scénarios sexuels que ne surgit l'humiliation. 

Nous sommes tous les deux sur la même longueur d'onde concernant notre éventuelle rencontre. Elle ne sera pas suivie, aucune interaction hors de Telegram (que nous utilisons désormais pour nos échanges) et nous ne nous connaissons pas en dehors de cette rencontres. Je la rassure en lui expliquant que je suis toujours extrêmement discret et prudent quant à la discrétion et au respect de la vie privée de chacun. Leurs enfants seront chez ses beaux-parents d'ici quelques semaines. Son mari sera au travail et elle ayant travaillé de nuit la veille sera en repos ce jour là. Nous avons donc une date, mais les 20 jours d'ici là vont être très longs. Nous convenons de rester en contact jusque là. Dès lors, nous échangeons encore plusieurs messages, parfois pour parler de tout et de rien, parfois pour se chauffer (OK souvent...)... Tout est bon pour utiliser cette attente à faire encore monter l'excitation. Elle me raconte comment son mari l'a conduite à ces tendances, au départ pour lui redonner confiance en elle et aussi car cette idée l'excitait beaucoup. C'est lui qui l'avait d'ailleurs encouragé à pratiquer le candaulisme de façon de plus en plus débridée. Il aimait cette frustration et elle aimait ce sentiment de séduction à d'autres hommes. Elle aime sincèrement son mari mais adore désormais l'humilier et le dominer. Montrer que lui ne peut même pas la prendre alors qu'elle s'offre intégralement à d'autres mecs. Elle m'explique le scénario qu'elle a imaginé: elle veut prendre des photos/vidéos et les envoyer à son mari pendant qu'il est au travail. Après être OK avec ça, nous convenons que les photos prises ne devront jamais dévoiler totalement nos visages. Les détails de ce récit (prénom, âge, lieu, etc...) sont véridiques à la demande de Sara afin que tous ceux qui la reconnaîtrait sauront à quel point son mari est un cocu épanouis.

RECIT

Approche enfin la date tant attendue. La veille elle me communique son adresse exacte et fixe l'heure de rendez-vous à 14h00. Son mari sera absent et ses voisins du dessous sont en vacances à l'étranger. Tout les voyants sont au vert...

Me voici donc, quelques minutes avant le rendez-vous suivant scrupuleusement les consignes de mon GPS à travers Neuchâtel jusqu'à arriver devant l'adresse communiquée. Je m'assure que le signal convenu est bien présent (un linge bleu accroché au balcon) avant de sortir du véhicule et de me diriger vers l'entrée de l'immeuble.


Je sonne et en un instant, la porte d'entrée se déverrouille. J'entre et prends l'ascenseur jusqu'au 3ème. J'arrive sur le palier et avance vers le dernier appartement au bout du couloir. La porte s'ouvre sans que je n'ai à frapper et elle se tient debout face à moi recouverte d'un léger peignoir. Une salutation gênée et nerveuse et elle me laisse entrer. Elle referme la porte aussitôt et la verrouille. Elle se retourne et vient se plaquer fermement contre moi et m'embrasse. Je sens sa poitrine collée à mon torse et son bas-ventre presser mon sexe à travers mes vêtements. Puis elle m'invite à la suivre et à prendre place au salon. Et bien que voilà un accueil des plus prometteurs... Je la regarde partir en direction de la cuisine, son peignoir qui arrive à mi-cuisses dévoile ses jambes nues. L'appartement est très lumineux avec une grande baie vitrée donnant sur un balcon. On aperçoit partiellement le lac dans le coin. Le reste étant malheureusement caché par un autre immeuble situé devant. Depuis la cuisine, elle me propose un verre de vin, que j'accepte volontiers. Elle revient et s'installe à côté de moi. Elle remplis deux verres de vin rouge et nous trinquons avant d'en boire une grosse gorgée chacun. Elle semble tout aussi nerveuse que moi si ce n'est plus. Je me penche alors vers elle et l'embrasse langoureusement avant de lui dire que je la trouve très sexy et excitante. Je la vois quasi aussitôt se détendre. Échange de quelques banalités, quelques regards taquins et rapidement nous voilà à l'aise. Elle saisit son iPhone qui vient de vibrer. Elle le regarde et me montre l'écran. En gros plan une photo d'un sexe compressé dans une cage étriquée équipée d'un petit cadenas. Il ne doit pas dépasser 4 centimètres de long et semble vouloir exploser cette structure métallique tant son sexe aimerait laisser s'exprimer son érection. J'ai presque de la compassion pour la pauvre victime en voyant ça....

"C'est mon mari qui vient de me l'envoyer, regarde." Me dit-elle amusée tout en me montrant leurs échanges précédents. Elle avait passé une grosse partie de la journée à le chauffer avec des mots et à l'humilier avant de lui demander de se rendre aux WC du bureau et de lui montrer sa cage. 

"Il en peut plus. Il porte sa cage sans arrêt depuis 4 mois. La clef est ici." me dit-elle en montrant une petite clef à son pendentif autour du coup.

"Il a l'interdiction de jouir et si je veux qu'il me baise c'est avec un god ceinture qu'il porte. Et sinon c'est avec des amants que je prends mon pied...". Ce sadisme et cette perversion combinés au contenu des messages envoyés me font irrémédiablement bander. A son regard satisfait en voyant la bosse dans mon short, je devine que mon érection n'est pas passée inaperçue. Elle boit une gorgée de vin puis se lève et se dirige vers le fauteuil en face avec son smartphone en main. Elle fixe son smartphone sur un petit trépied que je n'avait même pas vu puis le dirige bien en face du fauteuil. Elle commence l'enregistrement d'une vidéo destinée à son mari:

"Alors mon chéri, j'espère que tu n'es pas trop à l'étroit. Dommage que tu sois si loin, j'ai tellement envie de baiser que si tu étais là, je te laisserais enfin me mettre ta petite queue en moi et me baiser. Tu pourrais enfin jouir dignement...". Puis sa main glisse lentement dans son peignoir laisse deviner les caresses à son sein gauche. J'observe silencieusement le spectacle tout en bandant de plus belle. Elle entrouvre son peignoir, dévoilant un sein dont le téton est enflé de désir. Léchant son doigt avant de titiller à nouveau son téton. Puis elle envoie la vidéo et me regarde en me disant: "Pas trop chaud? Mets toi à l'aise" Puis elle se lève et vient vers moi. Je me lève et nous nous embrassons, son peignoir largement ouvert dévoile sa poitrine que je lèche aussitôt. Elle me retire mon t-shirt puis m'embrasse le torse puis le bas ventre tout en caressant mon sexe en glissant sa main dans la cuisse de mon short. Son smartphone vibre et vibre encore. Les messages continuent d'arriver mais elle ne cesse de caresser lentement mon sexe au travers de mon boxer. J'ai tellement envie de sentir sa main prendre ma queue, de sentir sa langue et sa bouche jouer avec mon gland... Puis elle se relève et laisse tomber son peignoir à ses pieds avant d'aller s'asseoir à nouveau dans le fauteuil. Elle rit tout en me montrant les réponses de son mari... il crève littéralement d'envie, il à l'impression que son sexe va se briser dans cette cage et il la supplie de  lui retirer la cage ce soir... Je retire le reste de mes vêtements et libère enfin mon sexe dressé et impatient. Elle le regarde raie de l'effet procuré et du membre dressé pour elle.

"Installe-toi et profite du spectacle..." Me dit-elle avant de se positionner bien confortablement en face de sa caméra. Elle débute une nouvelle vidéo...

"C'est vrai? Tu aimerais vraiment me baiser ce soir? Ca te manque ma bouche? Ma chatte? Plonger ta queue en moi et finir par exploser à nouveau en moi? J'en meurs d'envie, je serais prête à te laisser me prendre à nouveau." Puis tout en continuant ses provocation, elle commence à se caresser avec plus d'insistance, sa main descendant lentement vers son vagin. Ses cuisses serrées s’entrouvrent lentement alors qu'elle continue de chauffer son mari. J'observe le tout avec délice et ma main ne résiste pas à caresser lentement mon sexe face à elle. Je vois à son clin d’œil que cette vue ne lui déplaît pas. Elle stoppe la vidéo et en attendant la réponse de son mari, écarte largement les cuisses, posant les jambes sur l'accoudoir du fauteuil. Elle me fait signe d'approcher. Je m'agenouille aussitôt devant cette chatte trempée et offerte ainsi et m'empresse d'y plonger ma bouche pour me délecter de ce délicieux nectar. Rapidement ces soupirs font place à des gémissements plus ou moins bruyant selon la manière dont je glisse ma langue sur son clito gonflé ou dans sa chatte inondée. Son téléphone vibre et vibre à de multiple reprises. Elle ignore volontairement ces messages, savourant encore ma langue. Elle saisit ma tête et tout en remontant son bassin, plaque mon visage contre sa chatte. J'accélère un peu le rythme et la pression de ma bouche. En quelques secondes elle hurle de plaisir en prenant son pied. Je savoure cette chance et tout le jus qui s'écoule de sa chatte tout en me disant, amusé, que c'est une bonne chose que les voisins soient absents... Elle reprend son souffle alors que je l'embrasse langoureusement pour lui partager son jus avant que je ne retourne sur le canapé comme si de rien n'était, le verre de vin à la main...

"Oh putain que c'était bon! Allez, on va faire monter encore un peu la température..." Me dit-elle en reprenant son téléphone.

Elle me fait voir les messages de son mari. Il en peut plus le pauvre... Elle amorce une nouvelle vidéo.

"J'ai vraiment le feu c'est trop long d'attendre ton retour ce soir... Comment veux-tu que je fasse? Regarde comme je mouille!" puis elle montra sa chatte encore remplie de ce mélange de cyprine et de salive avant de commencer à se doigter lentement... De mon côté je bande comme un fou! C'est un volcan cette nana !!! Elle stoppe la vidéo et la réponse arrive en moins de 10 secondes. Et une nouvelle vidéo:

"Tu ne peux pas rentrer plus tôt que ça? Je ne suis pas d'accord. Tant pis pour toi. Heureusement pour moi j'ai une belle queue à portée de main." Elle me regarde et me fait signe de la tête d'approcher. J'entre dans le champ et elle s'empresse de saisir ma queue dans sa main et tout en la branlant très lentement dit:

"Regarde ça, c'est lui qui va pouvoir me baiser et toi tu n'auras rien finalement. Tu resteras en cage." puis elle avale ma queue dans sa bouche et la suce avidement en plongeant ses yeux tantôt droit vers la caméra tantôt dans les miens. Sa langue lèche chaque millimètre de mon membre, descendant s'occuper de mes bourses s'aventurant parfois vers mon anus qui savoure ce traitement. Elle continue ainsi durant 2-3 minutes puis enfonce mon sexe au plus profond de sa bouche avant de la ressortir, coulant de sa salive, et lançant à la caméra: "Bon petit cocu! Va gagner de l'argent, ce soir tu vas m'inviter au resto parce que j'aurai faim après avoir baisé avec mon amant. Je te laisse, là tu nous dérange!!!". Elle stoppe la vidéo, l'envoie et pose son téléphone sur la table basse.

"Bon je crois qu'il a de quoi se faire son idée maintenant. A nous de nous amuser maintenant." Puis elle suce encore ma bite trempée. Alternant caresses, profondes, gland, bourses, anus, etc... Elle suce vraiment bien et on a réellement l'impression qu'elle aime ce pouvoir. Je quitte sa bouche pour éviter de ne jouir trop rapidement puis je l'installe à l'envers sur le fauteuil, la tête en bas et les jambes en l'air. 

Photo d'illustration

Je pose mes genoux de chaque côté de ses hanches, écartant largement ses cuisses avec mes mains, sa chatte est totalement à ma merci. Je lèche et suce son clito, frappant quelques petites claques sur ses grosses lèvres trempées. Elle adore... Mes doigts s’immiscent en elle alors que ma langue affole son clitoris elle râle de plaisir et à peine ai-je commencer à glisser ma langue vers son anus qu'elle hurle et jouit. Aussitôt. Je ne m'arrête pas et lèche avec application cette petite rondelle rose y enfonçant un doigts très lentement. Elle saisit ma queue qu'elle branle maladroitement, la position n'étant pas des plus confortable pour elle. J'adore et ses encouragement à continuer me font constater que elle aussi. Je reconnais désormais les signes avant-coureurs d'un 3ème orgasme qui approche. Je plaque ma main contre son vagin, mes doigts sur son clito et frotte alors rapidement. Elle hurle en jouissant. Les jambes tremblantes, elle tente de reprendre son souffle. 

Photo d'illustration

Je me relève et m'agenouille face à son visage. Mon sexe se fraie un chemin dans sa bouche haletante et s'enfonce au plus profond. Je m'amuse à laisser ma queue au plus profond quelques secondes puis la retire. Encore essoufflée, elle peine à reprendre pied. Je m'amuse encore de cette situation quelques minutes. La salive s'écoule sur son visage alors que ma queue est inondée. Je stimule de temps à autre sa chatte ultra sensible et béante. Cette vision est tout bonnement sublime et je saisis son smartphone pour prendre une série de photos qu'elle pourra ensuite envoyer à son mari. Je me retire finalement et la laisse se redresser. Je la vois à la recherche d'un mouchoir pour essuyer son visage souillé. Je l'interpelle aussitôt et lui propose, en rigolant, d'utiliser un vêtement que devra porter son homme ce soir lors de leur sortie au restaurant. Elle me lance un regard approbateur et file dans la chambre à coucher avant de revenir quelques secondes plus tard avec un polo qu'elle retourne à l'envers, avant de s'essuyer méticuleusement le visage avec la partie du polo qui viendra juste sous le visage de Monsieur ce soir... Je reste médusé par son sadisme et sa perversité. Je ne pensais pas qu'elle ferais ça. Puis elle se dirige lentement vers moi et essuie également mon sexe avec le morceau de tissu qu'elle pose ensuite sur le canapé avant de saisir son smartphone. Elle explose de rire avant de me montrer le nombre de messages reçus mélangeant frustration extrême et excitation insoutenable. Elle pianote quelques mots puis envoie quelques-une des photos prises toute à l'heure. A peine le temps de poser l'appareil sur son trépied et de s'assurer de la prise de vue que celui-ci vibre déjà annonçant les réponses de son mari. Elle ignore le tout et vient m'embrasser longuement alors que sa main s'assure de la dureté de mon membre... Elle m'assied face à la caméra sur le fauteuil puis s'assure que la caméra de son smartphone ne cadre pas mon visage. Elle allume le tout et se place entre l'objectif et moi et dit:

"Alors mon amour de cocu, tu t'ennuies pas trop? Moi pas du tout... Il vient de me faire prendre mon pied et de me baiser la bouche comme si j'étais sa petite chose et là je vais me faire sauter." Elle se relève, prend un préservatif qu'elle ouvre lentement. Elle prend soin de me sucer lentement la queue en fixant bien la caméra en prenant grand soin d'ajouter quelques commentaires au passage... "Sa bite est tellement bonne; Elle est tellement meilleure que ta petite queue;..." puis elle déroule le morceau de latex sur ma bite, se redresse et, me tournant le dos, s'assied lentement sur ma bite qui entre en elle accompagnée de nos gémissements réciproques. Elle écarte largement les cuisses pour que son mari ne perde pas une miette de ma bite entrant dans sa chatte. Encore quelques dizaines de secondes, puis elle stoppe la vidéo et l'envoie avant de recommencer un enregistrement. Elle se retourne, prend appuie sur ses genoux et descend à nouveau s'empaler sur mon membre tout en cambrant bien histoire d'offrir une belle vue à son homme. Elle m'embrasse alors que je lui écarte largement les fesses. Elle accélère le rythme alors que mon index commence à caresser son anus. Nos langues s’emmêlent, se baladent dans nos cous respectifs sur sa poitrine... Je dépose une grosse quantité de salive sur mon index qui s'enfonce ensuite minutieusement dans son petit trou alors qu'elle gémit volontairement dans mon oreille ce qui m'excite encore plus. Rapidement un second doigts commence à s'introduire et à peine une phalange pénètre son anus que je la sens accélérer le rythme alors que son souffle se fait de manière saccadée. J'enfonce un peu plus mon doigts et accentue quelques coups de reins qui lui arrache un violent orgasme. Elle crie, son corps se crispe sous les spasmes alors que je sens son jus couler jusqu'à mes couilles. Je parviens in extremis à ne pas jouir à cet instant là. Elle reste immobile quelques instant pour reprendre ses esprits et son souffle puis penchant la tête en se tournant légèrement pour rentrer dans le champ:

"Tu as vu comme je me suis bien faîte baisée? Ma chatte est complètement trempée. Heureusement que j'ai de quoi m’essuyer." Elle saisit le polo puis se relève et essuie sa chatte trempée, ses cuisses et ma queue. "Tu reconnais ton pull? C'est celui que tu porteras ce soir et qui te rappellera comme ta femme s'est bien faîte prendre par un autre mec." Puis elle coupe la caméra et envoie le tout. Elle m'embrasse et me demande si tout est OK pour moi. Je lui dis que oui et que je m'éclate réellement. Elle me dit qu'elle aussi. Elle me tend mon verre de vin et que nous terminons en 2 gorgées alors qu'elle ne cesse de caresser mon sexe toujours dans la capote et mes testicules. "Je reviens" Puis elle se lève et sort du salon avant de revenir, un tube à la main. Un petite sourire coquin en me montrant le tube de lubrifiant: "Partant?". Tu m’étonnes me dis-je... Alors que les messages ne cessent d'arriver.

Je lui laisse prendre place sur le fauteuil. Elle s'agenouille à même le sol puis pose son torse sur le fauteuil, remontant ses fesses m'offrant par la même occasion une vision des plus exquises.

Photo d'illustration

Je prends le lubrifiant que je répartis lentement sur sa rondelle avant d'y introduire à nouveau un doigts pour pousser le lubrifiant à l'intérieur. Une nouvelle dose de lubrifiant et en quelques minutes de préparation, mes deux doigts s’immiscent facilement en elle. Son cul prêt elle se retourne allume la caméra: "Bon, ça fait des mois que tu ne m'as plus pénétré avec ta petite bite et lui vient de bien me prendre et maintenant il va même me prendre par derrière là où tu n'auras jamais plus le droit de venir." Puis elle se repositionne tel que précédemment et me regardant par dessus son épaule me lance: "Tu veux bien venir m'enculer? J'ai très envie de te sentir dans mon cul!". Cette seule phrase suffit à dresser fièrement mon membre que j'arrose aussitôt de lubrifiant avant de venir me dresser derrière elle en prenant soin de faire en sorte que son mari ne manque rien du spectacle. Puis je pose mon gland sur son petit trou et commence lentement mon avancée. Ses mains écartent ses fesses pour faciliter le passage et ses soupirs, que je la soupçonne d'accentuer pour provoquer encore plus son mari, accompagnent les va-et-vient qui se fond progressivement plus profonds et rapides. En quelques minutes, la pénétration se fait intense. Sa main caresse son clito en même temps alors que je suis littéralement en train de lui défoncer le cul pendant que ses râles, qui ne semblent pas exagérés cette fois-ci, raisonnent dans la pièce accompagnés de mots des plus salaces de part et d'autre... "Vas-y défonce moi comme une bonne salope!" "T'as vraiment un petit cul de chienne." "Alors t'es contente? Tu te fais bien enculer?" "Oh oui!" et autres florilèges de la langue française... Elle jouit une nouvelle fois en plaquant son visage contre le tissus pour couvrir ses hurlements. A peine a-t-elle terminé que je ne peux plus retenir ma jouissance plus longtemps. Je ressors de son cul béant et retire la capote. Elle écarte son cul pour laisser le soin à la caméra de l'immortaliser ainsi puis elle s'agenouille devant mon sexe prêt à exploser. De profil, fasse à la caméra, elle crache sur mon sexe puis le branle devant sa poitrine. Quelques secondes suffisent à me faire jouir. Des jets de sperme jaillissent sur sa poitrine accompagnés de mes soupirs de plaisir. Elle prends ensuite mon sexe en bouche pour nettoyer les dernières gouttes de mon jus qu'elle laisse ensuite s'écouler de sa bouche en fixant la caméra alors que sa langue vient subtilement titiller mon gland rendu sensible. Je saisis ma queue et glisse mon gland sur sa bouche, ses joues, la souillant du reste de sperme s'en échappant... Elle me regarde droit dans les yeux en prenant soin de caresser sa poitrine avec le sperme qui s'y trouve puis elle lèche lascivement ses doigts avant de laisser une nouvelle fois le tout s'écouler de sa bouche accompagné de salive... "Son foutre et tellement bon! La prochaine fois il jouira dans ma bouche et j'avalerai le tout jusqu'à la dernière goutte..." Elle saisit le polo et essuie son visage et sa poitrine avec. Puis elle essuie ensuite ma queue avec application. Elle se dirige vers son smartphone et juste avant de stopper et envoyer la vidéo, adresse un ultime message au cocu comme elle aime à l'appeler...

"Bonne fin de journée et à ce soir. Nous on va aller se doucher tous les deux et qui sait, peut-être baiser encore..." On boit un nouveau verre de vin pendant une dizaine de minutes, le temps de "débriefer" de l'expérience que nous définissons tous les deux amusés comme étant : "Une putain de bonne baise!"... Puis elle me prend par la main et nous nous dirigeons tous deux dans la douche. L'eau chaude savonneuse glisse sur nos corps que nous frottons mutuellement en prenant soin de ne pas oublier les zones les plus intimes de nos anatomies respectives... Je ne résiste pas longtemps à l'envie de la faire jouir à l'aide d'un dernier cunni sous la douche. Quelques secondes suffisent à lui provoquer un nouvel orgasme, avant qu'elle ne s'agenouille derrière moi, glissant sa langue entre mes fesses pendant que sa main pleine de savon caresse délicatement mon sexe exténué qui reprend toutefois rapidement consistance devant tant de plaisir. Elle accélère le rythme et la force des caresses, sa langue se balade entre mes fesses avec plus d'insistance. C'est tellement bon... 

Photo d'illustration

Fermement décidée à m'achever, elle continueras ainsi de longues minutes et malgré l'hypersensibilité de ma queue et le peu de répit accordé, je perds tous mes moyens et finis par jouir une nouvelle fois dans un râle incontrôlable de plaisir. Sa main est un mélange de savon et de sperme qui finit de caresser mon sexe tout en douceur. Elle se  relève, collant sa peau à la mienne avant que nous nous embrassions longuement. La douche terminée, nous nous habillons et nous convenons de rester en contact et de remettre ça à l'occasion...

Je quitte son appartement après une ultime accolade et un baiser, accompagné des images torrides qui inondent mon esprit durant tout le trajet de retour. Plus tard dans la soirée elle me fait parvenir quelques messages, dont une photo partielle de son mari portant le polo utilisé plus tôt comme vulgaire chiffon pour essuyer les traces de nos ébats. Apparemment il a une odeur de sexe assez prononcée lorsque l'on s'approche et son mari en respirera les effluves durant toute la soirée. Elle m'explique également qu'il a cherché à savoir qui était présent aujourd'hui avec elle et que pour continuer à le rendre fou, Elle a prétendu qu'il s'agissait d'un de ses potes. Selon elle, il va devenir dingue à chaque fois qu'elle saluera, cordialement forcément, l'un de ses potes de savoir si c'est lui qui à baisé sa femme en cette journée de juillet ou un autre pote...

jeudi 2 juin 2022

[Récit réel] Lara la jeune vaudoise qui n'a pas froid aux yeux

Voila un récit datant de près d'un an que j'ai longuement hésité à publier. En effet, cette expérience a rencontré quelques imprévus qui ne l'ont pas rendue aussi intense et idéale que ce que nous aurions souhaité. Mais c'est aussi ça les rencontres, tout ne se passe pas toujours comme prévu ;-)

PREAMBULE

Lara est une jolie étudiante vaudoise d'un peu moins de 30 ans vivant dans un petit appartement dans une ville vaudoise. Elle a pris contact au mois de juin 2021 via une annonce que je poste régulièrement sur un site. Extrêmement intriguée par cette attirance pour les scénarios d'abus et de viols simulés, nous en avons discuté ensemble. Ces envies et fantasmes étaient clarifiés et ainsi que ses (rares) limites. Nous avons hésité longuement sur le lieu de notre rencontre, un hôtel? un BnB? etc... finalement elle ne se sentait pas à l'aise dans ces lieux impersonnels et à préféré que cette rencontre se déroule dans son petit studio. Nous voulions nous accorder 2-3 heures pour cette rencontre et toutes les idées que nous avions évoquées mais les agendas rendaient une telle durée impossible avant plusieurs semaines et ce n'était pas acceptable pour cette douce impatiente. Dès lors et après discussion, elle m'a également dit que le viol rapide était également un fantasme. Donc nous avons décidé de partir sur une courte séance à la mi-juillet 2021.

Ses attentes:
- être abusée dans son sommeil
- un viol simulé
- des gifles
- étranglement

Ses limites:
- discrétion vis-à-vis du voisinage
- aucune marque visible à la fin de notre séance

Préparation:
Adepte de la sieste de début d'après-midi, nous avons convenu qu'elle ne verrouillerait pas sa porte d'entrée cet après-midi là. Elle devrait portait un petit chemisier, un string et des bas pour sa sieste (certes pas la meilleure tenue pour dormir).

RECIT

Me voilà donc marchant en direction de son adresse. Je traverse une petite court et entre dans le hall qui délivre 2 appartements. L'autre appartement était vide, je ne risquais pas de croiser qui que ce soit. Je sors donc ma cagoule de mon sac à dos ainsi qu'une paire de menottes que je glisse dans la poche de mon jeans puis je commence à monter lentement les escaliers en bois qui résonnent et craquent sous mes pas. Je tente de rester silencieux pour ne pas prendre le risque de réveiller Lara en l'avertissant trop rapidement de mon arrivée. Une fois sur le palier, j'entre doucement dans le petit appartement. Je retire mes chaussures immédiatement pour rester silencieux. J'entre dans la douce pénombre de ce petit lieu paisible que je balaie rapidement du regard. Lara n'avait pas menti, c'est petit mais fonctionnel. Une cuisine en face, une table puis sur la gauche,  un recoin ou se trouve un lit. J'avance lentement et savoure la vision:
Un corps, dans la tenue que nous avions convenu, est allongé et me tourne le dos semblant dormir sereinement. Ses petites fesses fermes m'appellent... Je me dirige calmement vers le lit et après avoir déposé le sac au pied d'y lit, m'y assieds.
Je glisse très lentement une main sur sa cuisse, la laissant vagabonder lentement sur son dos, ses fesses, ses jambes... Puis ma main se faufile entre ses cuisses, caressant sa chatte au travers de son string. Légèrement, sans brusquer les choses... Je sens son string déjà humide et la chaleur qui se dégage de son entrejambe me laisse deviner que la sieste ne devait pas être des plus reposante. Je caresse ses lèvres avec plus d'insistance à présent et j'entends son souffle qui s'accélère accompagné de petits gémissements... Puis ma belle ingénue se retourne enfin, me dévoilant ce visage innocent. Elle me fixe quelques secondes, puis une fois redescendu sur terre et conscient de ce qui se passe, commence à se débattre. Je maintiens ses mains avec ma main gauche alors que ma droite commence à frotter fermement son vagin au travers de son string qui trahis sa réticence feinte (ce qui est plutôt bon signe, vous en conviendrez).
Quelques instant plus tard, je sors les menottes de ma poche arrière et t'attache les mains dans le dos. J'arrache ton chemisier et tout en entendant les boutons tomber sur le sol, regarde cette poitrine se dévoiler devant moi. Les tétons dressés. Tu te débats, tentant de me raisonner... "Non arrêtez! Laissez-moi!". Quelques coups de langue sur tes tétons et je saisis fortement ton string. Je le tire fortement puis te le retire. Tu te trémousse vainement. Rapidement ta chatte est ainsi offerte... Tu continues de t'agiter. Si bien que l'une des menottes s'est ouverte... Je la remets aussitôt et poursuit mon exploration. Mes doigts partent fouiller ton intimité déjà trempée. Mes doigts s'immiscent en toi. Je te doigte un peu, donne quelques claques sur ton clito. Puis je me relève et retire mon pantalon. Je te positionne sur le côté et sort ma queue de mon caleçon pour te la présenter. Tu sers les lèvres et détourne la tête. Je te saisis par les cheveux d'une main et te donne une gifle sur la joue. Puis une seconde en pressant mon gland contre tes lèvres pincées. La troisième claque te fais ouvrir les lèvres et avaler le membre dressé. Je maintient ta tête par les cheveux et baise ta bouche comme si je baisais ta chatte. Je ressort ma queue pleine de ta salive et la frotte sur ton visage avant de replonger dans ta bouche. Tu te débats et les menottes s'ouvrent à nouveau. (saleté de menottes bon marché!!!). Tes mains viennent tenter de me repousser. Je me retire et te remets les menottes avant de te reposer sur le dos. Je te glisse au bord du lit et je laisse tomber ta tête en arrière dans une position proche de celle-ci:


Mon sexe pénètre à nouveau ta bouche profondément alors que ma main va tantôt caresser ta chatte, tantôt te donner une gifle. Je frotte énergétiquement ta chatte en sortant ma queue pour la frotter à nouveau sur ton visage. Puis j'enfonce à nouveau mon sexe profondément dans ta bouche. Une fois bien au fond, je reste ainsi et te bouche le nez durant quelques secondes. Je réitère ce traitement quelques fois puis constate que ces satanés menottes ont encore une fois déclarées forfait... Je serre ta gorge avec ma main gauche. Tes deux mains tentent vainement de me faire relâcher la pression autour de ta gorge alors que je claque ton clito. Je me redresse et tout en observant les menottes retirées je dis:
"Tu veux me sucer de ton plein grès ou tu veux que je te la mette dans le cul de force?"
Tu me réponds aussitôt: "Je vais vous sucer." puis tu te mets à quatre pattes devant mon sexe que tu saisis de ta main et commence à sucer lentement. 
"Suce-moi comme une bonne salope!"
Tu continues à me sucer de façon trop pondérée à mon goût. Je saisis tes cheveux et recommence à brutaliser ta bouche. "J'avais dit comme une bonne salope!". Quelques séries de claques et de vas et vient dans ta bouche plus tard, je ressort ma queue que j'essuie sur ton visage. Je prends une capote que je peine à ouvrir avec mes doigts trempés (décidemment les éléments sont contre nous...). Ce contretemps m'oblige à refaire un passage dans ta bouche de salope (car oui ta bouche est gourmande, avide et accueillante...) pour me faire durcir. Une fois chose faite, j'enfile le morceau de latex, te retourne sur le ventre avec les jambes serrées et commence à te prendre ainsi:


Tes mains tentent de me repousser, mais sans grande conviction... J'enfonce aisément mon pouce empli  préalablement de ma salive dans ton petit trou alors que je continue mes mouvements. Tirant parfois sur tes cheveux ou te donnant une claque sur tes fesses. Les mélanges de supplications, de soupirs, de cris échappés me font bander de plus en plus fort.
Je ressors mon membre de ta chatte et pose mon gland contre ton petit trou, bien décidé à te prendre par ici. Mon gland entre à peine et tes mains viennent essayer de m'empêcher de t'enculer. Et lorsque ta petite voix me supplie "Non pas là, pas dans le cul..." en me regardant de tes grands yeux, je me fais totalement surprendre par un orgasme. A peine le temps de me retirer et d'enlever la capote que de longs jets de sperme viennent s'échouer sur tes fesses accompagnés de tes bruits de satisfaction au contact du liquide chaud... Complètement interrompu par cet orgasme arrivé sans prévenir, nous nous allongeons côte à côte et je continue de te caresser de la main pour te faire jouir (quand même, c'est le minimum).
Nous restons un moment à discuter de tout et de rien puis une fois habillé, je repars. 

Des menottes Made In China, une capote récalcitrante et un orgasme bien trop rapide auront compromis cette première expérience qui n'en reste pas moins enivrante . En attendant, la première poubelle sur le chemin du retour aura recueilli ces menottes et depuis une autre paire de bien meilleure facture les a remplacé. 

Donc voilà, nous voulions un scénario de viol rapide, mais pas autant... Mais ces instants en ta compagnie ont été torrides et follement coquins. Tu as trop bien joué ton rôle chère L. C'est là le signe d'un réel potentiel pour une "vraie" et "longue" expérience des plus perverses que je m'empresserai de vous conter si l'occasion se présente.

Et navré pour le chemisier, tu as dû retrouver des boutons pendant des jours un peu partout 😅

mercredi 4 mars 2020

[Récit réel] Marion, épouse et maman dévergondée

PRÉAMBULE

Après une (très, trop) longue absence que ma plus fidèle lectrice (et muse malgré elle à ses heures perdues) s'est empressée de me faire remarquer, je me suis remis en quête de nouvelles volontaires (ou victimes consentantes, selon votre point de vue). Après avoir publié différentes annonces sur des sites plus ou moins ciblés, j'ai eu deux réponses prometteuses (je vous passe les réponses de curieuses ou curieux(!), de personnes se défilant lorsque les choses commençaient à se concrétiser et autres joies des rencontres sur Internet). Parmi ces deux réponses, l'une d'elle s'est réalisé particulièrement rapidement. Concernant la seconde, elle est toujours en cours de planification dirons-nous...
Voici donc Marion, mère de famille de 44 ans, vivant en Riviera vaudoise. Mariée à un homme avec qui elle est heureuse mais qui ne semble plus la regarder comme avant selon ces dires. Elle recherche un moment, un bulle hors de la réalité, où se sentir juste femme, et plus uniquement la mère de deux ados; cantonnée en mode bobonne à la maison en attendant sagement le retour de son mari. Elle a eu quelques aventures par-ci, par-là mais là elle cherchait à réaliser un fantasme bien précis.
Je suis souvent surpris par des petits détails demandés lors de la réalisation de fantasme, un vêtement particulier, un nom à utiliser, un moyen de contrainte, une insulte bien spécifique, un lieu, etc... mais Marion avait rédigé toute une liste de souhaits... Quelques échanges plus tard, voici quelques doléances parmi d'autre qu'elle avait.

- un lieu genre B&B, pas d’hôtel et rien à domicile.

- le lieu devait être accessible en transport public
- je devais être cagoulé, elle voulait pouvoir se dire en croisant quelqu'un dans la rue qui la regarde différemment: "Était-ce lui?"
- elle voulait se sentir brusquée, déstabilisée et humiliée. Pas de ménagement, du moment que ça ne laisse pas de trace visible.
- ça devait se dérouler un jeudi après-midi et terminer à 16h au plus tard
- elle ne voulait pas de photo ou vidéo, rien qui permettrait de la reconnaître
- je devais m'occuper de ses pieds
- elle voulait se sentir souillée
- elle ne voulait pas à proprement parler être dans un scénario de viol, mais plutôt de soumission et d’humiliation.

Voilà dans les grandes lignes ce qu'il en était de ses attentes. Et les miennes étaient simples, elle devait venir vêtue de la manière suivante:

Talon, bas, jupe à mi-cuisse et un chemisier fortement entre-ouvert laissant apparaître ton décolleté. Aucun sous-vêtements. Et un manteau pour se protéger du froid et des regards pervers des autres usagers du transport public utilisé.

Et bien entendu, comme à chaque fois, j'assure une discrétion totale et une hygiène absolue. Un safe-word et toujours avec protection évidemment.


Voici donc le récit de cette rencontre qui restera pour moi l'une des meilleures.



RÉCIT

Après avoir été récupéré les clefs du Air B&B correspondant à ses attentes, je procède à quelques mises en place et contrôles d'usage avant de prendre place près de la fenêtre de la chambre m'offrant une vue dégagée du chemin d'où tu devrais arriver d'ici quelques minutes. L'arrêt de bus situé à quelques centaines de mètres de là, je t'aperçois, ton smartphone en main, à la recherche de l'adresse que je t'ai envoyé la veille. Le manteau fermé jusqu'au col qui ne descend pas jusqu'à tes genoux laisse apparaître de belles et fines jambes perchées sur de fins talons. Cette tenue s'avère véritablement provocante et laisse place aux idées les plus coquines à la grande majorité des hommes t'ayant croisé ton chemin ce jour là. Tu approches de la porte d'entrée ou un ruban rouge est attaché signe de l'exactitude du lieu. Au moment où la poignée de l'entrée s'abaisse, j'enfile ma cagoule.

Tu t'engouffres sans hésitation dans la chaleur rassurante de ce lieu aux allures de chalet. Un rapide coup d'oeil, la cuisine face à toi, à droite un petit salon avec sofa et quelques fauteuils. Face au canapé une baie vitrée offre un panorama sur le jardin et les montagnes libre de tout vis-à-vis. Au fond du salon une porte close te laisse deviner qu'il s'agit de la chambre après avoir repéré la salle de bains. Tu remarque immédiatement le papier sur la table devant toi. Tu le saisis et prends connaissance des instructions suivantes:

"Dépose ton manteau et ton sac à main, ferme la porte à clef puis ouvre l'enveloppe".

Tu retires ton manteau et le suspend en compagnie de ton sac à l'un des crochets de la penderie. Tu fermes la porte à l'aide de la clef puis tu retourne ensuite ouvrir l'enveloppe. Son épaisseur et son poids te laisse deviner la présence d'un objet à l'intérieur. Tu le sors de l'enveloppe et découvre un collier en acier ainsi qu'un cadenas ouvert. Une autre consigne à l'intérieur de l'enveloppe:

"Mets ce collier et ferme-le à l'aide du cadenas puis attends immobile face à la baie vitrée, debout, jambes écartées et bras croisés derrière le dos."

La porte coulissante très légèrement entre-ouverte me permet d'observer la scène. Tu reposes l'enveloppe et le papier puis sans la moindre hésitation, tu referme le collier autour de ton cou avant d'y glissé le cadenas dont tu n'as pas la clef. Tes talons raisonnent sur le parquet qui recouvre l'ensemble de l'appartement puis tu te positionne avec application devant la vitre. Quelques secondes plus tard et tu entends la porte coulisser dans ton dos, un frisson parcourt ton corps mais tu restes fièrement immobile, gonflant ta poitrine et résistant à l'envie de regarder ce qui se passe derrière toi. Je m'assieds dans l'un des fauteuils avant de te dire d'une voix posée:

"Retire ton chemiser sans te retourner et reprends cette position ensuite."

Lentement, tu déboutonne le morceau de tissu que tu pose sur la petite étagère près de toi. Tu reprends ensuite ta position alors que je contemple ton dos nu et le haut de tes jambes laissant apparaître le haut de tes bas.

"La jupe maintenant."

Tu obtempères aussitôt et laisse glisser lentement la jupe le long de tes jambes. D'un geste du pied, tu la repousses sur le côté. Cette nudité devant cette baie vitrée provoque un mélange de gène et d'excitation en même temps. Je constate avec satisfaction que tu ne portais effectivement rien sous tes vêtements. J'observe ton corps face à ce contre-jour dévoilant tes courbes. Je m'approche lentement de toi et me collant à ton dos, laisse glisser une main le long de tes seins. Je sens ta respiration s'accélérer aussitôt et observe, amusé, tes tétons se dresser rapidement sous mes caresses. Je presse fortement tes seins à pleines mains puis tire sur tes tétons. Faisant durer ce supplice, je t'observe soulever les talons pour accompagner mes tensions et soulager la douleur naissante. Puis mes mains descendent lentement le long de ton ventre et tes hanches, te provoquant de petits spasmes que tu contrôles tant bien que mal. Peu avant d'atteindre ton pubis, mes mains viennent malaxer tes fesses, fermement, les écartant, étirant déjà ton anus. Quelques instants plus tard, tu entends un bruit métallique qui vient se glisser sur ton épaule et ta poitrine. Tu baisses la tête pour voir l'objet glacé qui effleure de corps et reconnaît une laisse.
"Je t'avais dit de ne pas bouger!"
"Pardon" dis-tu en relevant aussitôt la tête.
La chaîne quitte alors ta peau puis tu entends alors un bruit fendre l'air et venir s'écraser sur tes fesse. Tu lâches un cri de surprise et de douleur. La poignée en cuir de la laisse vient s'écraser une nouvelle fois sur tes fesses accompagnée d'un nouveau cris. Je continue ainsi passant d'une fesse à l'autre en te voyant faire tout ton possible pour garder la position.Tu sens tes fesses brûlantes et chaque coup paraît plus difficile à supporter que le précédent. Voyant tes fesses rougis par la douleur, j'estime que c'est suffisant pour un premier avertissement. Je viens me mettre fasse à toi et pour la première fois tu me vois, la laisse encore dans la main.Présentant le crochet, tu me présente docilement ton collier pour y attacher la laisse.
A peine celle-ci fixée, que je me repositionne derrière toi et tirant d'une main sur la laisse tu sens le collier te couper le souffle alors que mon autre main s'aventure entre tes cuisse et part titiller ton clito et ta chatte. Tu restes immobile, haletante, les yeux fixant l'extérieur en espérant que personne ne peut te voir dans une telle situation. Je claque un peu ton vagin avec ma main avant de relâcher la tension sur ta gorge quelques secondes.
"Tourne-toi et agenouille-toi à présent"
Tu obéis. Ton visage à quelques centimètre de mon pantalon que je déboutonne lentement, laissant apparaître mon sexe déjà dressé. Une tension sur la laisse pour amener ta bouche à mon gland et enfourner aussitôt ma queue dans ta bouche. Mon autre main agrippe tes longs cheveux gardant ainsi ta tête bien en place alors que je fais des vas-et-vient toujours plus profond dans ta bouche. La salive s'écoule rapidement de ta bouche alors que je plonge ton visage sous ma queue pour te faire lécher mes couilles. Passant ta bouche de mes couilles à ma bite, je m'arrête de temps à autre pour te donner une gifle avant de reprendre le même rituel. Retirant mon pantalon, je me retourne et plonge ta tête entre mes fesses.
"Lèche"
Tu esquisses un mouvement de recul en guise de refus. Refus aussitôt sanctionné par une série de petites gifles et de lourdes fessés. Puis je tire violemment sur la laisse et t'entraîne jusqu'au sofa. Tu suis maladroitement, à quatre pattes, les fesses en feu. A même le sol, appuyée contre le canapé, ta tête sur l'assise je plonge, à plusieurs reprises, ma queue profondément dans ta bouche, te provoquant des haut-le-cœur. Je ressors mon sexe trempé que j'essuie sur ton visage, avant de me retourner et de m'asseoir sur ta bouche.
"Lèche-le maintenant ! Et ne me fait pas répéter."
Je sens ta langue glisser timidement entre mes fesses et venir titiller mon anus. Je constate rapidement que tu lâches prise et que ta langue se fait de plus en plus confiante et aventureuse alors que ta main droite vient saisir ma queue gonflée et commence à la branler en même temps.
"Et bien voilà une bonne chienne, bien salope dis-moi."
Ta langue et ta main se font encore plus insistantes en synonyme d’acquiescement.
Je t'allonge ensuite sur le canapé, sur le dos, la tête qui retombe en arrière par dessus l'accoudoir. Je viens poser ma queue devant ta bouche et commence de profonds va-et-vient alors que ma main part explorer ton entre-jambe. Ta chatte trempée et ouverte ne laisse aucun doute quant à ton appréciation des traitements infligés. Je frotte énergiquement ton clito gonflé et ta chatte de ma main. Ta bouche se sert autour de mon sexe qui s'engouffre profondément dans ta bouche. J'insiste encore et tes cris étouffés par mon sexe accompagnent un premier orgasme. Ma queue trempée sort de ta bouche et vient une nouvelle fois souiller ton visage, puis ma main trempée de ta mouille procède au même traitement. Ton rouge à lèvre et ton mascara laissent des traces grossières sur ton visage.
Je m'assieds ensuite entre tes jambes que je caresse lentement. J'adore le contact des bas sur la peau. Je relève tes pieds et tendant tes jambes vers le haut, je glisse mon sexe entre tes cuisses et me sers de celles-ci pour ma branler alors que je retire tes chaussures à talon. Relevant la tête, tu observes mon gland pointer entre tes cuisses serrées puis disparaître pendant que mes mains et ma bouche s'occupent de tes pieds. Je me laisse ensuite tomber en arrière puis glisse tes pieds autour de ma bite. Immédiatement, je sens tes pieds s'enrouler autour de mon membre et commencer une habile danse. Ton application et ta dextérité me surprennent et gonfle encore plus mon sexe qui perle de plaisir alors que ta main se glisse entre tes cuisses pour te caresser. Cette position m'offre une vue imprenable sur ta chatte et tes doigts qui s'y enfoncent. Le rythme de tes pieds s'accélèrent au fur et à mesure que grandit ton plaisir. Rapidement tes cris et ton corps qui se cambre m'indiquent qu'un nouvel orgasme à envahit ton bas-ventre. Tes pieds ralentissent alors que tu reprends lentement tes esprits.
J'enfile alors une capote puis me redresse, pose tes chevilles sur mes épaules et, me couchant sur toi pour plaquer tes genoux contre ta poitrine, enfonce d'un seul coup ma queue au fond de ta chatte encore sensible de l'orgasme récent. Je donne de violents coups de reins et rapidement tu reperds pieds.  Ma main droite vient serrer fortement ta gorge, te coupant le souffle ne relâchant la pression que quelques brefs instants pour te laisser reprendre une légère inspiration. J’alterne claques et étranglements tout en continuant de te pilonner ainsi. Te sentant à nouveau proche de l'orgasme, je sors ma queue et la frotte rapidement sur ton clito pour te faire jouir ainsi, observant la cyprine s'écouler en de ta chatte, j'en enduis mes doigts qui viennent se poser sur ton petit trou pendant que mon autre main maintient tes jambes levées. Mon index s'aventure lentement dans ton petit trou. Tu soulèves tes fesses pour offrir un angle plus propice. Après quelques instants, un second doigts vient rejoindre le premier dans ton anus. Ce dernier se détend progressivement avant que je ne retire mes doigts pour me reculer en direction d'un sac posé dans le coin de la pièce. J'en ressort deux cordes. Je saisis l'une des chaises disposée dans le salon et la positionne face à la baie vitrée. Je saisis ta laisse et t'amène docilement vers la chaise et, après avoir déposé un linge pour protéger ce qui ressemble à du velours, t'y installe. Les cordes s'enroulent autour de ton corps en commençant par tes poignets qui viennent se lier aux accoudoirs, puis te chevilles remontent de part et d'autre de ta tête maintenues par la corde qui s'enroule aux pieds de la chaise avant de remonter vers tes cuisses qui viennent se plaquer aux accoudoirs à leur tour après avoir pris soin d'avancer et soulevé tes fesses au bord de la chaise.
Te voilà donc ligotée, face à la large vitre dans une position proche de celle-ci (image d'illustration: source http://www.perfectslave.com/).

Tu ne quittes pas la baie vitrée du regard, anxieuse et en même temps excitée à l'idée que quelqu'un pourrait te voir ainsi. Tu ne remarques pas que je sors un "rosebud" du sac ainsi que des pinces à seins. Je m'amuse à déposer le morceau de métal glacé sur tes tétons qui se dressent aussitôt. Une fois bien dressés et durs, je dépose les pinces reliées par une chaînette sur tes tétons puis j'enfonce le plug dans ta bouche. 
"Garde ça pour moi."
Tu accueilles le métal glacé sur ta langue et referme ta bouche, ne laissant apparaître que le bijou décoratif. Ma main saisie la chaînette et s'amuse à provoquer des petits à-coups secs qui t'arrache des petits cris de douleurs et d'excitation, étouffés par le plug dans ta bouche. Mon autre main part fouiller ta chatte et s'y enfonce à 4 doigts, forçant l'entrée. Ta chatte trempée, écarlate et malmenée ruisselle jusqu'à ton petit trou largement exposé alors que mes doigts font des aller-retours rapides dans ton vagin. Ce traitement accompagné du jeu sur les pinces à seins, ont raison de toi et te font jouir sans que tu ne retiennes tes cris, qui emplissent la pièce. J'essuie mes doigts sur ton visage en prenant bien soin de parfaire ton maquillage de ma touche personnelle puis je ramasse le plug que tu as laissé tombé au sol lors de ton orgasme. Je présente le plug face à ton visage et tout en te fixant droit dans les yeux te dis:
"Je t'avais demandé de me garder ça! Je comptais préparer lentement ton cul, mais tu ne le mérite pas!" Et tu sens aussitôt mon gland recouvert de l'indispensable morceau de latex se poser à l'entrée de ton anus.
"Non non non! Pas comme ça, s'il vous plaît!"
Mais après avoir pris le soin de récupérer un maximum de mouille avec mon sexe, je l'enfonce très lentement en toi. Tu te trémousses pour tenter de faciliter le passage, tentant parfois de te débattre mais vainement, les liens te maintiennent à ma merci et tes supplications ne me font que bander encore plus. Mes mains s'alternent entre la chaînette sur tes seins et ton clito que je stimule pendant que je poursuis mon avancée dans ton cul. En quelques minutes, ton cul est désormais totalement envahi par ma queue qui commence à la limer de plus en plus longuement puis le rythme s'accélère. Les coups de reins se font de plus en plus forts et rapides et tu ne parviens plus à retenir ces cris de douleurs et de plaisir si reconnaissables.
"Alors? Qui est la bonne petite salope qui adore se prendre une bite dans le cul?!"
Aucune réponse, mais ton cul se resserre en signe acquiescement.
"Alors ?! Qui ?!" Dis-je en donnant de grands coups de reins qui t'arrache irrémédiablement un nouveau cris.
"Moi...  moi..." Laisses-tu échapper entre tes lèvres...
"Moi quoi !" demande-je avec une nouvelle série de coup de reins.
"Moi! C'est moi la salope qui aime me faire enculer!" hurles-tu à peine quelques instants avant qu'un nouvel orgasme ne prenne le contrôle de toi. Tes jambes tremblantes, ton regard semble ailleurs, comme si tu étais très loin. Tu semble peiner à redescendre...
Ma queue quitte ton cul, remplacée par le rosebuds qui entre sans la moindre difficulté. Je retire la capote et te présente ma queue à côté de ton visage. Sans la moindre hésitation, tu l'enfourne dans ta bouche, la suçant goulûment. Pendant ce temps, je libère tes jambes, ne laissant que tes poignets attachés. Je me place face à toi et saisissant tes chevilles, je dirige tes pieds autours de mon sexe dressé. Te voyant te trémousser sur la chaise, je devine que la position n'est pas des plus adéquate. Mais très vite, tes pieds s'enroulent à nouveau autour de ma queue et commencent leur travail d'orfèvre. Je suis à nous abasourdi par l'agilité dont tu fais preuve et ce divin traitement à raison de moi en très peu de temps. Mon sexe gonfle encore avant que plusieurs jets de sperme jaillissent et viennent se déposer sur toi dans un râle de plaisir. Le jus est venu se déposer de ton pubis à ton cou et l'un de tes seins. Alors qu'une autre partie s'écoule le long de ta cuisse sur tes bas. Tes pieds ont aussi eu droit à quelques gouttes de ce liquide encore chaud. Je m'empresse de venir te faire lécher mon gland pour nettoyer toute trace en enfonçant totalement ma queue dans ta bouche te provoquant des hauts le coeur. La salive coule abondamment sur tu poitrine et à peine reprends tu ton souffle qu'une nouvelle intrusion arrive. Je frotte mon sexe trempé sur ton visage et prends grand soin d'étaler ce mélange de salive et de foutre sur ton corps.
Je réattache tes jambes comme précédemment et me dirige vers le sac. Tu me vois revenir avec un genre d'eyeliner noir. Je m'accroupis devant ta chatte et écris en grand sur tes cuisses "Chatte et cul à baiser" puis sur ton front "Vide-couille". Je prends grand soin de m'assurer que tu es bien positionner face à la baie vitrée que j'entrouvre légèrement. Je te chuchote à l'oreille: "Je vais prendre une longue douche... Je te laisse ainsi, à la disposition de tous ceux qui passeraient par là et qui voudraient se soulager.". Puis je m'absente vers la salle de bain pour d'interminables minutes, te laissant à l'affût du moindre bruit à l'extérieur........

jeudi 31 mars 2016

[Fiction] Séjour chez Gabrielle

               
Pour te remercier de m'avoir fait découvrir ta région lors de mon séjour, je t'invite au restaurant. Tu portes une robe, des bas et des talons hauts. Après quelques verres de vins, je glisse ma main sous la table et la glisse le long de ta cuisse. La nappe cache mes gestes et les gens autour de nous ne se doutent de rien. Après quelques minutes de ce doux traitement, je te demande d'aller au WC retirer tous tes sous-vêtements. Tu te lève et reviens quelques secondes plus tard avec ton string et ton soutien-gorge dans ton sac à main. Tes seins glissent sous ta robe, te donnant l'impression de risquer de sortir à chaque instant au moindre de tes pas. Le frottement et la situation ont durcis tes tétons qui pointent outrageusement au travers de ta robe. Tu remarque le sourire pervers d'un homme assis à une table voisine qui semble avoir compris la situation. A nouveau assise à la table, ma main écarte largement tes genoux : « Reste ainsi. ». Tes cuisses ouvertes exhibent entièrement ta chatte aux yeux de tous. Seul la nappe tombante t'offre un semblant d'intimité. Ma main glisse à nouveau vers ton entrejambe et commence à venir titiller ton clito alors que je bois mon café comme si de rien n'était. Je poursuis ces caresses de longues minutes durant, sentant tes lèvres trempées de désirs et voyant tes seins pointer au travers du léger morceau de tissus. Au moment de régler enfin l'addition, le serveur se tient à côté de moi et après t'avoir lancé un regard amusé, je laisse tomber ma carte de crédit au sol. Le serveur s’agenouille pour la ramasser et ne peut que constater la position dans laquelle tu te trouve. Le court instant durant lequel il fait mine de ramasser innocemment la carte de crédit alors qu'il se délecte de la vision de ta chatte ainsi exposée et humide te fait rougir de honte. Il nous lance un regard aguicheur en me rendant la carte et lorsque nous partons, tu baisses les yeux et accélère vers la sortie. L'air frais de la rue s'engouffre sous ta robe et caresse ta chatte de son souffle.
Nous marchons dans la rue très fréquentée avant que je ne te dirige dans une ruelle. Une dizaine de mètres et nous voilà dans la pénombre. Je m'appuie contre le mur derrière une pile de palette en bois offrant une cache non loin des passants. Je te saisie par les cheveux et t'agenouille devant moi. Le sol glacé et irrégulier agresse tes genoux alors que je soulève ta robe que j'enroule autour de ta taille, exhibant ton cul. Je déboutonne aussitôt mon pantalon qui libère ma queue déjà dressée. Je la plonge dans ta bouche qui la suce aussitôt. Je force le passage plus profondément et lorsque ma queue s'enfonce dans ta gorge, tu sens tes yeux s'emplirent de larmes. Tu sens ma queue gonfler de désir alors que tu entends les gens marcher dans la rue non loin de là. Lorsqu'elle ressort enfin, tu la suces avidement, excitée de plus en plus par la situation alors que ta main libre caresse ta chatte. Mes aller-retour au fond de ta gorge achèvent de tremper ma queue alors que tu jouis sous tes caresses. Je fais glisser les bretelles de ta robe sur chacune de tes épaules pour les retirer, libérant ainsi ta poitrine entre laquelle je presse ma queue trempée. Tu presses tes seins à l'aide de tes mains pour enrouler mon sexe qui commence des va-et-vient alors que du bout de la langue tu titille mon gland. Quelques minutes de ce traitement et je te relève, te tournant face aux palettes observant ainsi les passants à quelques mètres de là ne se doutant pas de ce qui se passe ici.
Ma bouche se pose sur tes fesses alors que mes doigts s'aventurent sur ton clito gonflé. Je le caresse fermement et rapidement alors que ton souffle s’accélère. Puis ma langue glisse lentement sur tes fesses et descend le long du sillon jusqu'à parvenir, très lentement, à ton anus que le bout de ma langue titille alors que mes doigts s'acharnent sur ton clito. Ton corps se cambre, m'offrant ainsi ton cul que ma langue ne cesse de goûter. Quelques minutes de ce traitement suffisent à faire exploser ta chatte alors que tu mords tes lèvres pour ne pas hurler. Les jets de cyprine giclent au sol dans d'insoutenables spasmes. Je me relève et glisse lentement ma queue dans ta chatte inondée. Chaque millimètre de ton vagin est ultra sensible et lorsque commencent les violents aller-retours, tu peines à retenir tes cris de plaisir. Ma queue est entièrement trempée de ton jus et lorsqu'elle quitte ta chatte pour venir se poser sur ton anus, tu sais qu'elle entrera sans réelle difficulté. A peine le temps de reprendre ton souffle que déjà ma bite pénètre dans ton cul sans peine jusqu'à t'emplir pleinement. Puis commencent les mouvements de vas-et-viens de plus en plus rapides et profonds. Ta main s'empresse d'aller caresser à nouveau ton entrejambe alors que les coups de reins se font de plus en plus violents. Des cris s'échappent de ta bouche n'entravant pas le flux incessant de passants alors que ta chatte explose une nouvelle fois.
Puis ma queue quitte enfin ton cul. « Mets-toi à genoux ». Tu obéis aussitôt et sans hésitation suce avidement le morceau de chair. Quelques secondes de ces fellation goulue et gourmande suffisent à me faire atteindre l'orgasme. Je ressors ma queue de ta bouche restée béante alors que ta langue sortie attend de récolter ma jouissance. Ma main branle ma bite devant ton visage avant que de longs jets ne jaillissent et viennent atterrir sur tes joues, tes lèvres et ta langue. Mon gland pousse ensuite le sperme chaud de tes joues vers ta bouche avant que tu n'avale le tout. A l'aide d'un kleenex, tu finis de t'essuyer avant de remettre ta robe en place et de me suivre pour rejoindre la rue principale. Le goût ancré dans ta bouche, ton cul encore endolori et tes cuisses trempées te maintiennent dans une excitation constante alors que je nous dirige vers un taxi garé non loin de là. Nous entrons à l'intérieur, tu es assise derrière le chauffeur auquel je tends simplement un morceau de papier. La voiture démarre aussitôt alors que ma main glisse entre tes cuisses et que trois de mes doigts ne plongent dans ta chatte. La radio du taxi étouffe tes soupirs de plaisir alors que ta chatte se liquéfie. Lorsque le taxi s’apprête à s'arrêter, je ressort mes doigts et les plonge dans ta bouche pour que tu goutte à ton propre jus. Le taxi s'arrête devant une grande demeure au milieu de nul part. Le chauffeur réglé, nous voilà hors du taxi marchant dans l'allée en direction de la vaste habitation. La large porte s'ouvre et nous voilà dans le hall. Je te retire à nouveau ta robe et tu te retrouve ainsi, nue avec uniquement tes bas et tes talons au milieu du hall. « Retires tes chaussures ». Tu obéis et je dépose tes affaires sur une chaise dans un coin de la pièce où se trouve une chaîne et un collier. Je passe le collier autour de ton cou et y accroche la chaîne, verrouillant le tout avec un cadenas. « Suis-moi Gabrielle. » dis-je en tirant la chaîne en direction d'une seconde porte que j'ouvre lentement…
La lumière tamisée de la pièce te demande quelques secondes d'adaptation pour distinguer ce qui se passe ici. Deux autres femmes, nues, sont agenouillées, enchaînées au sol à l'aide d'un collier et d'une chaîne similaires aux tiens. Le buste dressé et le regard vers le sol, elles exhibent, face à toi leurs attributs. Je te présente devant elles et chacune leur tour, elles goûtent à ta chatte avec délectation et application. Puis je t'enchaîne à ton tour à leurs côtés. Tu prends la même position, les genoux écartés sur le sol, la poitrine sortie et le visage baissé. Je me dirige alors vers la pièce annexe, située derrière vous trois, avant de revenir quelques secondes plus tard, accompagné d'autres personnes. T'efforçant de garder la tête baissée, tu tente vainement d'identifier le nombre de personnes présentes du coin de l'oeil. « Mesdames,  vous pouvez saluer votre hôte ainsi que ses amis comme il se doit. Levez la tête à présent.». Tu t’exécute et dénombre 6 hommes et une femme nus devant vous en plus de moi. Les hommes masqués se présentent aussitôt devant vous, plaçant leurs sexes devant vos bouches. Vous saisissez les queues de vos mains et votre bouche, passant d'une queue à l'autre et les queue passant de bouches en bouches. La femme observe la scène en se caressant lentement, savourant cette vision. Les mains, les langues caressent et lèchent vos corps, s'immiscent en vous sans ménagement alors que vos bouches continuent de sucer bites après bites et parfois deux en même temps. Trois hommes s'allongent sur le dos à côté de vous. Vous les enjambez et laissez leur sexe pénétrer dans vos chattes. Les trois autres hommes plongent leurs queue dans vos bouches, alors que je retire à mon tour mes vêtements. Je viens présenter mon sexe à côté de toi et tu t'empresses de le branler de même que l'autre bite. Les branlant toutes les deux, tu les suce en alternance pendant que ta chatte continue de subir les assauts de l'homme sous toi. La femme se lève alors et vient s'agenouiller derrière toi et commence à écarter tes fesses. Sa langue plonge sur ton anus et commence à le lécher en alternance avec ses doigts qui s'enfoncent dans ton cul. Une fois ton cul travaillé, elle se déplace et administre le même traitement à ta voisine. Je me positionne aussitôt derrière toi et commence à enfoncer ma bite dans ton anus. Rapidement te voilà prise par trois bites, une dans chaque orifice. Quelques minutes suffisent à t'arracher un violent orgasme qui inonde le sol et trempe l'homme sous toi. Je sors de ton cul et, alors que la femme passe à la troisième soumise, plonge ma queue dans le cul de ta voisine dont les cris raisonnent dans toute la demeure. Elle jouit rapidement et c'est dès lors au tour de la troisième femme de subir une triple pénétration qui la conduira à l'orgasme. Tu vois dès lors la femme enfiler un énorme gode-ceinture et après avoir craché dessus, venir se coucher sur le dos devant vous. Les queues quittent aussitôt tes orifices et je te tire à l'aide de la chaîne en direction de cet énorme gode que la femme arrose de lubrifiant. Je te retourne, dos à la femme, te descend sur l'immense objet qui rempli ta chatte en forçant le passage alors que les diverses queues se ruent sur ta bouche libre. Les deux autre femmes subissent toute deux une double-pénétration et t'observent ainsi empalée devant elles. Les bites étouffent tes cris alors que le god continue d'entrer péniblement en toi, millimètre par millimètre. Puis l'un des hommes jouis sur ton visage laissant la place au suivant qui rapidement exploite ta bouche avant de jouir à son tour sur ton visage. L'un des autres hommes quitte le cul de l'une des des femmes et vient cracher son plaisir sur ton visage à son tour et ainsi de suite jusqu'à ce que nous ayons tous jouis sur ton visage et ta poitrine. Le sperme s'écoule lentement alors que tu continue de te faire empaler par cet immense gode. Dès lors, les deux autres femmes viennent récolter le sperme répartit sur toi à l'aide de leur langue puis tout en t'embrasser goulûment, déverse le foutre dans ta bouche. Tu continue de te faire pilonner pendant ce temps, avalant gorgée après gorgée tout le liquide récoltée par tes complices du soir. Lorsque le gode-ceinture quitte enfin ta chatte, l'une des femmes s'allonge sous toi, sa bouche ouverte alors que la domina vient caresser fortement ton clito, te faisant exploser sur le visage de la demoiselle, rapidement trempée et souillée de ta cyprine. Tu t'assieds sur son visage, utilisant sa langue à ton gré pour nettoyer ta chatte béante. Tous quittent aussitôt la pièce et il ne reste désormais plus que nous deux et la domina qui change son gode-ceinture pour un modèle de dimension plus raisonnable bien que toujours assez impressionnant. Tu es allongée sur le sol, les jambes tremblantes, à bout de forces, souillée et humiliée lorsque je me dirige vers un coin de la pièce pour y allumer une bougie resté là, tu découvre un nouvel homme attaché sur une chaise, nu, bâillonné et cagoulé t'observant durant tout ce temps. Je le libère de la chaise et vient l'attacher avec l'un des colliers de l'une des femmes posé au sol. Je me penche vers toi et pendant que la femme lubrifie son gode, te demande : « Maintenant l'un de vous deux va se faire enculer par elle. A toi de choisir qui ! ». Ton cul endolori et tes jambes tremblantes te donne la réponse en un instant : « Lui ! » t'exclames-tu. L'homme gémit et tu ne peux que deviner ses supplications au travers de son bâillon lorsque la femme écarte ses fesses et commence à entrer péniblement en lui. Son cul semble si serré qu'il ne doit pas être un habitué et ses hurlements raisonnent dans la pièce. Puis progressivement le rythme s’accélère et l’homme commence à se faire littéralement démonté par la femme. Tu ne peux que constater son regard empli de haine à ton égard. Après plusieurs minutes d'un interminable calvaire, la femme se retire enfin, te montrant l'anus largement ouvert de l'homme. Je profite de ce moment là pour retirer le bâillon et la cagoule de la tête de l'homme. Tu découvre alors, stupéfaite, le visage de ton mari, les yeux emplis de larmes et de soif de vengeance. « T… To… Toi ? Je savais pas… Si j'avais su j'aurais…. » « Ferme-la ! » dit-il alors que la domina le libère de son collier. « Je vais te le faire payer espèce de salope ! ». Dit-il en allant rechercher les 6 hommes de tout à l'heure. Et alors qu'ils reviennent tous en se masturbant, le sexe déjà  dressé, je glisse simplement à ton oreille : « Merci encore Gabrielle, je te laisse désormais aux mains de ton mari et ces messieurs. ». Et je quitte la salle alors que ton mari commence à t'enculer sans aucun ménagement et que les autres bite dressées s'alternent déjà dans ta bouche et tes mains.


mercredi 13 janvier 2016

[Fiction] Anniversaire de mariage

La douceur de la soirée d'été s'engouffre sous ta fine jupe et caresse le haut de tes cuisses au-dessus de tes bas. La petite brise vient rafraîchir ton pubis et tes lèvres encore sensibilisés par l'épilation de la matinée. Pour votre anniversaire, tu as décidée d'être coquette et sexy pour ton mari. L'épilation intégrale et l'oubli volontaire de tout sous-vêtements sous cette robe exagérément courte te semblent correspondre parfaitement au thème de la soirée. Ton mari t'a fait parvenir un petit mot accompagné d'une rose rouge au travail te donnant rendez-vous dans un bar latinos du coin à 19h30. Tes talons raisonnent dans la rue alors que le bar t'apparaît au loin. De nombreuses personnes assises sur les terrasses environnante t'observent d'un air intéressé, achevant de te retirer le peu de tissus du regard. Les yeux insistants et le vent effleurant ta chatte te gênent mais t'excitent en même temps. A plusieurs reprises tu sens le vent soulever légèrement ta jupe, exposant le galbe de tes fesses au voyeurs improvisés avant que ta main ne la rabatte aussitôt. Tes tétons dressés par l'excitation pointent au travers de ta robe et laisse clairement deviner que tu ne porte aucun soutient-gorge. Tu ne connaissais pas cette partie de toi, cette excitation engendrée par le fait d'être observée ainsi, de te montrer à des inconnus. C'est toutefois soulagée que tu pousses la porte du bar pour y entrer. La chaleur suffocante et le bruit assourdissant du lieu offrent un dépaysement total par rapport à la rue avoisinante.
De nombreux regards se tournent vers toi et tu te ressens l'impression d'être un agneau lâché parmi les loups affamés. Tu parcours la salle du regard pour y trouver ton mari. Aucune chance qu'il ne soit sur la piste de danse avec les autres personnes s'y déhanchant sur les airs entraînant de la musique latine. Rien non plus aux quelques tables disséminées dans la salle de même qu'au bar. Comme à son habitude il est en retard. Tu te dirige vers le bar et t'assieds sur l'un des tabourets disponibles. Le barman t'apporte rapidement un mojito accompagné d'une petite enveloppe. Tu ouvre l'enveloppe, intriguée.
« Ma chérie, je t'ai préparé une surprise pour notre anniversaire. Bois déjà un verre en attendant. Je t'embrasse ». Tu bois lentement le délicieux nectar tout en observant la foule environnante. Tu maintiens fermement les cuisses serrées pour dissimuler ton intimité. A peine ton mojito terminé qu'un second vient prendre sa place, également accompagné d'une nouvelle enveloppe.
« Un second verre en attendant que quelqu'un vienne te proposer de danser. Tu accepteras cette danse sans discuter. »
Le second mojito semble plus chargé et commence déjà à te monter à la tête. Tu sais parfaitement l'effet que te provoque cette boisson et ton mari le sait également. Une vague de chaleur envahit lentement ton bas-ventre alors que la boisson s'écoule lentement dans ta gorge. Chaque gorgée semble désormais amplifier ton état. Après plusieurs minutes, alors que tu parviens enfin à la fin de ton verre, tu sent une main se poser sur ton épaule. Tu te retourne pensant voir ton mari, mais il s'agit d'un séduisant inconnu qui te propose de l'accompagner sur la piste de danse. Tu te souviens du mot de ton mari et tu accepte sans tergiverser. Tu te relève et l'effet de l'alcool te provoque un léger déséquilibre, t'obligeant à t'accrocher au bras de ton cavalier quelques instants. Une fois sur la piste, la musique t'emporte rapidement et lorsqu'après quelques minutes ton cavalier t'agrippe plus fermement par la hanche pour une danse un peu plus rapprochée, tu te laisse faire sans hésiter et tu suis le rythme imposé. Sa main au bas de tes reins et son torse plaquant ta poitrine commencent à t'exciter de plus en plus. Tu te surprends à plaquer ton entrejambe contre sa cuisse alors que celle-ci bouge, provoquant un divin frottement sur ta chatte. Tu sens sa main glisser sur ta fesse et son sexe en érection contre ton bassin. Tu as l'impression d'être en transe et quelques minutes de cette danse intense inondent ta chatte de désir. Tu mets alors un terme à ce moment d'égarement et retourne t’asseoir sur ton siège tout en te sentant au bord de l'explosion. Tu tentes vainement de reprendre tes esprits tout en jetant un regard sur l'horloge derrière le barman  qui indique 20h06. Une nouvelle enveloppe est déposée par le serveur devant toi. Tu t'empresse de l'ouvrir pour prendre connaissance du contenu :
« Quelle danse endiablée. J'espère que tu es prête pour la suite. Je t'attends au restaurant « De La Clef » à 20h15. A tout de suite. Je t'embrasse »
Danse endiablée ??? Il est là ? Tu parcours une nouvelle fois des yeux le bar, mais en vain. Et lorsque tu croise le regard de ton partenaire de danse qui te fixe, tu baisses aussitôt la tête, sentant tes joues virer à l'écarlate. Tu te retournes vers le comptoir pour demander l'addition, mais le serveur te fais signe que les boissons ont déjà été réglées. Tu te relève et te dirige vers la sotie, les jambes dans le coton, étourdie par la faim, l'alcool et l'excitation. L'air frais de la rue s'engouffre dans tes poumons et te procure une sensation de soulagement quasi immédiate. L'heure tourne et le restaurant est à quelques minutes de là. Tu t'engouffres dans les petites ruelles pour gagner du temps, tu connais vaguement ce quartier et ton sens de l'orientation t'aide à te repérer. L'euphorie de l'alcool est toujours présente mais tes jambes semblent avoir retrouvé un peu de leur tonicité. Tu entends ton portable sonner dans ton sac à main. D'une main, tu le saisis et y jette un rapide regard. Un message de ton mari :
«T ou? »
Tu pianote à toute vitesse : « Au resto dans 2min ». La réponse est quasi instantanée :
« Quel resto ???????? Je suis a la maison».
Tu te fige aussitôt, un sentiment d'incompréhension t'envahit laissant rapidement place à de l'inquiétude. Tu observes les alentours et te rends compte que tu es seule dans cette petite ruelle, mal éclairée et peu rassurante. Quelques véhicules stationnés pour seuls compagnons. Tu prends ton téléphone pour composer le numéro de ton mari afin de te rassurer, le temps de quitter ce lieu angoissant. A cet instant l'écran s'illumine. Un nouveau message d'un numéro inconnu. La pièce jointe s'affiche et tu vois une photo de toi, alors que tu étais sur la piste de danse, collée contre le corps de ton partenaire, sa main sur ta fesse, remontant très légèrement ta jupe, laissant apparaître le haut de tes bas et le début de ta croupe aux yeux de tous. Comme seul texte, 4 lettres qui te provoquent un électrochoc « FenX ». Un bras s'enroule autour de ta hanche et une main vient se poser sur ta bouche pour étouffer ton cris naissant. Te voilà plaquée contre l'une des voitures garées. Tu vois alors un couteau apparaître devant tes yeux. La lame reflète le peu de lumière de la ruelle et te fige d'un coup. Je te murmure simplement : « Pas le moindre cri ! Sinon... » et je fais glisser la lame lentement entre ta poitrine. Ton souffle s'accélère et au moment où je retire ma main de ta bouche, aucun cris n'en sort. Ton coeur bat la chamade et tu as l'impression qu'il va jaillir de ta poitrine tant il tape fort. Ma main libre attache tes deux poignets ensemble à l'aide d'une attache plastique, maintenant ainsi tes mains dans ton dos. Tu laisses s'échapper un cris de protestation et aussitôt te voilà avec la lame glissant sur la poitrine pendant que mon autre main tire tes cheveux, basculant ainsi ta tête en arrière. Tes yeux ballaient le ciel comme pour rechercher de l'aide. Les bâtiments environnant semblent tous déserts à cette heure-ci. La lame glisse sous la première bretelle de ta robe et la découpe, laissant immédiatement apparaître ton sein gauche. Tu gémis tandis que la lame poursuit son chemin en direction de la seconde bretelle qui subit très vite le même sort que la première. Le haut de ta robe retombe et libère entièrement ta poitrine. Tu retiens le morceau de tissus avec tes mains dans le dos pour empêcher la robe de tomber au sol, te laissant ainsi totalement nue. Mes mains malaxent ta poitrine et tirent fortement sur tes tétons qui ne tardent à se dresser. Me collant à toi, tu sens mon sexe déjà dur à travers mon pantalon se coller entre tes fesses. Tu t'appliques à conserver ton calme. Tu sens la lame effleurer ta colonne vertébrale, glissant lentement. Chaque millimètre carré de ta peau semble se dresser sous ce traitement. Les frissons te parcours le corps à mesure que le couteau poursuit sa danse.
« Relâches ta robe. »
Tu refuse quelques instant mais la lame glissant sur ton cors te force à obéir et tu sens le morceau de tissus glisser le long de tes cuisses, dévoilant ainsi ton corps à nu. Avec pour seuls vêtements restant tes bas et tes chaussures à talons, tu te sens totalement à ma merci. Tu sens ma main tirer tes cheveux, te forçant à t'agenouiller. Lorsque tes genoux touchent le sol glacé, tu baisses la tête et ferme les yeux comme pour échapper à ce moment, à cet endroit… Tu entends le bruit de la fermeture éclair de mon pantalon et quelques secondes plus tard, mon sexe glisse lentement sur tes joues, tes lèvres. Tu pinces les lèvres, tentant d'échapper à la suite, mais un coup sec sur tes cheveux te fait ouvrir les yeux. Mon sexe se tient devant toi, dressé, approchant de ta bouche. Il vient buter sur tes lèvres toujours serrées mais qui n'ont d'autre choix que de s'ouvrir lorsque tu vois la lame s'approcher à nouveau de toi. Le morceau de chair s'engouffre aussitôt et commence ses vas-et-vient. Tu retiens tes larmes, décidée à ne pas me donner cette satisfaction et laisse ta bouche totalement inactive.
« Mets-y du tient ! »
Tu sens la lame effleurer ta joue et t'active alors à sucer ce membre qui durcit encore. Ta langue joue avec le gland et ton application est rapidement récompensée par le couteau qui s'éloigne et la tension sur tes cheveux qui se relâche. Je pousse parfois ta bouche contre mes couilles que tu lèches avec application avant que ma queue ne reprenne sa place dans ta bouche. Tu sens une larme s'écouler sur ta joue. Le membre s'enfonce profondément dans ta bouche, te provoquant parfois des haut-le-cœur. Des larmes s'écoulent encore sur tes joues pendant les interminables minutes de ce traitement.
Je te relève ensuite et te laisse debout ainsi, pour t'observer. Tu me regarde, une cagoule sur le visage, intégralement vêtu de noir avec seul mon sexe dressé et trempé de ta salive de visible. Tu te sens humiliée, ainsi exhibée dans cette ruelle, nue, le visage souillé. Quelques secondes et te voilà couchée, le dos sur le capot d'une voiture. Les jambes écartées, j'observe cette magnifique chatte parfaitement lisse pendant que ma bite s'approche. Au moment où elle se pose à l'entrée de ta chatte, tu pousse un cris de refus. Je te donne une gifle sur chacun de tes seins alors que tu te débats. Ma bite force le passage et entre entièrement en toi en un instant. Ta chatte est rapidement prise par les assauts de ma queue et tu ne peux l'empêcher de mouiller, surprise de l'excitation ressentie, contrastant avec la honte éprouvée. Les coups de queue sont de plus en plus insistant. Tu sens ta chatte s'écouler autour de ma queue et lorsque mes doigts viennent titiller ton clito en même temps, tu saisi que l'orgasme va être difficile à contenir. Les mouvements s'accélèrent et la coups de reins se font plus profonds, ne tardant pas à avoir raison de toi. Tu sens ton bas ventre envahit par une sensation bien connue. L'orgasme te donne des spasmes de plaisir alors que tu entends tes cris de plaisir raisonner sans aucune pudeur dans la ruelle. A peine terminé, tu es redressée, les jambes tremblantes et le pas craintif, tu te sens dirigée vers un véhicule utilitaire dont j'ouvre la porte coulissante. Un voile noir vient alors masquer tes yeux et te plonge dans l'obscurité totale alors que tes genoux s'écroulent sur le sol du véhicule. Je relève tes hanches en les agrippant fortement pour exhiber ton cul. Le visage plaqué au sol, tes mains tentent d'éloigner les miennes, mais en vain. Mes doigts écartent tes fesses, étirant ton anus. Un long filet de salive s'écoulent lentement entre tes fesses, jusqu'à ton trou où vient se presser mon gland.
« Noooooon !!! Pas ça ! »en transe
Mon sexe entre alors lentement dans ton cul, millimètre par millimètre alors que tes cris de contestations raisonnent dans l'habitacle. En quelques minutes, le rythme s'accentue et ton cul est désormais totalement ouvert et accuse le moindre violent coup de rein. Tes cris s’estompent lorsque je tire à deux mains sur tes cheveux, te rappelant à l'ordre. Ma main droite relâche tes cheveux et vient fouiller dans ta chatte totalement trempée…
« J'ai l'impression que tu aimes ça te la prendre dans le cul. Une vrai petite salope. »
Tu sens le sang monter dans tes joues, honteuse du plaisir que tu prends par ce traitement. Mes doigts titilles à nouveau ton clito alors que ma bite rentre et sort violemment de ton cul. Je continue ce traitement jusqu'à t'arracher un nouvel orgasme. Je sens ton cul se serrer autour de ma bite alors que tes cris accompagnent ton orgasme.
Je ressors ma bite et t'agenouille pour te la faire sucer.
« Nettoie ma queue ! »
Tu ne refuses même plus. Dégoûtée mais résignée, tu avales timidement le membre souillé. En quelques seconde le goût âcre disparaît de même que le dégoût. Tu la suces avidement pour tenter de mettre fin au plus vite à ce traitement.
« Et bien tu aimes la bite dis-moi. Non ? »
En l'absence de réponse, je te gifle avec mon sexe.
« Je t'ai posé une question ! »
« Oui j'aime la bite » marmonnes-tu du bout des lèvres, honteuse.
« Si je te détaches les mains, tu seras bien sage et tu ne retireras pas ton bandeau ?» te dis-je en continuant de te donner des petits coup de bite sur la joue.
Tu hoches la tête comme seule réponse et lorsque tes poignets sont enfin déliés, tu t'empresses de saisir mon sexe avec ta main pour accélérer l'échéance. Je ressors ma queue que tu continue de branler . Ce que tu identifie comme mon pouce vient glisser sur tes lèvres. Tu entrouvres les lèvres et constates avec stupeur lorsque le morceau de chair entre dans ta bouche qu'il ne s'agit pas de mon pouce mais d'une autre queue qui commence à baiser ta bouche alors que tu continue de branler ma queue. Totalement désemparée, tu suces et branles les deux queues à tour de rôle, résistant à la tentation de retirer le bandeau sur tes yeux. Ta bouche commence à être endolorie par tant de sollicitations et c'est soulagée que tu sens l'autre queue quitter ta main. Tu sens un corps s'allonger à côté de toi et soulever ta jambe pour se glisser sous toi. Sa bite commence à baiser ta chatte pendant que ma queue continue d'abuser de ta bouche. Tu sens ta chatte inonder le membre qui t’empale et commence les vas-et-viens. Quelques minutes plus tard, ma queue s'échappe à son tour et, alors que je te bascule vers l'avant, vient se poser à l'entrée de ton cul et commence à forcer le passage… En quelques secondes te voilà prise par devant et derrière, les bites alternant le rythme et la force. Tu lâche totalement prise, assommée par tant de sentiments différents et laisse consciemment les deux morceaux de chair s'immiscer en toi à leur guise. Tu te sens dériver totalement et ton orgasme arrivant, assumes le plaisir procuré par la situation.
« Tu aimes te faire baiser comme ça ? Prise par deux bites comme un vulgaire objet ?»
« Oui j'aime ça » dis-tu ouvertement tout en donnant des coups de cul pour approfondir encore les pénétrations.
Les coups de bites s'accélèrent et t'arrache un violent orgasme. Tes cris raisonnent et doivent certainement être audibles à des dizaines de mètres à la ronde. Les jambes tremblantes, tu sens ma queue gonfler dans ton cul avant d'en sortir et de venir se présenter devant toi. Je relève ta tête et presse ma bite contre tes lèvres qui l'enveloppent sans hésitation. La seconde bite quitte ta chatte et entre dans ton cul totalement ouvert. Te voilà prise par le cul et la bouche et chacun de tes assaillants te baise sans relâche jusqu'à ce que tu sentes enfin ma queue quitter ta bouche et gicler sur ton visage dans un râle de plaisir. Le liquide chaud s'écoule sur ton visage alors que ton cul et toujours sollicité. A l'aide de mon gland, je pousse mon foutre répandu sur ton visage vers ta bouche. Quelques derniers coups de langue sur mon sexe avant qu'il ne s'éloigne et que tu ne te retrouve à nouveau face à ton second assaillant. Tout en te donnant quelques fessées sur ton cul , je te murmure à l'oreille :
« Défonces-toi le cul avec cette queue maintenant. Fais-moi voir à quel point tu aimes ça. »
Tu cambres tes reins au maximum et donne de puissants et rapides coup de tes fesses pour accentuer la pénétration. Rapidement le souffle de mon complice s'accélère et son sexe gonflant tu sens que la libération est enfin proche. Encore un peu d'entrain et tu sens la queue quitter ton cul et cracher son plaisir sur tes fesses. Les jets s'écrasent alors que d'un geste rapide je retire ton bandeau. Tes yeux écarquillés reconnaissent aussitôt ton mari, sous toi, en train de jouir sur ton cul alors que m'approchant de ton oreille, je te murmure :
« Bon anniversaire. »
J'ouvre la porte du véhicule utilitaire et la referme derrière moi, vous laissant tous les deux savourer votre fantasme enfin réalisé.