mercredi 4 mars 2020

[Récit réel] Marion, épouse et maman dévergondée

PRÉAMBULE

Après une (très, trop) longue absence que ma plus fidèle lectrice (et muse malgré elle à ses heures perdues) s'est empressée de me faire remarquer, je me suis remis en quête de nouvelles volontaires (ou victimes consentantes, selon votre point de vue). Après avoir publié différentes annonces sur des sites plus ou moins ciblés, j'ai eu deux réponses prometteuses (je vous passe les réponses de curieuses ou curieux(!), de personnes se défilant lorsque les choses commençaient à se concrétiser et autres joies des rencontres sur Internet). Parmi ces deux réponses, l'une d'elle s'est réalisé particulièrement rapidement. Concernant la seconde, elle est toujours en cours de planification dirons-nous...
Voici donc Marion, mère de famille de 44 ans, vivant en Riviera vaudoise. Mariée à un homme avec qui elle est heureuse mais qui ne semble plus la regarder comme avant selon ces dires. Elle recherche un moment, un bulle hors de la réalité, où se sentir juste femme, et plus uniquement la mère de deux ados; cantonnée en mode bobonne à la maison en attendant sagement le retour de son mari. Elle a eu quelques aventures par-ci, par-là mais là elle cherchait à réaliser un fantasme bien précis.
Je suis souvent surpris par des petits détails demandés lors de la réalisation de fantasme, un vêtement particulier, un nom à utiliser, un moyen de contrainte, une insulte bien spécifique, un lieu, etc... mais Marion avait rédigé toute une liste de souhaits... Quelques échanges plus tard, voici quelques doléances parmi d'autre qu'elle avait.

- un lieu genre B&B, pas d’hôtel et rien à domicile.

- le lieu devait être accessible en transport public
- je devais être cagoulé, elle voulait pouvoir se dire en croisant quelqu'un dans la rue qui la regarde différemment: "Était-ce lui?"
- elle voulait se sentir brusquée, déstabilisée et humiliée. Pas de ménagement, du moment que ça ne laisse pas de trace visible.
- ça devait se dérouler un jeudi après-midi et terminer à 16h au plus tard
- elle ne voulait pas de photo ou vidéo, rien qui permettrait de la reconnaître
- je devais m'occuper de ses pieds
- elle voulait se sentir souillée
- elle ne voulait pas à proprement parler être dans un scénario de viol, mais plutôt de soumission et d’humiliation.

Voilà dans les grandes lignes ce qu'il en était de ses attentes. Et les miennes étaient simples, elle devait venir vêtue de la manière suivante:

Talon, bas, jupe à mi-cuisse et un chemisier fortement entre-ouvert laissant apparaître ton décolleté. Aucun sous-vêtements. Et un manteau pour se protéger du froid et des regards pervers des autres usagers du transport public utilisé.

Et bien entendu, comme à chaque fois, j'assure une discrétion totale et une hygiène absolue. Un safe-word et toujours avec protection évidemment.


Voici donc le récit de cette rencontre qui restera pour moi l'une des meilleures.



RÉCIT

Après avoir été récupéré les clefs du Air B&B correspondant à ses attentes, je procède à quelques mises en place et contrôles d'usage avant de prendre place près de la fenêtre de la chambre m'offrant une vue dégagée du chemin d'où tu devrais arriver d'ici quelques minutes. L'arrêt de bus situé à quelques centaines de mètres de là, je t'aperçois, ton smartphone en main, à la recherche de l'adresse que je t'ai envoyé la veille. Le manteau fermé jusqu'au col qui ne descend pas jusqu'à tes genoux laisse apparaître de belles et fines jambes perchées sur de fins talons. Cette tenue s'avère véritablement provocante et laisse place aux idées les plus coquines à la grande majorité des hommes t'ayant croisé ton chemin ce jour là. Tu approches de la porte d'entrée ou un ruban rouge est attaché signe de l'exactitude du lieu. Au moment où la poignée de l'entrée s'abaisse, j'enfile ma cagoule.

Tu t'engouffres sans hésitation dans la chaleur rassurante de ce lieu aux allures de chalet. Un rapide coup d'oeil, la cuisine face à toi, à droite un petit salon avec sofa et quelques fauteuils. Face au canapé une baie vitrée offre un panorama sur le jardin et les montagnes libre de tout vis-à-vis. Au fond du salon une porte close te laisse deviner qu'il s'agit de la chambre après avoir repéré la salle de bains. Tu remarque immédiatement le papier sur la table devant toi. Tu le saisis et prends connaissance des instructions suivantes:

"Dépose ton manteau et ton sac à main, ferme la porte à clef puis ouvre l'enveloppe".

Tu retires ton manteau et le suspend en compagnie de ton sac à l'un des crochets de la penderie. Tu fermes la porte à l'aide de la clef puis tu retourne ensuite ouvrir l'enveloppe. Son épaisseur et son poids te laisse deviner la présence d'un objet à l'intérieur. Tu le sors de l'enveloppe et découvre un collier en acier ainsi qu'un cadenas ouvert. Une autre consigne à l'intérieur de l'enveloppe:

"Mets ce collier et ferme-le à l'aide du cadenas puis attends immobile face à la baie vitrée, debout, jambes écartées et bras croisés derrière le dos."

La porte coulissante très légèrement entre-ouverte me permet d'observer la scène. Tu reposes l'enveloppe et le papier puis sans la moindre hésitation, tu referme le collier autour de ton cou avant d'y glissé le cadenas dont tu n'as pas la clef. Tes talons raisonnent sur le parquet qui recouvre l'ensemble de l'appartement puis tu te positionne avec application devant la vitre. Quelques secondes plus tard et tu entends la porte coulisser dans ton dos, un frisson parcourt ton corps mais tu restes fièrement immobile, gonflant ta poitrine et résistant à l'envie de regarder ce qui se passe derrière toi. Je m'assieds dans l'un des fauteuils avant de te dire d'une voix posée:

"Retire ton chemiser sans te retourner et reprends cette position ensuite."

Lentement, tu déboutonne le morceau de tissu que tu pose sur la petite étagère près de toi. Tu reprends ensuite ta position alors que je contemple ton dos nu et le haut de tes jambes laissant apparaître le haut de tes bas.

"La jupe maintenant."

Tu obtempères aussitôt et laisse glisser lentement la jupe le long de tes jambes. D'un geste du pied, tu la repousses sur le côté. Cette nudité devant cette baie vitrée provoque un mélange de gène et d'excitation en même temps. Je constate avec satisfaction que tu ne portais effectivement rien sous tes vêtements. J'observe ton corps face à ce contre-jour dévoilant tes courbes. Je m'approche lentement de toi et me collant à ton dos, laisse glisser une main le long de tes seins. Je sens ta respiration s'accélérer aussitôt et observe, amusé, tes tétons se dresser rapidement sous mes caresses. Je presse fortement tes seins à pleines mains puis tire sur tes tétons. Faisant durer ce supplice, je t'observe soulever les talons pour accompagner mes tensions et soulager la douleur naissante. Puis mes mains descendent lentement le long de ton ventre et tes hanches, te provoquant de petits spasmes que tu contrôles tant bien que mal. Peu avant d'atteindre ton pubis, mes mains viennent malaxer tes fesses, fermement, les écartant, étirant déjà ton anus. Quelques instants plus tard, tu entends un bruit métallique qui vient se glisser sur ton épaule et ta poitrine. Tu baisses la tête pour voir l'objet glacé qui effleure de corps et reconnaît une laisse.
"Je t'avais dit de ne pas bouger!"
"Pardon" dis-tu en relevant aussitôt la tête.
La chaîne quitte alors ta peau puis tu entends alors un bruit fendre l'air et venir s'écraser sur tes fesse. Tu lâches un cri de surprise et de douleur. La poignée en cuir de la laisse vient s'écraser une nouvelle fois sur tes fesses accompagnée d'un nouveau cris. Je continue ainsi passant d'une fesse à l'autre en te voyant faire tout ton possible pour garder la position.Tu sens tes fesses brûlantes et chaque coup paraît plus difficile à supporter que le précédent. Voyant tes fesses rougis par la douleur, j'estime que c'est suffisant pour un premier avertissement. Je viens me mettre fasse à toi et pour la première fois tu me vois, la laisse encore dans la main.Présentant le crochet, tu me présente docilement ton collier pour y attacher la laisse.
A peine celle-ci fixée, que je me repositionne derrière toi et tirant d'une main sur la laisse tu sens le collier te couper le souffle alors que mon autre main s'aventure entre tes cuisse et part titiller ton clito et ta chatte. Tu restes immobile, haletante, les yeux fixant l'extérieur en espérant que personne ne peut te voir dans une telle situation. Je claque un peu ton vagin avec ma main avant de relâcher la tension sur ta gorge quelques secondes.
"Tourne-toi et agenouille-toi à présent"
Tu obéis. Ton visage à quelques centimètre de mon pantalon que je déboutonne lentement, laissant apparaître mon sexe déjà dressé. Une tension sur la laisse pour amener ta bouche à mon gland et enfourner aussitôt ma queue dans ta bouche. Mon autre main agrippe tes longs cheveux gardant ainsi ta tête bien en place alors que je fais des vas-et-vient toujours plus profond dans ta bouche. La salive s'écoule rapidement de ta bouche alors que je plonge ton visage sous ma queue pour te faire lécher mes couilles. Passant ta bouche de mes couilles à ma bite, je m'arrête de temps à autre pour te donner une gifle avant de reprendre le même rituel. Retirant mon pantalon, je me retourne et plonge ta tête entre mes fesses.
"Lèche"
Tu esquisses un mouvement de recul en guise de refus. Refus aussitôt sanctionné par une série de petites gifles et de lourdes fessés. Puis je tire violemment sur la laisse et t'entraîne jusqu'au sofa. Tu suis maladroitement, à quatre pattes, les fesses en feu. A même le sol, appuyée contre le canapé, ta tête sur l'assise je plonge, à plusieurs reprises, ma queue profondément dans ta bouche, te provoquant des haut-le-cœur. Je ressors mon sexe trempé que j'essuie sur ton visage, avant de me retourner et de m'asseoir sur ta bouche.
"Lèche-le maintenant ! Et ne me fait pas répéter."
Je sens ta langue glisser timidement entre mes fesses et venir titiller mon anus. Je constate rapidement que tu lâches prise et que ta langue se fait de plus en plus confiante et aventureuse alors que ta main droite vient saisir ma queue gonflée et commence à la branler en même temps.
"Et bien voilà une bonne chienne, bien salope dis-moi."
Ta langue et ta main se font encore plus insistantes en synonyme d’acquiescement.
Je t'allonge ensuite sur le canapé, sur le dos, la tête qui retombe en arrière par dessus l'accoudoir. Je viens poser ma queue devant ta bouche et commence de profonds va-et-vient alors que ma main part explorer ton entre-jambe. Ta chatte trempée et ouverte ne laisse aucun doute quant à ton appréciation des traitements infligés. Je frotte énergiquement ton clito gonflé et ta chatte de ma main. Ta bouche se sert autour de mon sexe qui s'engouffre profondément dans ta bouche. J'insiste encore et tes cris étouffés par mon sexe accompagnent un premier orgasme. Ma queue trempée sort de ta bouche et vient une nouvelle fois souiller ton visage, puis ma main trempée de ta mouille procède au même traitement. Ton rouge à lèvre et ton mascara laissent des traces grossières sur ton visage.
Je m'assieds ensuite entre tes jambes que je caresse lentement. J'adore le contact des bas sur la peau. Je relève tes pieds et tendant tes jambes vers le haut, je glisse mon sexe entre tes cuisses et me sers de celles-ci pour ma branler alors que je retire tes chaussures à talon. Relevant la tête, tu observes mon gland pointer entre tes cuisses serrées puis disparaître pendant que mes mains et ma bouche s'occupent de tes pieds. Je me laisse ensuite tomber en arrière puis glisse tes pieds autour de ma bite. Immédiatement, je sens tes pieds s'enrouler autour de mon membre et commencer une habile danse. Ton application et ta dextérité me surprennent et gonfle encore plus mon sexe qui perle de plaisir alors que ta main se glisse entre tes cuisses pour te caresser. Cette position m'offre une vue imprenable sur ta chatte et tes doigts qui s'y enfoncent. Le rythme de tes pieds s'accélèrent au fur et à mesure que grandit ton plaisir. Rapidement tes cris et ton corps qui se cambre m'indiquent qu'un nouvel orgasme à envahit ton bas-ventre. Tes pieds ralentissent alors que tu reprends lentement tes esprits.
J'enfile alors une capote puis me redresse, pose tes chevilles sur mes épaules et, me couchant sur toi pour plaquer tes genoux contre ta poitrine, enfonce d'un seul coup ma queue au fond de ta chatte encore sensible de l'orgasme récent. Je donne de violents coups de reins et rapidement tu reperds pieds.  Ma main droite vient serrer fortement ta gorge, te coupant le souffle ne relâchant la pression que quelques brefs instants pour te laisser reprendre une légère inspiration. J’alterne claques et étranglements tout en continuant de te pilonner ainsi. Te sentant à nouveau proche de l'orgasme, je sors ma queue et la frotte rapidement sur ton clito pour te faire jouir ainsi, observant la cyprine s'écouler en de ta chatte, j'en enduis mes doigts qui viennent se poser sur ton petit trou pendant que mon autre main maintient tes jambes levées. Mon index s'aventure lentement dans ton petit trou. Tu soulèves tes fesses pour offrir un angle plus propice. Après quelques instants, un second doigts vient rejoindre le premier dans ton anus. Ce dernier se détend progressivement avant que je ne retire mes doigts pour me reculer en direction d'un sac posé dans le coin de la pièce. J'en ressort deux cordes. Je saisis l'une des chaises disposée dans le salon et la positionne face à la baie vitrée. Je saisis ta laisse et t'amène docilement vers la chaise et, après avoir déposé un linge pour protéger ce qui ressemble à du velours, t'y installe. Les cordes s'enroulent autour de ton corps en commençant par tes poignets qui viennent se lier aux accoudoirs, puis te chevilles remontent de part et d'autre de ta tête maintenues par la corde qui s'enroule aux pieds de la chaise avant de remonter vers tes cuisses qui viennent se plaquer aux accoudoirs à leur tour après avoir pris soin d'avancer et soulevé tes fesses au bord de la chaise.
Te voilà donc ligotée, face à la large vitre dans une position proche de celle-ci (image d'illustration: source http://www.perfectslave.com/).

Tu ne quittes pas la baie vitrée du regard, anxieuse et en même temps excitée à l'idée que quelqu'un pourrait te voir ainsi. Tu ne remarques pas que je sors un "rosebud" du sac ainsi que des pinces à seins. Je m'amuse à déposer le morceau de métal glacé sur tes tétons qui se dressent aussitôt. Une fois bien dressés et durs, je dépose les pinces reliées par une chaînette sur tes tétons puis j'enfonce le plug dans ta bouche. 
"Garde ça pour moi."
Tu accueilles le métal glacé sur ta langue et referme ta bouche, ne laissant apparaître que le bijou décoratif. Ma main saisie la chaînette et s'amuse à provoquer des petits à-coups secs qui t'arrache des petits cris de douleurs et d'excitation, étouffés par le plug dans ta bouche. Mon autre main part fouiller ta chatte et s'y enfonce à 4 doigts, forçant l'entrée. Ta chatte trempée, écarlate et malmenée ruisselle jusqu'à ton petit trou largement exposé alors que mes doigts font des aller-retours rapides dans ton vagin. Ce traitement accompagné du jeu sur les pinces à seins, ont raison de toi et te font jouir sans que tu ne retiennes tes cris, qui emplissent la pièce. J'essuie mes doigts sur ton visage en prenant bien soin de parfaire ton maquillage de ma touche personnelle puis je ramasse le plug que tu as laissé tombé au sol lors de ton orgasme. Je présente le plug face à ton visage et tout en te fixant droit dans les yeux te dis:
"Je t'avais demandé de me garder ça! Je comptais préparer lentement ton cul, mais tu ne le mérite pas!" Et tu sens aussitôt mon gland recouvert de l'indispensable morceau de latex se poser à l'entrée de ton anus.
"Non non non! Pas comme ça, s'il vous plaît!"
Mais après avoir pris le soin de récupérer un maximum de mouille avec mon sexe, je l'enfonce très lentement en toi. Tu te trémousses pour tenter de faciliter le passage, tentant parfois de te débattre mais vainement, les liens te maintiennent à ma merci et tes supplications ne me font que bander encore plus. Mes mains s'alternent entre la chaînette sur tes seins et ton clito que je stimule pendant que je poursuis mon avancée dans ton cul. En quelques minutes, ton cul est désormais totalement envahi par ma queue qui commence à la limer de plus en plus longuement puis le rythme s'accélère. Les coups de reins se font de plus en plus forts et rapides et tu ne parviens plus à retenir ces cris de douleurs et de plaisir si reconnaissables.
"Alors? Qui est la bonne petite salope qui adore se prendre une bite dans le cul?!"
Aucune réponse, mais ton cul se resserre en signe acquiescement.
"Alors ?! Qui ?!" Dis-je en donnant de grands coups de reins qui t'arrache irrémédiablement un nouveau cris.
"Moi...  moi..." Laisses-tu échapper entre tes lèvres...
"Moi quoi !" demande-je avec une nouvelle série de coup de reins.
"Moi! C'est moi la salope qui aime me faire enculer!" hurles-tu à peine quelques instants avant qu'un nouvel orgasme ne prenne le contrôle de toi. Tes jambes tremblantes, ton regard semble ailleurs, comme si tu étais très loin. Tu semble peiner à redescendre...
Ma queue quitte ton cul, remplacée par le rosebuds qui entre sans la moindre difficulté. Je retire la capote et te présente ma queue à côté de ton visage. Sans la moindre hésitation, tu l'enfourne dans ta bouche, la suçant goulûment. Pendant ce temps, je libère tes jambes, ne laissant que tes poignets attachés. Je me place face à toi et saisissant tes chevilles, je dirige tes pieds autours de mon sexe dressé. Te voyant te trémousser sur la chaise, je devine que la position n'est pas des plus adéquate. Mais très vite, tes pieds s'enroulent à nouveau autour de ma queue et commencent leur travail d'orfèvre. Je suis à nous abasourdi par l'agilité dont tu fais preuve et ce divin traitement à raison de moi en très peu de temps. Mon sexe gonfle encore avant que plusieurs jets de sperme jaillissent et viennent se déposer sur toi dans un râle de plaisir. Le jus est venu se déposer de ton pubis à ton cou et l'un de tes seins. Alors qu'une autre partie s'écoule le long de ta cuisse sur tes bas. Tes pieds ont aussi eu droit à quelques gouttes de ce liquide encore chaud. Je m'empresse de venir te faire lécher mon gland pour nettoyer toute trace en enfonçant totalement ma queue dans ta bouche te provoquant des hauts le coeur. La salive coule abondamment sur tu poitrine et à peine reprends tu ton souffle qu'une nouvelle intrusion arrive. Je frotte mon sexe trempé sur ton visage et prends grand soin d'étaler ce mélange de salive et de foutre sur ton corps.
Je réattache tes jambes comme précédemment et me dirige vers le sac. Tu me vois revenir avec un genre d'eyeliner noir. Je m'accroupis devant ta chatte et écris en grand sur tes cuisses "Chatte et cul à baiser" puis sur ton front "Vide-couille". Je prends grand soin de m'assurer que tu es bien positionner face à la baie vitrée que j'entrouvre légèrement. Je te chuchote à l'oreille: "Je vais prendre une longue douche... Je te laisse ainsi, à la disposition de tous ceux qui passeraient par là et qui voudraient se soulager.". Puis je m'absente vers la salle de bain pour d'interminables minutes, te laissant à l'affût du moindre bruit à l'extérieur........

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