vendredi 1 février 2013

[Fiction] De gré ou de force


Tu marches tranquillement dans la rue en rentrant chez toi après ton travail. Vêtue d’une petite robe légère,indispensable par cette chaleur, tu laisse ton esprit vaciller à ton occupation de la soirée. Fatiguée, tu t’imagine déjà sous une longue douche rafraîchissante avant de t'allonger sur ton canapé, un bouquin à la main. Une douce brise glisse dans la rue, soulageant les passants étouffés par la chaleur. Toujours perdue dans tes pensées, tu ne t’aperçois pas, quelques mètres derrière toi une ombre t’observe, admirant tes longues jambes, perchées sur tes talons, qui se faufilent à travers la foule.
Arrivée chez toi, tu retire tes chaussures et tout en te dirigeant vers la salle de bains, tu laisse délicatement glisser ta robe le long de ton corps, le tissu caresse ta peau brûlante. Les premières gouttes d’eau s'écoulant sur ta peau sont un réel plaisir. Tu savoure cette douche pendant de longues et délicieuses minutes, tes mains glissent sur ton corps, mêlant savon et eau.
Une fois la douche terminée, enroulée dans une serviette, tu te dirige vers ta chambre à coucher afin de t'habiller. Un détour par la cuisine et un regard dans ton réfrigérateur vide te fais cruellement remarquer que tu as omis d'acheter quoi que ce soit pour le repas.
Dépitée, tu te résous à ressortir. Tu enfile finalement un string blanc et une petite robe d’été légèrement. Tant pis pour le soutien-gorge te dis-tu, tu n’en a que pour quelques minutes, le temps de descendre au petit magasin au bas de la rue. Tu enfile une paire de tong et te voilà partie, les cheveux humide et ta peau encore fraîche. Le vent s'engouffrant sous ta jupe et glissant sur tes cuisses te donne des frissons. Les gouttes d'eau coulent de tes cheveux jusque sur tes reins. Ta petite jupe se colle à ta peau et tu imagine, mal à l'aise, que mouillée, ta jupe doit laisser paraître ton string... Tu te hâte de faire tes courses et le sourire pervers de l'épicier, te confirme tes craintes quant à ta jupe.
Les courses enfin terminées, tu te dirige vers ton appartement.Rassurée à l’idée de pouvoir enfin te relaxer et retirer cette maudite jupe. Quelques sifflets d'homme renforce encore plus ta gêne et c'est rouge de honte que tu t'engouffre dans ton immeuble. Enjambant les marches par pair, tu te presse de rejoindre ton étage. Tu avance sur le palier pour fouiller dans ton sac à la recherche de tes clefs. Tu t’arrête devant ta porte puis insère la clef dans la serrure. La porte entrouverte, tu remets tes clefs dans ton sac à main et ouvre la porte.
A cet instant, tu te sens saisie par la taille alors qu’une main vient se poser sur ta bouche étouffant ton cri de surprise puis tes appels à l’aide. Tu cherches à te débattre, mais en une fraction de seconde, te voilà emmenée dans ton appartement, toujours maintenue fermement. La porte claque derrière toi. La main autour de ta taille disparaissant, tu tente de te débattre un peu, jusqu’à ce qu’elle remonte devant ton visage, armée d’un pistolet.
Terrorisée par cette vision, tu réfrène instantanément tes tentatives de fuite et sentant un souffle chaud sur ta nuque, tu entends uniquement ces quelques mots à ton oreille: “Tais-toi et il n’y aura pas de problème. Tente quelque chose et ça va mal se terminer pour toi”.
Quelques secondes s’écoulèrent avant d’entendre: “Je vais retirer ma main et tu vas être bien sage, compris?!”. D’un mouvement de tête, les yeux fixés sur l’arme, tu acquiesce. La main se retire lentement te laissant prendre une grande bouffée d’air. Les idées se bousculent dans ta tête. La peur te paralyse, tu as l'impression que tes jambes ne supportent plus ton poids. Toujours maintenue à la taille, tu tente de dire calmement, des sanglots dans la voix:”Qu’est ce que vous me voulez? De l’argent?” en te retournant légèrement pour voir le visage de ton agresseur. “Non!” dis-je. A ce moment, je te plaque fermement face au mur et d'une main t'attrape à la gorge. Tu sens le contact glacé du revolver glisser derrière ta cuisse et remonter doucement vers tes fesses. Un sursaut instinctif de refus est immédiatement sanctionné par ma main qui sert ta gorge. L'air te manque aussitôt, tes yeux s'écarquillent et ta bouche s'ouvre à la recherche d'air. "Tiens-toi tranquille!" te dis-je. Tu t'arrête de bouger en attendant que ma main laisse à nouveau arriver de l'air à tes poumons. Après quelques secondes qui te semble durer une éternité, ma main relâche la pression sur ton cou te permettant d'inspirer une grande bouffé. Le revolver recommence son ascension et tu refoule tes instincts de défense. Le canon remonte lentement ta jupe dévoilant tes fesses vêtues de ce seul petit string. Tu étouffe tes sanglots tout en me sentant venir me coller contre toi. Plaquée contre le mur, tu sens mon sexe durcit par l’excitation, s’écraser entre tes fesses.
Puis je te glisse à l’oreille: “Je suis certain que maintenant tu comprends ce que je veux.” Dis-je en caressant ta joue avec le canon de l’arme, “Et tu vas être bien sage”. Un sanglot s’échappa de ta bouche, mais le canon du revolver continuant de glisser sur ton visage et ma main autour de ta gorge exerçant une brève pression, te fit immédiatement taire. Une fine l’arme s’écoule le long de ta joue alors que le canon de l'arme flirt avec tes lèvres. Ma bouche se baladait le long de ton cou et de ta nuque. Je te saisis par les cheveux pour te forcer à t’agenouiller devant moi. L’arme sur ta tempe, te me regarda, tes yeux pleins de larmes, déboutonner mon pantalons et libérer mon sexe durcit. Le revoler vient se poser sur ta bouche et se frayant un chemin entre tes lèvres te force à ouvrir la bouche. Le contact du canon sur ta langue te stresse et tu n'ose plus faire le moindre geste. Tu es soulagée lorsque le pistolet sort de ta bouche, mais le répit n'est que de courte durée. Ma queue s'engouffre violemment dans ta bouche. Le va et vient au plus profond de ta bouche et l'arme à nouveau sur ta tempe ne te laisse pas reprendre ton souffle ni contenir ta salive correctement. Rapidement, ma queue se retrouve trempée alors que des filet de salive coule sur le sol de ton hall d'entrée. Après plusieurs minutes, ma queue quitte enfin ta bouche entraînant avec elle un long filet de bave la reliant à tes lèvres. La mâchoire endolorie, ma main t'attrape par les cheveux et te dirige vers ta cuisine. Tu m'observe terrorisée, saisir un grand couteau de cuisine toujours en te maintenant par les cheveux. Je t'amène dans ton salon et t'agenouille sur ton sofa, me tournant le dos... Tu sens la lame du couteau glisser le long de tes épaules doucement, te faisant frissonner. Se glissant sous l'une des bretelles de ta robe, la coupant libérant ton épaule et dévoilant l'un de tes seins. Le couteau continu son chemin en direction de la seconde bretelle qu'il tranche immédiatement. A genou et penchée en avant contre le dossier, le tissu tombe et libère entièrement ta poitrine. Mes main finissent de déchirer ta robe et te voilà rapidement en string. La lame reprend son terrible parcours et descend le long de tes hanches et coupe l'élastique de ton string de chaque côté. Te voilà totalement nue au dessus de tes vêtements en lambeaux. Le couteau vient titiller le bout de tes tétons et tu ne peux empêcher ceux-ci de se dresser tout en sentant des frissons parcourir l'ensemble de ton corps. Puis tu entends le couteau glisser sur le sol en direction du fond de la pièce. Ma queue glissant sur tes fesses t'arrache de nouveaux sanglots et te pousse à me demander grâce en faisant un geste d'éloignement. Ma main vient immédiatement serrer ta gorge pendant que me penchant vers toi je te murmure "Je pensais que tu avais compris que plus tu te débattra et plus je serai cruel." Dès lors ma queue s'engouffre dans ta chatte. Forçant pour se frayer un passage. Relâchant la pression autour de ta gorge, je te demande si tu as compris. Ravalant tes sanglots et tout en sentant ma queue te pilonner, tu me répond que oui. Mes vas-et-viens continuent et mes doigts caressant fermement ton clito te forçant, bien malgré toi, à être de plus en plus trempée. Ces sensations te déstabilisent au plus haut point et après quelques minutes supplémentaires, tu ne peux t'empêcher de te faire arracher un orgasme. Je me penche vers toi et, tout en posant ma main autour de ta nuque, je t'ordonne d'ouvrir tes fesses avec tes mains pour me montrer ta chatte trempée. Résignée et les jambes encore tremblantes de ton orgasme tu t'exécute. Je sors ma queue pour admirer le spectacle. Après quoi je t'annonce: "Et ça c'est parce que tu n'as pas été assez sage avant.". Tu sens alors ma queue trempée venir se poser sur ton petit trou tout serré. Un "non, pitié!" sort malgré toi de ta bouche et tes mains relâchent tes fesses. Mes doigts tordant l'un de te tétons te ramènent à l'ordre immédiatement. Tu te cambre et écarte à nouveau tes fesses en attendant, mortifiée, le nouveau supplice qui t'attend. Ma queue s'enfonce lentement dans ton cul, t'arrachant des cris de douleurs. Bien que trempée de ta mouille, chaque centimètre t'arrache un nouveau râle accompagnés de sanglots. Tu ouvre encore plus ton cul pour essayer de soulager la douleur, mais rien à faire. Tu es soulagée de sentir mes couilles venir s'écraser contre ta chatte synonyme que toute ma bite est désormais dans ton petit trou. Commence alors de long va-et-vient qui sont insoutenables, tu essaie de te détendre pour diminuer la douleur, mais la situation t'en empêche. Je sors ma queue une première fois et te la présente devant la bouche en t'ordonnant de la sucer. Sans trop réfléchir tu l'enfourne dans ta bouche. En essayant de ne pas penser à l'endroit où elle se trouvait avant, tu la suce toute en gardant ton cul ouvert à ma demande. Consciente du fait que je vais la replonger dans ton petit trou, tu mouille abondamment ma queue dans l'espoir de rendre la douleur un peu plus supportable. Et avec crainte, tu regarde ma queue se diriger à nouveau vers ton cul et y plonger d'une seule traite! Un nouveau cris t'échappe les aller-retours sont de plus en plus rapides puis alternés entre ta chatte et ton cul. Ce supplice devient de plus en plus supportable et tu constate, bien malgré toi, que l'excitation monte à nouveau mais différemment qu'à l'habitude, beaucoup plus brutale, plus sauvage, et c'est à ta grande surprise qu'un nouvel orgasme s'écoule déjà entre tes cuisses accompagné des cris de plaisirs incontrôlés qui sortent de ta bouche. Chaque aller-retour supplémentaire te donne des frissonnements. Tu te sens honteuse d'avoir du plaisir de cette manière, prise des deux côtés, humiliée, souillée, violée! Ma queue se concentre à nouveau sur ton cul et le mouvement de plus en plus rapide gonfle encore plus ma queue. Tu sens le moindre millimètre en toi et le gonflement te laisse envisager la fin de ton calvaire. Je retire ma queue et t'ordonne de la sucer. Je t'agenouille parterre, puis tu la saisis et la suce goulûment tout en sentant ton cul grand ouvert et brûlant pendant que ta chatte continue de tremper ton entre-cuisse. Ma queue prête à explosée, je la sors et t'oblige à la branler devant ta poitrine. Quelques secondes à caresser mon sexe souillé et trempé suffisent à lui faire lâcher de long jets blancs qui viennent s'écraser sur tes seins. Puis quelques coups de langues forcés finissent de récolter le précieux liquide chaud.
A genoux sur le sol de ton salon, tu réalise à peine tout ce qui vient de se passer et c'est soulagée que tu me vois refermer mon pantalon. Je te souffle quelques derniers mots à l'oreille: "Ne te retourne pas avant que je sois sortis, sinon...". Tu acquiesce d'un mouvement de tête et tout en m'entendant me diriger vers la porte d'entrée, tu ferme les yeux pour ces ultimes secondes de souffrances. La porte s'ouvre et claque enfin. Enfin tu peux te relever et plonger sur la porte d'entrée pour la fermer à clef.
En te dirigeant vers ton téléphone pour appeler du secours, tu remarque un billet posé sur la table basse à côté de ton sac à main. Dessus il était écrit: "Si tu veux remettre ça, appelle-moi au ***/***.**.** ". Folle de rage, tu prends le billet et tout en demandant pour qui je te prenais, tu te disais que ce serait encore plus simple pour la police de me retrouver ainsi. En prenant le téléphone et allant en direction de la cuisine, tu repère alors le revolver posé sur l'îlot. Durant tout ce temps il était resté posé là?! Tu te sens idiote, tu n'avais même plus remarqué que je n'étais plus armé depuis le moment où j'avais lancé le couteau au fond de la pièce. Et le fait de constater qu'il s'agissait d'un faux pistolet accentua encore plus ce sentiment étrange... Comment avoir pu rater ça? Au fond de toi, tu avais bien un doute... Et en y réfléchissant bien, tu avais vu le revolver posé à la cuisine alors que tu étais malmenée... Mais pourquoi n'avoir rien fait??? Durant plusieurs minutes, tu te repassa encore et encore la scène. Tu m'avais vu dans la rue en rentrant de chez l'épicier, tu m'avais même ouvert la porte de l'immeuble alors que je te suivais... Mais pourquoi? Pourquoi ne pas avoir lutté plus que cela? Pourquoi avoir accepté tout ça? Et pourquoi n'avais-tu pas encore appelé les secours?
Ton téléphone émit un bip, significatif d'un nouveau mail. En ouvrant le mail, tu découvris le contenu suivant: "En espérant que ça correspondait à tes attentes. A bientôt." le tout alimenté par un cliché de toi cambrée, la chatte remplie par ma bite et ton petit trou tout dilaté.
Un petit sourire apparut sur ton visage et tu répondit simplement "Oui, merci, c'est exactement ainsi que j'imaginais ce fantasme."
Tu pris le billet et le glissa précieusement
dans ton sac à main, et c'est avec un sentiment de pleine satisfaction que tu alla prendre une nouvelle douche.
Depuis ce jour, mon numéro est en mémoire dans ton téléphone et nous nous revoyons de temps à autre au détour d'une ballade en forêt ou dans un parking sous-terrain. Il arrive même que tu laisse ta porte d'entrée ouverte...
A tout hasard...

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