mercredi 5 juin 2013

[Fiction] La séquestration de Jasmine

Il est 4h30 du matin et ta nuit de garde arrive enfin à son terme... Seule au bureau du personnel infirmier, tu lutte contre la fatigue et l'ennuie. Les trente dernières minutes s'annoncent interminables. Pour pallier à l'ennuie, tu décide d'aller faire une dernière ronde. Tu te lève donc péniblement et t'engouffre dans la pénombre des couloirs. La nuit, par soucis d'économie, seuls quelques lampes d'appoint perdurent. L'hôpital entièrement endormi et la froideur aseptisée des lieux lui confère des airs lugubres et angoissants. Un frisson parcours ton échine dorsale lorsque tu entends un bruit derrière toi. Tu te retourne subitement mais ne voit personne. Tu reviens sur tes pas et après une rapide vérification constate rassurée qu'aucun patient n'est sortit de sa chambre. Sans doute ton imagination combinée à la fatigue et à l'ambiance du lieu te dis-tu... Ta ronde arrivant à son terme, de même que ton service, tu regagne ton bureau. En sortant un stylo de la poche avant de ta blouse pour prendre note de ta ronde, un papier tombe sur le bureau et atterrit à l'envers sous tes yeux intrigués. Tu ne te souviens pas avoir mis une carte de visite dans ta poche. Tu la retourne et ton regard se fige lorsque tu comprends de quoi il s'agit:



Ces quelques mots accompagnés de ce logo alertent immédiatement ton esprit et tu comprends dès lors que la période à risque a débutée. Cela faisait plusieurs semaines que nous discutions de ce projet, me fournissant toutes les informations que je souhaitais. Mais sans savoir quand tout allait commencer. Voilà donc le signe tant attendu et tant redouté, synonyme des mésaventures à venir dans les 15 prochains jours. Cette idée t'excite dans un premier temps, mais l'angoisse prend lentement le dessus et les idées commencent à se bousculer dans ta tête. Cette carte n'était pas dans ta blouse plus tôt dans la nuit et tu ne l'a pas quitté. Tu comprends alors que j'étais venu la glisser en personne dans ta blouse alors que tu devais être assoupie quelques minutes au bureau des infirmiers comme cela arrivait parfois. Tu pris alors conscience que toutes les informations que tu m'avais communiquées te rendaient vulnérable et que tu étais dès lors une proie facile. Une main se posa alors sur ton épaule et t'arracha un petit cris de surprise. Ton collègue venu te remplacer s'excuse pour  cette frayeur et te demande de quoi il s'agit en désignant la carte de visite entre tes doigts. Gênée, tu t'empresse de la ranger dans ta poche en fuyant la question... Tu le salue et file en direction du vestiaire pour te changer et rentrer chez toi. Chaque bruit provoque un sursaut et tu appréhende déjà le trajet dans le parking sous-terrain... Tu te change rapidement et te dirige vers les sous-sol. Le claquement de la lourde porte d'accès au parking raisonne dans le sous-terrain désespérément vide à cette heure. Tu te dirige d'un pas pressé vers ta Fiat et fouille dans ton sac pour en sortir les clefs qui tombent à tes pieds... Tu t'accroupis pour ramasser ton trousseau lorsqu'une portière claque dans le fond du parking. Tu te relève et tout en entendant des bruits de pas, fonce vers ta voiture sans te retourner. Tu y monte et te verrouille à l'intérieur avant de partir en direction de la sortie. Tu croise alors un collègue au loin, venant prendre son service et t'adressant un signe de la main. Tu répond par un sourire forcé et nerveux en te rendant compte que les heures, les jours et les semaines à venir vont être extrêmement éprouvantes nerveusement et risques de développer en toi une tendance à la paranoïa... 
Enfoncé dans mon siège, je t'observe, amusé, en regardant ta Fiat bleue sortir du parking.

Les jours suivants augmentèrent encore plus l'anxiété et tu as rapidement le reflex d'imaginer ce qu'il pourrait t'arriver à chaque situation. A ton travail, lorsque l'on sonne à ta porte, quand tu marche dans une rue peu fréquentée, au cinéma, à la sortie de la répétition de théâtre, dans le métro... Tous ces gestes et moments généralement anodins prennent désormais une toute autre dimension... Mais après 5-6 jours, cette angoisse s'amenuise peu à peu et ta méfiance diminue progressivement.

La dernière journée de travail de la semaine achevée, tu es enfin en weekend et l'un des avantages des horaires irréguliers est que parfois ton weekend commence avant les autres. Et c'est le cas aujourd'hui. La semaine se termine aujourd'hui, jeudi, et ce soir tu as l'occasion de donner un petit concert pour une soirée. Rien de bien grand, mais ça te donne l'occasion d'acquérir un peu d'expérience et te reboost irrémédiablement...

Te voilà rentrée et l'heure est venue de se préparer. Une longue douche bien chaude pour te relaxer puis tu t'habille pour ton concert. String et soutient-gorge rouges, des bas et une petite robe noire en soie avec un bustier rouge. Maquillage et coiffure ont également leur compte. Ta petite taille n'étant pas un atout pour la scène, tu chausse une haute paire de talon aiguille, mettant du même coup tes jambes en valeur... Tu quitte ton appartement quelques minutes plus tard et te dirige vers ta voiture. Le concert se déroule sans encombre et se termine peu après minuit. La fatigue de ta journée de travail cumulée à celle du concert ont raison de toi et te pousse à rentré après un dernier verre pour finir de savourer cette délicieuse soirée... Tu sors du bar vers 1h du matin et t'engouffre dans la ruelle menant à ta voiture. Tout en avançant, tu en profite pour lire les messages laissé par tes amis venus t'encourager. Ces messages te font un bien fou. Un dernier message d'un numéro inconnu arrive à cet instant: 
"Bravo Jasmine pour cet excellent concert."
Tu réponds : "Merci beaucoup mais qui est-ce?"
Quelques secondes plus tard, l'écran s'allume et ce simple mot affiché suffit à te stopper net, stupéfaite: "FenX"
A cet instant ma main te recouvre la bouche et te plaque en arrière pendant qu'un objet cylindrique s'appuie contre tes reins.
"Ne fais pas un bruit!"
Tu acquisse d'un petit hochement de tête, pendant que ce que tu évalue comme un pistolet se presse encore un peu plus dans ton dos. Tu observe aux alentours, personne! Tes jambes tremblent et te donnent l'impression de pouvoir t'écrouler à chaque instant.
Je te dirige vers ta voiture et après t'avoir ordonné de l'ouvrir, colle un gros morceau d'adhésif sur ta bouche avant de déposer un sac en tissu noir sur ta tête. Te voilà plongée dans les ténèbres. Puis tes mains se retrouvent rapidement attachées dans ton dos avant que tu ne sois couchée sur les sièges arrières.
Quelques secondes plus tard ta voiture prend la route. Tu tente de te détacher ou de retirer le sac mais rien à faire. De longues et interminables minutes plus tard la voiture finit enfin par s'arrêter et te voilà extirpée de la voiture et dirigée fermement. Les yeux bandés et avec des talons hauts sur ce qui semble être du gravier rendent tes déplacements incertains. Une première porte suivit d'une descente d'escalier interminable t'amène à une seconde porte. La porte grinçante s'ouvre lentement avant que tu ne t'y sente poussé vivement. Tu reste debout, immobile, dans l'obscurité du tissu sur ta tête. Mes mains glissent alors autour de ton cou l'entourant d'un collier en cuir. Tu reconnais immédiatement la matière et son simple contact suffit à te faire frémir.
Dès lors, tout va très rapidement, Tes chaussures te sont retirées, dévoilant un sol pavé sous la plante de tes pieds. Puis tes mains sont déliées le temps de retirer ta jambe. Tu tente d'émettre un cri de protestation, mais le papier adhésif l'étouffe aussitôt... Te voilà donc en sous-vêtements et bas comme seule tenue. Un son métallique d'une chaîne glissant sur le sol envahie la pièce. Le contact de l'acier glacé sur ta peau te fait sursauter avant de venir se fixer au collier en cuir. Te voilà maintenant enchaînée. Je te retire le sac sur ta tête; lumière t'aveugle durant quelques secondes puis tu commence progressivement à distinguer l'environnement qui t'entoure. 
Une cave en pierre, sans fenêtre, avec un matelas posé à même le sol pavé. Un sceau métallique posé à côté de cette couche de fortune te laisse comprendre que je compte te garder en captivité un certain temps. Une grande porte en bois et à côté un grand miroir dans lequel tu t'observe ainsi exposée. Le moindre de tes mouvements fait cliqueter la chaîne. Tu baisse les yeux et la voit, encrée dans le sol et reliée au collier de cuir recouvert d'un anneau métallique, le tout solidement verrouillé par un cadenas.



Au fond de la pièce se dessinent des silhouettes d'objets recouverts de draps blancs. Tu me regarde, curieuse de voir enfin mon visage, mais ton impatience est stoppée net lorsque que voit que je porte une cagoule ne laissant apparaître que mes yeux et ma bouche. Je retire alors l'adhésif sur ta bouche te laissant par la même occasion prendre une grande bouffée d'air. Je t'ordonne alors de t'agenouiller. Ton refus est immédiatement sanctionné par ma main tirant d'un coup sec sur la chaîne, te propulsant sur les genoux à même la pierre. Un cris de douleur t'échappe accompagné de plainte de réticence. J'ouvre alors ma braguette et libère mon sexe devant ton visage.
"Suce!"
Tu refuse et lorsque ma main saisie une nouvelle fois la chaîne, tu t'empresse d'enfourner ma queue dans ta bouche avant une nouvelle sanction. Tu la sens rapidement durcir jusqu'à devenir bien raide. Les mouvements de vas et viens deviennent de plus en plus profond et tes mains viennent appuyer mes cuisses pour ne pas laisser mon sexe entrer plus profondément dans ta bouche. Ma main tire donc sur la chaîne pour te forcer à avaler encore plus profondément ma queue. Ta résistance ne fait qu'accentuer les douleurs autours de ta gorge et rapidement tu te résigne au traitement enduré. Ma bite se force un chemin jusqu'à entrer entièrement dans ta bouche et s'aventurer dans ta gorge. Test lèvres plaquées contre mon pubis, tu te contrôle pour contenir le reflex de reflux avant qu'elle ne ressorte entièrement, inondée de salive avant d'y replonger une nouvelle fois. Cette fellation forcée durera plusieurs longues minutes interminables et tu subiras 4 passages forcés jusqu'à ta gorge. Les va-et-viens sont de plus en plus rapides et ma queue ressort une ultime fois de ta bouche pour exploser de plaisir. De longs jets giclent sur ton visage, coulant sur ta peau matte. Puis j'essuie ma queue sur ton visage pour retirer l'abondante salive s'y trouvant...
"Lève-toi !" Dis-je en refermant mon pantalon.
Tu obéis sans discuter, les genoux endoloris par le sol rugueux.
Je t'ordonne de te déshabiller entièrement.
Ma main venant serrer ta gorge ne te laissant pas respirer, mis rapidement un terme à ton refus et tu t’exécutas, retirant tes bas, ton soutien-gorge et ton string. Te voici entièrement nue face au miroir. Tu te regarde, ainsi exhibée, nue, le visage souillé de sperme et de salive, de même que ta poitrine. A ce moment, tu aperçois un ombre derrière le miroir. Il s'agit en fait d'un miroir sans tain! Durant tout ce temps quelqu'un observait derrière cette vitre. Tu rougis et baisse les yeux.
"Vas là-bas!" dis-je en indiquant le coin de la pièce.
Tu te dirige à l'emplacement indiqué.
A peine le temps de te retourner face à moi qu'un jet d'eau jaillit à ton visage. L'eau glacée te fait hurler et bouger dans toutes les directions pour tenter d'y échapper. Tes seins se durcissent au contact du liquide glacial. Une fois ton visage et ta poitrine nettoyés, le jet s’interrompt et je t'ordonne alors de te mettre à genou le visage contre le sol. Ta chevelure noire trempée ruisselle sur le sol trempé pendant que le contact de la pierre sur ta joue te fait frissonner. Puis un longue barre métallique vient se positionner entre tes cheville.qui s'y retrouvent rapidement liées t'écartant ainsi largement les cuisses. Tes poignets y sont ensuite également rattachés, soulevant et écartant ton cul.




Une corde est ensuite passée autour de ta taille et accrochée à l'un des nombreux anneaux métallique présents au plafond, t'obligeant ainsi à te cambrer au maximum. Tu constate que la ou les personnes présentes derrière le miroir ont une vue imprenable sur ton intimité. Le moindre de tes mouvements fait glisser la corde qui te brûle la peau. Puis tu m'entrevois me diriger vers une imposante malle posée au fond de la pièce derrière toi. Le large coffre se referme et tu ne parviens pas à distingué ce que j'en ai sortis. Ton interrogation est rapidement interrompue lorsque tu vois la poche en plastique transparente que j'accroche au plafond. Le long tuyau qui en ressort ne présage rien de bon. Je saisie l'extrémité du tuyau et te le met dans la bouche.
"Mouille le bien!"
Tu t'y résigne, pensant deviner de quoi il s'agissait. Tu recrache de grosses gorgées de salives sur les deux boules situées au bout de l'objet puis le regarde, dépitée, s'éloigné de ta bouche et se diriger, dégoulinant, vers ta croupe. Je le positionne à l'entrée de ton anus et t'écoute me supplier:
"Non, pas ça, pas ici!"
Mais à peine ta phrase terminé que l'objet commence à forcer le passage et s'engouffre dans ton cul. Tu tente de te débattre, mais la douleur prodiguée par la corde calme tes ardeurs. Puis la première boule commence à pénétrer péniblement, t'arrachant des cris de protestations et de douleur, mais rien n'y fait et c'est un hurlement qui s'expulse de ta bouche lorsque tu sens ton anus se refermer sur la première boule et l'avancée douloureuse stoppée aussi net. Puis tu m'observe remplir amplement la poche suspendue au plafond de plusieurs litres d'eau. Je saisie le tuyau et enclenche l'interrupteur. Le petit clic est immédiatement suivi par l'eau s'engouffrant dans ton anus, te remplissant lentement. Tu te sens remplie de l'intérieur et la vision de la quantité d'eau restante dans la poche te fais craindre le pire quant à la durée de ce supplice. Je ressors de la pièce et vais me placer derrière la vitre pour t'observer te tordre pour tenter d'amoindrir la gêne occasionnée. Les minutes te paraissent interminables et tu as l'impression que la moindre goutte d'eau te pénétrant va te faire exploser. Voilà enfin la poche vide. Tu sens ton ventre gonflé et déjà l'envie d'expulser toute cette eau devient insoutenable. Je rentre et retire lentement le tuyau, qui, en ressortant, entraîne avec lui un filet d'eau ruisselant entre tes fesses. Je te libère les mains et les chevilles et t'Indique le sceau métallique posé de l'autre côté de la pièce, juste devant le miroir, en disant:
"Voilà tes toilettes Jasmine."
Tu me supplie de t'offrir de vraies toilettes mais en me voyant quitter la pièce sans même un regard, tu comprends que tes supplications n'ont pas eues le moindre effet. Tu te contorsionne pour tenter de calmer l'envie, mais le besoin devient rapidement. Lorsque tu te redresse, ça devient carrément insoutenable et tu te recroqueville instinctivement sur le sol, regardant le sceau... Tu rampe à quatre pattes lentement jusqu'à lui. Chaque mouvement engendre des crampes laissant parfois un filet d'eau s'échapper de ton anus et couler entre tes cuisses. La chaîne attachée à ton cou et traînant sur le sol accompagne chacun de tes mouvements. Lorsque tu saisis enfin l'objet tant convoité, tu constate qu'il est attaché au sol et que tu ne pourras pas le déplacer. Tu te résigne donc et t'assieds dessus, face au miroir. Tu te vois ainsi et baisse rapidement les yeux en imaginant le spectacle offert aux personnes se trouvant de l'autre côté de la vitre. Tu tente de te retenir encore, mais l'envie pressante à raison de ta fierté et tu finis par relâcher toute l'eau dans le sceau. Ton sang semble faire bouillir ton visage que tu n'ose regarder dans le miroir, la tête baissée, honteuse... L'eau finie enfin par quitter entièrement ton bas-ventre et alors que tu te dirigeais vers le matelas pour tenter d'y trouver un peu de réconfort, tu es interrompue par la porte qui s'ouvre.
"Retourne dans le coin et attends."
Tu comprends qu'une nouvelle douche glacée t'attends. A peine le temps d'arriver que déjà l'eau gelée mord ta peau. Tu tente d'éviter le jet, mais en vain. Rapidement tout ton corps se retrouvent trempé. 
"Tourne toi face au mur et plaque tes mains contre"
Tu te retourne et, après t'être appuyée au mur, tu sens le jet s'engouffrer avec insistance entre tes fesses. Le jet s'arrête enfin et tu reste immobile avant d'entendre le sceau métallique être remplacé puis la porte se refermer. Tu t'écroule immédiatement sur le matelas, t'enroulant dans une serviette déposé à côté, cherchant du réconfort. Tes bouclettes noires gouttent sur le matelas tandis que la lumière s'éteint, plongeant la pièce dans une obscurité totale. Tu estimes qu'il doit être entre 3 et 4 heures du matin. Tes yeux accusent la fatigue, mais ton corps refuse de céder au sommeil et tout ton être est en alerte à chaque instant, au moindre bruit...
La lumière s'allume, éblouissante, aveuglante même. Tu me regarde entrer dans la pièce et aller traîner un objet caché sous un drap qui semble assez lourd au milieu de la cave avant de l'attacher au sol dans différentes boucles métalliques. Je soulève lentement le drap et tu découvre un chevalet en bois, doublé de cuir par endroit. 


Je saisis la chaîne et t'amène en direction de l'objet sur lequel tu te retrouve rapidement attachée par les poignets et les chevilles. Tu tourne la tête et t'observe ainsi offerte, devant le miroir. Puis une cagoule plonge sur ta tête, te plongeant dans l'obscurité totale. Seule ta bouche reste libre alors que la cagoule finit par venir s'accrocher à ton collier, retirant tout espoir de la retirer. La chaîne t'es retirée, te donnant l'impression illusoire d'un mieux...
Tu sens alors un morceau de chaire se poser sur ta bouche. Tu détourne la tête en pinçant les lèvres. Rien, aucune contrainte, aucune sanction ne te semble donnée pour cette résistance.
Mais ce soulagement est immédiatement interrompu par un immense coup sur tes fesses, puis un autre et encore un autre. La planche claque et raisonne dans toute la pièce accompagnée par tes hurlements de douleurs. Six coups plus tard, les claquements s'arrêtent enfin. A peine le temps de ravaler tes sanglots qu'à nouveau ta bouche est sollicitée. Sentant ma main glisser, tel un avertissement, sur tes fesses brûlantes, tu t'empresse d'ouvrir la bouche et d'engloutir avidement le membre dressé. La queue fait des allers-retours incessant dans ta bouche, forçant à nouveau plusieurs fois le passage jusqu'à ta gorge. Puis tu sens la queue quitter lentement ta bouche. Tu entends mes pas se déplacer derrière toi puis s'arrêter net avant de sentir mes mains sur tes fesses, les écartant largement... Ma queue vient se poser à l'entrée de ton anus.
"Non! Pitié pas ça! Pas dans mon cul."
Je te laisse terminer ta supplication avant de commencer à enfoncer lentement mon sexe dans ton cul. Tes soupirs et gémissement de douleurs ne rencontrent aucune compassion et le membre continue inexorablement son avancer jusqu'à être entièrement enfoncé. Tu tente de reprendre te calmer, mais déjà les va-et-vient débutent. Lentement puis de plus en plus rapidement et fortement. La douleurs de cette première sodomie t'arrache des sanglots mais ils sont étouffés par la queue s'engouffrant sans prévenir dans ta bouche grande ouverte! Tu es totalement dépassée par tout ça et ne parvient plus à gérer. Les deux bites ne ménagent pas leurs hardeurs puis enfin la première queue quitte ton cul avant de finir par jouir sur ton dos. Ton anus te fait souffrir, mais la douleur s’estampant quelque peu, tu sens la queue dans ta bouche remplacée par une nouvelle. Celle-ci est bien plus grande que les autres et tu parviens difficilement à la prendre en bouche, alors que c'est cette fois ta chatte que se fait solliciter. De violents coups de reins viennent s'échouer dans une vague de plaisir montant de plus en plus fort. Tu finis par jouir intensément, tes cris étouffés par cette immense queue t'arrachant la mâchoire. Les coups de reins s'arrêtent et la queue quitte ta chatte. Pour venir prendre la place de celle dans ta bouche. Ta mâchoire endolorie laisse d'échapper ce monstre, accueillant, presque soulagée, ce membre plus "acceptable". Le jus de ta jouissance emplie rapidement ta bouche, t'excitant encore un peu plus. Mais ta soulagement est entièrement anéantit lorsque tu sens l'immense membre venir se poser contre ta chatte et amorcer son avancée. Chaque aller et retour t'arrache des gémissements. Rapidement l'autre bite explose sa jouissance dans ta bouche et le sperme s'en écoule lentement au milieu de tes cris de plaisir et de douleurs. Un nouvel orgasme encore plus intense t'envahie et te fais totalement lâcher prise. L'immense bite sort alors de ta chatte et glisse lentement vers ton cul. Chaque millimètre parcouru en direction de ton petit trou t'effraie un peu plus et aucune de tes demandes de grâce n'a d'impact et la queue commence alors à forcer le passage bien trop étroit. Chaque centimètre supplémentaire augmente encore plus le supplice et les poings crispés, tu tente de contenir la douleur sans y parvenir. Tu implore la pitié, mais en vain et lorsque la queue entame ses lents et interminables va-et-vient. Tes hurlements envahissent la pièce. Le mouvement s'amplifie et s'accélère. La queue passe ensuite de ton cul à ta chatte et réciproquement. Bientôt le plaisir et la douleur commencent à se confondre et ne font bientôt plus qu'un. Un ultime orgasme finit de t'achever et c'est soulagée que tu sens enfin le monstre jaillir son plaisir dans ton cul en feu. Les membres tremblants, tu as l'impression que tout ton corps frissonne pendant qu'un interminable filet de sperme s'écoule doucement de ton cul... Ton cerveau bouillonne en tentant d'analyser tout ce qui vient de se passer, toutes ces sensations diamétralement opposées. Les morsures glacées du jet d'eau viennent te sortir de cet état de transe. Puis te voilà libérée de cet instrument de torture. La chaîne tire sur ton cou pour te guider aveuglément avant de t'immobiliser. Ma main soulève ta cheville et tu sens un morceau de latex effleurer ton pied avant de rééditer avec l'autre jambe. Puis le latex remonte le long de tes jambes, puis un plug s'enfonce dans ton anus jusqu'à ce que le latex soit plaqué contre ta chair. Tu devine cet objet comme étant un genre de culotte en latex équipée d'un plug anal. Un léger renflement appuie également contre ton clitoris et tes lèvres. Puis la chaîne t'attire une nouvelle fois dans son bruit caractéristique. L'objet dans ton cul encore douloureux des sévices infligés jusqu'ici ne facilite pas tes mouvements. Tu trébuche sur le matelas et quelques instants plus tard la cagoule libère enfin ton visage. Éblouie, tu mets plusieurs dizaines de secondes avant de pouvoir distinguer clairement les choses. La porte s'est déjà refermée et tu ne résiste pas longtemps avant de plonger sur la nourriture et l'eau déposées à côté du matelas. Tout en te nourrissant, tu observe la culotte et effectivement, tu constate qu'il s'agite bien de l'objet que tu avais imaginé, à la différence qu'elle est attachées autour de ta taille par un cadenas. Tu tente de la retirer ou de la faire glisser quelque peu, mais sans succès. Elle est beaucoup trop comprimée contre ta peau. Tu te relève et te dirige lentement dans le fond de la pièce pour tenter d'y découvrir les objets encore sous les draps. La chaîne trop courte t'empêche d'y accéder et tous tes efforts n'y font rien. De plus ils rappellent cruellement la présence du plug dans ton anus. Résignée, tu t'allonge sur le matelas. La lumière s’éteint te plongeant dans les ténèbres... L'épuisement te fait rapidement sombrer dans un sommeil agité.
Tu te réveille soudainement en sursaut. Des vibrations intenses envahissent tout le bas de ton corps. Les boules sur ton clitoris et entre tes lèvres ainsi que le plug se mettent à vibrer rapidement et fortement. La lumière envahie à nouveau la pièce. Tu tente encore une fois, sans succès, de retirer la culotte. Te tortillant dans tous les sens, tu sens l'orgasme approcher à grand pas. La chaleur remonte dans tout ton corps et ton plaisir explose dans un cris de jouissance. Les vibrations se poursuivent, tremblante, exténuée, tu cherche à reprendre le contrôle de ton corps, mais les vibration intenses ne t'en laissent pas l'occasion. Ce supplice durera plus de trente minutes d'après tes estimations t'arrachant plusieurs orgasmes. Lorsque les vibrations s'interrompent enfin, tu te retrouve complètement amorphe et incapable de faire le moindre geste. Mon doigt sur la télécommande de la culotte vibrante, je t'observe à travers le miroir. Puis la lumière quitte la pièce... Toutes les 1h30 environ, le même réveil se répétera. Durant chacune des 6 séances, les multiples orgasmes arrachés étaient parfois intenses, parfois sans plaisir réel. Seule dans l'obscurité, tu remarques alors des lumières rouges clignotant dans les différents coins de la pièce. Tu comprends alors que tu es filmée et que de ce fait, tout ce que tu as enduré jusqu'ici l'était également. Abusée, trempée et humiliée, tu attends craintivement le supplice suivant...
Une voix diffusée par un haut-parleur, te fait sursauter.
"Remets la cagoule Jasmine."
La lumière illumine à nouveau la pièce. Tu vois la cagoule posée sur le sol et hésite à obéir. Dès lors, les vibrations s'immiscent dans ton bas ventre. Tous ces orgasmes ont développés une hypersensibilité et rapidement le plaisir inonde ton entrejambe. Tu te dirige vers la cagoule, péniblement, dans tes gémissements et y glisse la tête. Aussitôt les vibrations s'arrête. La porte s'ouvre et quelques instants plus tard, tu sens mes mains autour de ton cou, attachant la cagoule à ton collier avec un cadenas dont tu reconnaît le cliquetis métallique lorsqu'il se referme. Seule ta bouche émerge de l'épais morceau de tissu. Dès lors des bruits semblables à ceux provenant de meubles que l'on déplace envahissent la pièce. Tu imagine qu'il s'agit là des objets restant cachés sous les draps... Tu reste immobile, craintive et à l'affût de tout ce qui se passe. Puis la chaîne glisse sur le sol avant de te tirer sur ton collier. Tu te lève et te laisse diriger.
"Stop, tiens-toi droite."
Tu t'immobilise et sens la culotte en latex glisser le long de tes jambes. Mes mains espace tes pieds puis une barre métallique glacée entre en contact avec tes chevilles puis une corde vient nouer le tout. Puis tu es basculée en avant, jusqu'à ce que ton cou entre en contact avec un morceau de cuir rembourré. Puis tes poignet se retrouvent également déposés sur deux cavités. De lourdes menottes métalliques viennent se greffer à tes poignets, avant que tu ne sente ta nuque devenir prisonnière de cet objet que se referme sur toi, séquestrant tes avant-bras et ta tête. Une corde vient ensuite s'enrouler lentement autour de ta taille avant que tu ne te sente soulevée par cette même corde. Elle te hisse si fermement que tes talons sont décollés du sol. La cagoule se retire et tu constate avec effroi la situation dans laquelle tu te retrouve une nouvelle fois. Juste devant toi, se trouve une longue table sur laquelle un écran est déposé. Tu t'y vois sous tous les angles! Toutes les caméras sont affichées ainsi que deux autres plus proches de ton visage et de tes fesses. Tu es exhibée dans les moindre détails. Tu es une nouvelle fois totalement à la merci de quiconque souhaitant abuser de toi. Tes jambes maintenues écartées et tes fesses relevées ne permettront aucune résistance, le tout immortalisé par ces caméras.




Puis la cagoule replonge sur ton visage aussitôt. A peine le temps de te re familiariser avec l'obscurité que des pas se font entendre dans la cave. Tu perçois du bruit sur la table sans parvenir à en identifier la cause. Mais tes interrogations vont vite obtenir une réponse. Une main se pose sur ton crâne et projette ta tête vers le sol. Ton visage se retrouve calé entre deux cuisses et ta bouche pressée contre le vagin de ta tortionnaire. Ta bouche reste fermée. Tu n'as jamais goutté à une femme et tu refuse que ta première fois se passe ainsi.
"Punie-la." Dit-elle.
Un sifflement découpe l'air puis vient s'écraser sur tes fesses. La douleur est atroce et un hurlement s'expulse de ta bouche. Un second sifflement puis un troisième. Tu plonge ta bouche sur la chatte devant toi et commence à la lécher avidement pour stopper la punition.
"Elle a compris, tu peux arrêter. Pour le moment du moins." Murmure t'elle en pressant encore plus ton visage entre ses cuisses. Ta langue découvre et goutte cette anatomie qui lui était jusque là méconnue. Pendant plusieurs minutes ta bouche est ainsi exploitée avant qu'elle ne jouisse en plaquant ta bouche fermement contre son vagin pour que tu en récolte toute sa jouissance. Lorsqu'elle se retire, son goût est encore présent dans ta bouche. Ton repos ne dure que quelques secondes jusqu'à ce que ton visage entre à nouveau en contact avec sa chair. Mais cette fois si, elle s'est retournée et plaque ton visage entre ses fesses pour te faire lécher son anus. Tu ne refuse que brièvement, les fesses encore endolories par la punition précédente. Ta langue se faufile, hésitante, entre ses fesses jusqu'à venir caresser son anus. Elle écrase régulièrement ton visage entre ses fesses pour t'inciter à y mettre plus d'entrain. Tu plonge ta langue dans ce petit trou en écoutant les gémissements de ta tortionnaire du moment. Sans prévenir. une bite s’engouffre dans ta chatte trempée. Quelques minutes s'écoulent et tu es littéralement liquéfiée par la situation. La fille jouit une nouvelle fois, plaquant ton visage au plus profond de ces fesses avant de se retirer. Elle est rapidement remplacée par un homme enfournant sa queue dans ta bouche. Les vas-et-vient dans ta chatte s'intensifient et s'accélèrent. Un nouvel orgasme t'échappe. Tes gémissements sont étouffés par le membre dans ta bouche. Chaque orgasme sensibilise encore un peu plus ton corps qui s'enflamme désormais pour un rien. La queue quitte ta chatte et plonge dans ton cul. La pénétration est relativement moins douloureuse. Le plug que tu as porté durant toutes ses heures y est surement pour beaucoup. Et quelle ne fut pas ta surprise d'avoir un orgasme en te faisant prendre ainsi, plus fort, plus intense que les autres... Ma queue quitte ton cul et vient prendre la place de celle présente à ta bouche. Cette dernière vient s'enfoncer dans ton anus encore ouvert... Je force le passage et insère l'entier de ma bite dans ta bouche. La sensation de ta gorge autour de ma queue me fait rapidement jouir. Tu sens le liquide chaud couler dans ta gorge avant que ma queue ne ressorte... 
"A votre tour" m'entends-tu crier.
Plusieurs voix d'hommes se font entendre approchant lentement de toi. Tu seras ainsi prise par  tous ces hommes (tu en as compter 5 en plus) de tous les côtés, sans ménagement, pendant plus de deux heures. Les premiers revenant régulièrement à charge... Tes orgasmes s succédèrent. Epuisée et à bout de force, tu manque plusieurs fois de perdre connaissance, mais rien n'arrêtera les hommes qui continueront de te baiser encore et encore par tous les trous malgré toutes tes supplications... Lorsque cet interminable calvaire s'achève enfin tes jambes tremblantes peinent à porter ton poids et tu réalise que si tu n'étais pas accrochée au plafond par les hanches, il y a de fortes chances pour que tu t'écroule. Lorsque qu'une paille vient se poser à tes lèvres, tu en aspire prudemment une gorgée avant de boire toute l'eau donnée. Tu mourrais de soif... Mais quelques secondes plus tard, ta tête se met à tourner et puis tu sombre dans l'inconscience.
Tu ouvre les yeux et reprends péniblement conscience. Tu regarde autour de toi et reconnaît ton appartement. Tu es allongée sur ton sofa, habillée et libre. Tu penses alors à un mauvais rêves, mais les marques de cravaches sur tes fesses et ton anus douloureux de tant de maltraitance te font rapidement comprendre que tout cela a bien eu lieu. Tu regarde sur ton portable et réalise horrifiée que nous sommes samedi soir et que tu as passé près de deux jours en captivité.
De nombreux DVD relatant l'ensemble de ta captivité trônent sur la table basse du salon. 
Tu regarde ton portable et y lit le texto de ton petit copain t'invitant à sortir souper. Tu accepte, affamée. Une douche plus tard, tu le rejoins comme si de rien n'était.
A la fin du repas, tu remarque que les personnes assises à une table en face de toi te regardent avec insistance. Lorsque ton copain s'absente pour payer, la femme présente à la table voisine se lève et vient déposer une carte de visite devant toi.


Tu saisie la carte et regarde chacun des membres du groupes quitter le restaurant un à un tout en t'adressant un signe de la tête en passant. Tu comprends qu'il s'agit là de tous tes ravisseurs et personnes ayant abusées de toi. Tu glisse la carte dans ton sac à main et quitte le restaurant dans les bras de ton chéri des images plein la tête...

mercredi 10 avril 2013

[Fiction] Besoin de changer d'air


Voilà maintenant près de 10 jours que tu as décidé de franchir le pas. Après plusieurs discussions sur le web, nous avons finalement fixé les différentes conditions de ton viol simulé. Tu as retourné un « contrat » afin d’affirmer que l’événement en question sera effectué avec ton consentement et tu m’as également transmis toutes les informations que je souhaitais. Tes coordonnées, tes horaires, tes habitudes, ton adresse, etc…
Malheureusement tu ne sais pas à quel moment le viol aura lieu, ni où. Voilà donc maintenant une dizaine de jours que tu sursaute au moindre bruit, que lorsqu’un homme te dévisage, tu te demandes si c’est moi et que le moment est donc venu, car oui, tu ne sais pas de quoi j’ai l’air. Le seul indice en ta possession est une photo de moi torse nu avec le visage flouté. Rien de rassurant et cette angoisse permanente mélangée à l’excitation provoquée instantanément à l’idée que l’heure était venue commence à te peser et t’occupe presque entièrement l’esprit. C’est donc avec la ferme intention de te vider la tête que tu te décides à aller faire un petit jogging dans le bois en bordure de ville.
Cet endroit t’apaise, c’est en quelque sorte ton petit sanctuaire. Le samedi matin, cette partie du bois est extrêmement peu fréquentée et c’est avec plaisir que tu t’y rends lorsque la semaine a été plus éprouvante qu’à l’accoutumé. C’est exactement ce dont tu as besoin aujourd’hui. Tu gares ta voiture à l’entrée de la forêt, constatant que tu y es la seule présente, enfile tes chaussures de courses et procède à quelques petits échauffements avant de retirer ton survêtement.
Tu portes ta tenue de course habituelle, short jaune court et moulant et un petit top rose moulant également. L’air frais du matin mordille ta peau et t’encourage à débuter ta course rapidement pour te réchauffer au plus vite.
Le sol qui défile sous tes enjambés et l’air glacé entrant dans tes poumons à chaque inspiration s’avèrent libérateurs. Les mètres puis bientôt les kilomètres filent à toute allure. Après plus d’une trentaine de minutes, tu entends des cris un peu plus loin sur le sentier. Tu aperçois finalement un homme criant au bord du chemin. A voir la laisse qu’il tient dans sa main droite, il est certainement à la recherche de son chien. Tu ralentis jusqu’à lui pour lui demander si tout va bien, profitant par la même occasion de ce prétexte pour reprendre quelque peu ton souffle. L’homme te regarde, paniqué, demandant si tu as aperçu son chien en venant. Tu réponds par la négative tout en observant les alentours à la recherche de l’animal. Il t’explique que son chien s’est enfuit et qu’à cause de sa jambe il n’arrive pas à grimper le talus. Tu observes discrètement et vois une béquille dans sa main gauche.
« J’ai marché jusqu’ici, mais je n’arrive pas à grimper. Il me semble que j’entends quelque chose… »
Tu lui propose donc de grimper sur le talus pour jeter un rapide coup d’œil à tout hasard. L’homme te remercie chaleureusement et se déplace en boitant pour te laisser passer. Tu commences à grimper la cote et une fois en haut tente de repérer le chien. Soudain tu entends un clappement en contrebas. Tu t’enfonces un peu dans la forêt en direction du bruit. Le bruit semble provenir de derrière un groupement d’arbuste. Les râles de l’animal semblent indiquer que ce dernier est blessé. Tu écartes délicatement les branches pour ne pas effrayer la pauvre bête. Tu découvres alors un magnétophone. Avant d’avoir réalisé, une main surgit derrière toi et plonge sur ta bouche pendant qu’une seconde t’agrippe autour du buste, maintenant tes bras collés à ton corps. Tout est allé si vite que tu n’as pas eu le temps de réagir.
Tu te retrouves plaquée au sol. Le contact avec les feuilles encore glacées par la rosée matinale te donne l’impression de recevoir des décharges dans le corps. Tu tentes de te débattre, mais tu es maintenue au sol. Tu sens rapidement une corde s’enrouler autour de tes poignets et le comprimer fermement. Tu cherches à te délier, mais trop tard. Tu te tortille dans tous les sens pour essayer de te défaire de cette emprise. Tes gémissements étouffés par ma main se stoppent immédiatement lorsque tu aperçois la lame d’un couteau s’approcher de ton visage.
 « Chut, sinon… »
Tu t’arrêtes instantanément, tétanisée par la peur. Cette fois plus aucun doute possible, tu comprends que l’heure est venue. C’est donc moi…
Mes mains te redressent sur tes pieds. Rapidement, ton petit top se retrouve à tes poignets, libérant du même coup ta poitrine. Pour des raisons de confort, tu ne portes jamais de sous-vêtements lorsque tu vas faire du sport. Le froid mélangé à l’excitation durcit immédiatement tes tétons. Puis je glisse lentement ton short le long de tes cuisses, dévoilant peu à peu ta petite chatte entièrement nue. Tu serres les cuisses, gênée, mais en vain et rapidement tu te retrouves entièrement nue, les mains attachées dans le dos. Tu te retournes, cherchant à me cacher ton intimité mais je te plaque aussitôt face à un arbre. L’écorce griffe ta chair. Tu sens alors une seconde corde glisser autour de tes chevilles les liant une à une à chacune des extrémités de la béquille te maintenant de ce fait les jambes grandement écartées.
A peine le temps de te plaindre que te voilà lancer au sol, sur tes genoux. Relevant la tête pour me regarder, tu me vois approchant de ton visage tout en sortant ma queue de mon jean’s. Tu pince les lèvres sachant à quoi t’attendre.
« Ouvre ! »
Tu détourne la tête tout en pinçant encore plus tes lèvres en signe de refus.
Je prends alors une branche posée sur le sol derrière toi. Ne voyant pas ce qui se passe, tu entends uniquement la branche fendre l’air une première fois puis une seconde avant de venir s’écraser sur tes fesses. Un hurlement s’échappe de ta bouche. La branche et les épines de sapin s’y trouvant fait une punition redoutable. Une autre punition et une troisième eu raison de ton refus.
« Stop !!! C’est bon, je vais le faire, mais pitié arrêtez. »
J’observe satisfait tes fesses rougies par les coups avant de venir présenter ma queue devant ta bouche qui l’y enfourne aussitôt avec obéissance.
« Applique toi, si je ne suis pas satisfait tu seras encore punis ! »
Tu suce encore plus fortement, à genoux sur le sol, nue et les mains attachées dans le dos. Ma queue glisse sur ta langue pendant que ma main dirige ta tête. La salive commence à s’écouler de ta bouche, inondant ma bite de plus en plus. Tu subis complètement et le rythme ne te laisse même pas avaler ta salive correctement. De long jet de salive coulent le long de ton menton avant de tomber sur ta poitrine. Je ressors ma queue trempée puis dirige ta bouche vers mes couilles elles aussi trempées. Ma bite s’écrase sur ton visage, le souillant de ta salive. Après quelques minutes je me mets derrière toi, colle un scotch sur ta bouche pour t’empêcher de crier puis je te pousse en avant. Ta joue vient se coller au sol humide et froid pendant que mes mains remontent tes hanches. Mes doigts explorent ta feinte. Tes gémissements étouffés par le ruban adhésif n’ont aucun effet et n’empêchent pas mes doigts de plonger au fond de ta chatte. Je les ressors trempés ! Satisfait, j’y enfonce ma queue d’un violent coup t’arrachant par la même occasion un énorme gémissement. Les jambes toujours écartées par la béquille, tu ne peux rien faire. Tes mains attachées tentent de me repousser, mais en vain. Tu te fais prendre sans rien pouvoir y faire. Les coups sont rapides et violents. J’écarte tes fesses avec mes mains, ouvrant ton petit trou. Ton petit mouvement du bassin en signe de protestation n’a pas grâce à mes yeux et j’ouvre encore plus fortement ton cul tout en observant ta mouille s’écouler de ta chatte complétement inondée. Chaque coup t’arrache un râle  étouffé par le scotch.
Je ressors enfin ma queue, trempée, souillée de ton plaisir inavouable, t’observant fermer les yeux soulagée, pensant le supplice terminé. Jusqu’à ce que tu sentes ma queue se placer entre tes fesses et venir presser contre ton petit trou. Tu soulèves la tête immédiatement en répétant une série de «non ! » que je parviens à comprendre malgré le bâillon. Tes mains tentent de retirer ma queue de cet endroit, mais sans succès et tu sens ma queue forcer le passage et commencer à plonger au fond de ton cul, centimètre par centimètre. Tu fermes les yeux, mais ne parviens pas à retenir les cris de douleurs. En quelques secondes, ma bite est entièrement enfoncée. Commence alors une série de vas et vient interminables. Après plusieurs minutes, tu sens encore le rythme s’accélérer et la situation accompagnée de l’humiliation qu’elle te procure finit par t’arracher de plus en plus de plaisir. Tu finis par avoir un violent orgasme incontrôlable tout en te faisant sodomiser. Sans t’accorder le moindre répit, j’accélère le rythme et la force de mes coups de reins. Après quelques minutes supplémentaires, tu es à bout de force et c’est avec un soulagement inimaginable que tu sens enfon ma queue ressortir de ton cul, le laissant dilaté par le traitement infligé durant tout ce temps. A peine quelques secondes plus tard et tu sens de long jets de sperme s’écraser sur ton cul et entre tes fesses.
Tu t’écroules au sol, exténuée, sentant les liens autours de tes poignets et chevilles se défaire te libérant enfin. Je remets ton short en place en prenant bien soin de ne pas te laisser le temps de nettoyer le sperme sur ton cul. Tu réalises trop tard et comprends que tu vas devoir rentrer ainsi, avec ton cul souillé. A ma demande tu restes ainsi sans bouger durant quelques secondes avant de pouvoir libérer ta bouche et remettre ton top. Lorsque tu te relèves, tu constates que je ne suis plus là. Les jambes tremblantes, tu regagnes péniblement ta voiture avec un sentiment de satisfaction. Tu rentres chez toi en prenant soin d’attacher ton pull de survêtement autour de ta taille pour cacher les traces de souillures marquées sur ton short.
Depuis ce jour, tu m’envoie régulièrement ton planning des jours à venir avec l’espoir, parfois sans succès, que tu seras à nouveau victime d’une telle maltraitance et ce sans savoir quand, où ni comment...
Mais depuis ce jour, une chose est sûre, tu ne vois plus ton « sanctuaire » du samedi de la même façon.

dimanche 10 mars 2013

[Fiction] Une journée déroutante


Encore une journée comme les autres au bureau. Voilà quelques minutes que tu laisses ton esprit errer en imaginant ton week-end qui approche lentement. Tu regardes l’horloge, effarée de constater qu’il est à peine plus de 10h30. Décidément cette journée n’en finira jamais.

Le facteur entre et dépose à ton intention un petit colis sur ton bureau. Tu ne reçois que très peu de colis au bureau. Tu l'ouvres machinalement, et plonge la main à l’intérieur pour en sortir le contenu. Ta main saisit un premier objet que tu extraits de la boîte. Un rasoir… Tu remarques également une bombe de mousse à raser dans la boîte. Surprise, tu restes quelques secondes à fixer le fond du carton, le rasoir dans ta main, la bouche entrouverte. Puis tu prends conscience de la situation et tu replonge immédiatement le rasoir dans l’emballage tout en regardant, gênée, si l’une de tes collègues t’a vu. Apparemment pas. Tu déplie le papier glissé dans le carton et y lis les mots suivants :
« Ma chère, ce soir nous allons passer une soirée à tes dépens. Mais pour cela, il faut te préparer. Prends le carton et son contenu et va immédiatement te raser intégralement. Lorsque ce sera fait, envoie-moi une photo. FenX » 
Ce message te laisse sans voix, voilà plusieurs jours que nous ne nous étions pas contactés et voilà ce colis qui arrive et annonce une soirée agitée. Mais plus étonnant encore ; ma requête. Le lieu ne s’y prête pas vraiment, les WC ne sont pas l’endroit le plus optimal pour faire cela. Mais d’un autre côté, ça rend ce vendredi ennuyeux beaucoup plus intéressant. Tu prends le carton et te dirige vers les toilettes l’air de rien. Tu entres dans les WC réservés aux handicapés, ils sont plus spacieux et surtout plus calmes. Tu retires ta jupe puis ton string et t’installes tant bien que mal. Tu étale la mousse sur ta toison et commence à faire glisser la lame du rasoir entre tes cuisses, lentement, appliquée. Tu rase le moindre poil présent, ta jolie toison n’est rapidement plus qu’un souvenir. Après avoir rincé l’excédent de mousse, tu te redresse face au miroir et y observe ton pubis entièrement rasé d’un œil satisfait. Tu t’empresses de prendre une photo et de me l’envoyer comme demandé puis de t’habiller et de ranger le tout dans le carton avant de rejoindre ta place de travail comme si de rien n’était. A peine assise tu reçois un SMS en réponse à ta photo.
« Rends-toi à nouveau aux WC des femmes, 2ème cabine, laisses-y ton string sur la chasse d’eau et retourne à ton bureau. Reste dans cette tenue jusqu'après le repas de midi !». 
Personne dans le bureau ne te voit te lever à nouveau. Tu entres dans les WC, pénètre dans la 2ème cabine et retire ton string. Tu grimpe sur la cuvette pour le déposer sur la chasse d’eau comme demandé avant de retourner à ta place de travail. Tu me retourne le SMS
« Voilà Monsieur, c’est fait ». 
Je te réponds simplement
« Très bien, à ce soir et bonne journée. ». 
Tu ne peux t’empêcher d’être gênée par ta tenue, tu sers les cuisses toute la journée, convaincue que tout le monde sait ce que tu caches sous ta jupe. Après dîner, tu retournes, soulagée, aux WC pour y récupérer ton string afin de le remettre. Dressée de tout ton long sur la cuvette des toilettes, ta main parcours aveuglément le dessus de la chasse d'eau. Plus rien!!! Tu constates avec stupeur qu’il n’y est plus ! Quelqu’un l’a pris. Est-ce moi ? Une collègue ? L’après-midi ne sera qu’un long supplice de honte et de gêne.

Durant l'après-midi, l'un des apprentis de ton entreprise entre dans le bureau et commence à vider les différentes corbeilles à papier disposées un peu partout. Ce travail ingrat est réservé aux apprentis depuis des années... Absorbée par ton travail, tu reviens soudainement sur terre lorsque ton regard, errant dans le vide à la recherche d'une idée, croise le visage écarlate du jeune homme accroupit à côté du bureau en face de toi, un sac poubelle dans la main. Tu réalise alors que tes jambes sont décroisées et que du coup, tu comprends immédiatement la raison de sa gêne ainsi que la cause de son érection se dessinant sous son jean... Tu croise instantanément tes jambes, morte de honte, tentant de dissimuler ce sentiment. Tu sens tes joues rougirent et ton coeur battre de plus en plus fort. Tu n'ose imaginer ce qu'il doit penser de toi. Tu occuperas le reste de l'après-midi à tant bien que mal en attendant désespérément la relaxe.

Lorsque l’horloge indique 16h55, tu te réjouis à l’idée que ta souffrance est bientôt terminée. C’est à ce moment que parviens un nouveau SMS :

« Hôtel habituel, chambre 31, 17h30. FenX ». 

30 minutes pour s’y rendre ?! Il ne faudra vraiment pas traîner en chemin. A peine l’horloge indique 17h00 que tu te lèves et t’empresse de partir en direction de l’hôtel. Dans le bus, tu es particulièrement mal à l’aise, ta jupe n’est pas aussi longue que ce que tu souhaiterais en de pareilles circonstances. Tu sens l’air frais s’engouffrer entre tes cuisses, ce qui te rend écarlate. Enfin l’hôtel est à vue, tu regardes ta montre, 17h28 ! A peine les portes ouvertes, que tu bondis hors du bus, et fonce en direction de l’hôtel. Tu salues vaguement le réceptionniste, récupère la clef de la chambre et te hâte vers l’ascenseur. Te voilà enfin devant la chambre, 17h36 ! Ça va barder penses-tu. Tu entres dans la chambre. Je ne suis pas encore là, ouf te dis-tu. C’est alors que tu remarques le carton sur le lit avec un mot :
« Tu es en retard ! Attends-moi dans la position d’attente habituelle, nue sur le sol, face à la porte. Tu as 10 minutes. N’ouvre pas le carton ». 
Tu te déshabille aussitôt, puis tu te diriges vers le centre de la chambre selon mes indications et t’installe dans ta position d’attente, nue. A genou, genoux écartés, les mains dans le dos, la tête baissée. Tu te souviens l’apprentissage de cette position, tu étais resté ainsi pendant près de trois heures un soir, à chaque fois que je le souhaitais, je présentais mon sexe bien raide devant ta bouche et t’ordonnais de me sucer dans cette position. Tu avais passé ta soirée à sucer. Ces soirées se répétaient régulièrement, avec toujours ce même traitement. Depuis, cette position ne te gène plus. Les souvenirs de ces soirées et de la journée en cours te provoque une douce vague de chaleur. Immobile, tu essaie d’imaginer le contenu de la boîte sur le lit, lorsque la porte s’ouvre lentement. J’apparais dans l’encadrement de la porte et y reste quelques secondes, admirant ta dévotion laissant la porte ouverte. Les yeux baissés, tu ne vois que le bas de l’entrée et prie pour que personne ne passe dans le couloir à cet instant. Je finis par entrer en fermant la porte.

- « Bonjour»

- « Bonjour Monsieur »

- « Alors tu as aimé mon colis ? »

- « Oui Monsieur, merci. »

- « J’ai trouvé ça, je crois que ça t’appartient. » te dis-je en balançant ta culotte devant ton visage.

- « Oui Monsieur » dis-tu en rougissant, comprenant que j'étais venu la récupérer sur ton lieu de travail.

Je m’agenouille à côté de toi et glisse une main entre tes cuisses en insistant sur ton clito. J’agite ma main rapidement et j’écoute tes gémissements m’indiquant que le traitement en question n’est pas pour te déplaire.

- « Ta chatte est bien plus jolie rasée ainsi »

- « Heureuse qu’elle vous plaise Monsieur » me réponds-tu en gémissant

J’arrête brutalement de te caresser et me redresse devant toi, déboutonne mon pantalon et présente ma queue bien raide devant ta bouche qui s’entrouvre aussitôt. Je l’y engouffre rapidement et tu commences à la sucer avec application, toujours à genou sur le sol. Tout en faisant de long va-et-vient dans ta bouche, je te dis alors :

- « Tu étais en retard ce soir ! Ce ne sera pas sans conséquence. »

Cette remarque t’inquiète. Tu sens ma queue gonfler encore plus. Elle glisse encore de longues minutes entre tes lèvres, puis, au moment de jouir, je la ressors et me masturbe face à toi. De longs jets jaillissent sur ta poitrine avant que ma queue ne replonge dans ta bouche. Tu avales les dernières gouttes pour la nettoyer, habituée à un tel traitement.

- « Bien, maintenant passons à ta punition ». Lèves-toi et va ouvrir le carton sur lit. »

Tu t’exécutes et tu te diriges vers la boîte, nue, les seins souillés. Tu l’ouvre et y découvre des vêtements. Un petit top, une mini-jupe, des bas et des talons.

- « Vas te laver, puis habille toi ! »

Tu constates qu’il n’y a aucun sous-vêtement. Tu te diriges donc vers la salle-de-bains et t’exécute. Une fois habillée, tu ressors pour te présenter à moi. Sans sous-vêtement, tu te sens horriblement exhibée dans cette tenue. La mini-jupe remonte au moindre mouvement, risquant à tout moment de dévoiler ta chatte nue et lisse . Quant à tes tétons, ils s’exhibent clairement au travers du top. J’observe le spectacle en me régalant.

- « Maintenant mets-toi à genoux, fesses en l’air et visage contre le sol »

Tu sens ma langue se balader sur tes fesses, entre tes cuisses et glisser lentement vers ton petit trou. Tu frissonnes à ces caresses sans pour autant oser bouger. Je prends alors le carton sur le lit et en fouillant à l'intérieur en sors un petit plug que tu n'avais pas remarqué.

- « La prochaine fois tu seras à l’heure. »

- « Oui Monsieur, je vous le promets.»

Je dépose une grosse gorgée de salive entre tes fesses et dirige le tout à l’aide du plug en direction de ton cul. Une fois sur ton petit trou, je commence à y enfoncer lentement le plug. Tes soupirs de douleurs ne m’empêchent pas de continuer lentement. Au moment où il entre complètement en toi, tu lâche un petit cri. Je prends alors une corde et la passe autour de ta taille puis entre les lèvres de ta chatte avant de remonter entre tes fesses, te fabrique ainsi un string qui maintient le plug en place.

- « Bien, lève-toi maintenant »

Tu obéis et te tiens droite devant moi. Le plug comme incrusté dans ta chair.

- « Très bien, maintenant allons boire quelque chose »

Tu me regarde, le regard suppliant.

- « Monsieur, je… »

- « Stop ! La prochaine fois tu seras à l’heure » te dis-je aussitôt.

- « Très bien Monsieur »

Tu me suis, le visage terrorisé. Chaque pas engendre de violents spasmes dans ton bas ventre. La corde frottant sur ta chatte à chaque mouvement ne facilite pas les choses. Tu te vois au passage dans l’un des miroirs du hall de l’hôtel et comprends pourquoi les gens te dévisagent tous. Ta tenue est extrêmement provocante et ta poitrine pointe vulgairement au travers de ton petit top blanc moulant. Tu enfuis la tête dans tes épaules, morte de honte.

Nous traversons la rue et entrons dans un café à moitié plein. La quasi-totalité des personnes t’observent lorsque l’on entre. Nous nous dirigeons vers une table dans le fond. Tout en tirant ta chaise, je t’ordonne de t’y asseoir.

Le fait de t’asseoir enfonce le plug au plus profond de toi et tu ne peux retenir un petit soupir. Tu te rends alors compte que tu fais face à l’ensemble des clients du café. Tu sens que ta jupe arrive à peine à mi-cuisse et ne permet même pas de masquer le haut de tes bas.

- « Interdiction de croiser les jambes et conserve en permanence un espace de 20 cm au minimum entre tes genoux »

Tu m’observe, le regard suppliant, avant de capituler, le visage rouge écarlate de honte. Alors que nous buvons notre consommation, le plug au plus profond de ton cul et la corde glissant entre tes lèvres et écrasant ton clito commencent à faire  leur effet. Tu prends conscience de la situation, habillée de manière ultra provocante, sans sous-vêtements, un plug enfoncé dans l’anus, une simple corde qui commence à être imbiber entre tes cuisses en guise de seul dessous et ta petite chatte imberbe exposée aux yeux de tous. Tu remarques même les regards salaces de certains hommes présents accompagnés d’une bosse dans leur pantalon qui en dit long sur leurs intentions à ton égard. Une femme te regarde même en souriant.
Après une trentaine de minutes, tu entends enfin ces mots tant attendus sortir de ma bouche:
- « Très bien, allons-nous en maintenant »

Tu me regarde, soulagée, et me suis comme à ton habitude, les mains croisées sur ton bas ventre et la tête baissée. La corde est maintenant trempée et le plug qui remue dans ton cul au moindre mouvement commence à te faire lâcher prise. Nous nous dirigeons vers l’hôtel et arrivé au niveau de l’ascenseur, tu constates avec effroi que je décide de prendre les escaliers. Trois étages dans cet accoutrement et avec ces talons vertigineux ? Chaque marche accentue encore l’excitation et arrivé à mi-chemin tu ne peux plus masquer tes soupirs. Voyant cela, je soulève ta jupe, te plaque contre le mur et te caresse le clito en agitant la corde t’arrachant un orgasme violent que tu ne peux contenir en à peine deux minutes. Tes cris raisonnent dans la cage d’escalier. Immédiatement nous poursuivons notre ascension et l’intérieur de tes cuisses est littéralement inondé. Tes jambes tremblantes rendent les marches suivantes encore plus difficiles. Nous arrivons enfin dans la chambre. Je te retire la corde, trempé et observe ta chatte inondée.

- « Retire ta jupe et ton top et appuie toi face à la fenêtre, main contre la vitre et relève les fesses.»

- « Bien Monsieur »

Il ne te reste plus que les bas, les talons et le plug lorsque tu t’appuies contre la fenêtre. Elle donne face à un immeuble et tu comprends que les voyeurs d’en face n’en perdront pas une miette… Tu entends alors mes vêtements tomber sur le sol puis sens ma queue bien durcit se présenter à l’entrée de ta chatte et s’y engouffrer d’une traite. Chaque contact fait également bouger le plug toujours dans ton cul. Bientôt tu sens un second orgasme arriver et lorsque tu remarques l’homme dans l’immeuble d’en face qui se masturbe en t’observant, tu ne peux le retenir. Un long cri s’échappe. Essoufflée, le visage écrasé contre la vitre, tentant de reprendre tes esprits au milieu d'un nuage de buée, tu sens ma queue quitter ta chatte. Je retire le plug de ton cul. Tu te sens libérée, enfin. J’ouvre tes fesses pour observer ton anus, dilaté.

- « Je vois que tu as même rasé cette partie-là, c’est très bien »

- « Oui Monsieur »

Je pose mon gland à l’entrée de ton cul et commence à entrer lentement. Ma queue trempée par ta jouissance ne rencontre aucune difficulté à entrer dans ton cul. Tu n’as même pas opposé de résistance, sachant que la punition serait encore pire. Je commence de longs mouvements de va-et-vient et accélère progressivement. Tes cris de douleurs et de plaisirs doivent se faire entendre jusque dans plusieurs chambres aux alentours. Juste en face, une jeune femme te regarde, fumant nonchalamment sa cigarette sur son balcon, l'oeil lubrique. Après quelques longues minutes, je finis par jouir. Remplissant ton cul de mon plaisir. Ressortant ma queue, je t’ordonne de te retourner, de te pencher en avant, d’écarter tes fesses pour montrer ton petit trou aux voisins voyeurs. Une douche plus tard, nous nous autorisons un petit souper dans un restaurant non loin de là.
A la fin de la soirée, me demandant la permission de rentrer chez toi, je réponds d'un non ferme et en profite pour te glisser à l’oreille :

- « Ce n’est pas terminé, j’ai réservé la chambre jusqu’à demain… Je te réserve encore quelques surprises. »…

 Et c’est ainsi que ce vendredi qui s’annonçait banal le matin même prenait une nouvelle dimension…

mardi 12 février 2013

[Récit réel] Karine l'allumeuse...

Dimanche dernier, nous étions, Karine et moi, invités pour un repas de famille. Un samedi soir un peu arrosé rendit le réveil quelque peu difficile... Après la première sonnerie du réveil, nous profitions de quelques minutes de calme dans notre lit avant d’entamer cette journée. Toujours aussi câline, Karine, me tournant le dos, vient se blottir dans mes bras. Sentant une érection matinale à travers mon boxer, elle écrase ma queue entre ses fesses et fait de très petits mouvements, glissant subtilement ma queue entre ses fesses. Elle le fait de manière à presque paraître innocent, sans arrière pensée... Elle sait parfaitement que lorsqu'elle caresse ma bite entre ses fesses, je ne peux cacher mon excitation et elle ne se gène pas pour abuser de ce stratagème... Malheureusement, à peine quelques secondes plus tard le réveil sonnait à nouveau, nous sortant de ce jeu transcendant et annonçant du même coup que nous n'étions vraiment pas en avance...
Elle se lève faisant mine de rien et fonce se préparer. Je me lève quelques secondes plus tard, un peu frustré, ma queue dressée dans mon boxer pour me préparer également. Un petit café et il était déjà temps de partir.

La journée me parut interminable... Chaque fois que je regardais Karine, je ne pouvais m'empêcher de repenser à ce matin et du moment où nous serions enfin seuls. Lors d'un de mes message précédent, je vous avais confié que je ne parvenais pas facilement à éprouver un désir purement sexuel pour Karine, mais je peux vous garantir que dimanche, ce désir était bien là...

Après le repas, une petite balade dominicale et digestive s'imposait... Malheureusement en famille... Impossible de s’éclipser. De plus, voilà que l'on croise une amie commune avec laquelle j'entretiens une relation assez nébuleuse, mais je vous en reparlerai lors d'un prochain post. Appelons la simplement Lynda. Elle était accompagnée de son chéri, mais comme toujours nous avons échangés quelques regards complices et quelques sourires pleins de sous-entendus... Lynda m'excite particulièrement et cette rencontre n'a pas arrangé mes soucis.

La fin de journée approchant finalement, nous rentrons enfin chez nous. Karine va se changer pendant que je prends une douche. Une fois la douche terminée, je rentre dans la chambre, nu et encore humide, et me dirige vers Karine qui à la vu de ma queue dressée comprend immédiatement mes intentions. Je la déshabille rapidement et commence à l'embrasser un peu partout tout en la caressant. Puis je dirige mes mains vers ses fesses que je m'empresse d'écarter. Elle adore ça, sentir son cul s'ouvrir. Quant à moi, je raffole de ça, j'adore jouer avec son cul et le fait de la voir tout excitée par ce traitement m'excite encore plus.
Je me couche sur le dos et l'assied sur ma queue. Elle est déjà trempée et pendant qu'elle commence à monter et descendre sur ma bite, je continue à lui ouvrir le cul. Enfin je lui murmure qu'elle n'aurait pas du m'allumer ce matin là et qu'elle va devoir en subir les conséquences. Elle joue l'innocence, l'air satisfait de son stratagème matinal. Je glisse alors un doigts entre ses fesses et le plonge dans son cul... Ce traitement m'excite encore plus et ma queue gonfle encore dans sa chatte ce qui continue de l'exciter. J'enfonce mon doigt le plus profond possible et accélère mes coups de queue... Elle gémit de plus en plus fort et vite...
Après quelques minutes, la sentant proche de l'orgasme, je me retire et enlève mon doigts. Cette interruption au plus mauvais moment la frustre.. Je la retourne et la met à quatre pattes.
Ma queue replonge dans sa chatte et instinctivement, elle remonte son cul, sachant que je n'en ai pas terminé avec. J'y mets aussitôt un doigts au plus profond. Chaque coup de queue enfonce mon doigts. Je lui fais comprendre que je vais me servir d'elle pour mon seule plaisir sans me soucier du sien. Je l'observe commencer à se caresser en même temps que je la baise/doigte jusqu'à ce que quelques instants plus tard, elle jouisse. Sa chatte et son cul se resserrent. Cette sensation m'amène au plus près de l'orgasme. Je ressors ma queue de sa chatte et mon doigt de son cul avant de commencer à me branler sur son cul. Elle le soulève encore plus en se cambrant au maximum, me montrant son cul dilaté. J'observe le spectacle en me branlant pendant que passant sa main entre ses cuisses, elle me malaxe les couilles les tapotant légèrement de temps à autre. Il ne faut que quelques secondes de ce traitement pour me faire jouir. De long jets de sperme jaillissent sur son cul.

Elle me regarde par dessus son épaule, satisfaite du résultat de sa provocation du matin...

vendredi 1 février 2013

[Fiction] De gré ou de force


Tu marches tranquillement dans la rue en rentrant chez toi après ton travail. Vêtue d’une petite robe légère,indispensable par cette chaleur, tu laisse ton esprit vaciller à ton occupation de la soirée. Fatiguée, tu t’imagine déjà sous une longue douche rafraîchissante avant de t'allonger sur ton canapé, un bouquin à la main. Une douce brise glisse dans la rue, soulageant les passants étouffés par la chaleur. Toujours perdue dans tes pensées, tu ne t’aperçois pas, quelques mètres derrière toi une ombre t’observe, admirant tes longues jambes, perchées sur tes talons, qui se faufilent à travers la foule.
Arrivée chez toi, tu retire tes chaussures et tout en te dirigeant vers la salle de bains, tu laisse délicatement glisser ta robe le long de ton corps, le tissu caresse ta peau brûlante. Les premières gouttes d’eau s'écoulant sur ta peau sont un réel plaisir. Tu savoure cette douche pendant de longues et délicieuses minutes, tes mains glissent sur ton corps, mêlant savon et eau.
Une fois la douche terminée, enroulée dans une serviette, tu te dirige vers ta chambre à coucher afin de t'habiller. Un détour par la cuisine et un regard dans ton réfrigérateur vide te fais cruellement remarquer que tu as omis d'acheter quoi que ce soit pour le repas.
Dépitée, tu te résous à ressortir. Tu enfile finalement un string blanc et une petite robe d’été légèrement. Tant pis pour le soutien-gorge te dis-tu, tu n’en a que pour quelques minutes, le temps de descendre au petit magasin au bas de la rue. Tu enfile une paire de tong et te voilà partie, les cheveux humide et ta peau encore fraîche. Le vent s'engouffrant sous ta jupe et glissant sur tes cuisses te donne des frissons. Les gouttes d'eau coulent de tes cheveux jusque sur tes reins. Ta petite jupe se colle à ta peau et tu imagine, mal à l'aise, que mouillée, ta jupe doit laisser paraître ton string... Tu te hâte de faire tes courses et le sourire pervers de l'épicier, te confirme tes craintes quant à ta jupe.
Les courses enfin terminées, tu te dirige vers ton appartement.Rassurée à l’idée de pouvoir enfin te relaxer et retirer cette maudite jupe. Quelques sifflets d'homme renforce encore plus ta gêne et c'est rouge de honte que tu t'engouffre dans ton immeuble. Enjambant les marches par pair, tu te presse de rejoindre ton étage. Tu avance sur le palier pour fouiller dans ton sac à la recherche de tes clefs. Tu t’arrête devant ta porte puis insère la clef dans la serrure. La porte entrouverte, tu remets tes clefs dans ton sac à main et ouvre la porte.
A cet instant, tu te sens saisie par la taille alors qu’une main vient se poser sur ta bouche étouffant ton cri de surprise puis tes appels à l’aide. Tu cherches à te débattre, mais en une fraction de seconde, te voilà emmenée dans ton appartement, toujours maintenue fermement. La porte claque derrière toi. La main autour de ta taille disparaissant, tu tente de te débattre un peu, jusqu’à ce qu’elle remonte devant ton visage, armée d’un pistolet.
Terrorisée par cette vision, tu réfrène instantanément tes tentatives de fuite et sentant un souffle chaud sur ta nuque, tu entends uniquement ces quelques mots à ton oreille: “Tais-toi et il n’y aura pas de problème. Tente quelque chose et ça va mal se terminer pour toi”.
Quelques secondes s’écoulèrent avant d’entendre: “Je vais retirer ma main et tu vas être bien sage, compris?!”. D’un mouvement de tête, les yeux fixés sur l’arme, tu acquiesce. La main se retire lentement te laissant prendre une grande bouffée d’air. Les idées se bousculent dans ta tête. La peur te paralyse, tu as l'impression que tes jambes ne supportent plus ton poids. Toujours maintenue à la taille, tu tente de dire calmement, des sanglots dans la voix:”Qu’est ce que vous me voulez? De l’argent?” en te retournant légèrement pour voir le visage de ton agresseur. “Non!” dis-je. A ce moment, je te plaque fermement face au mur et d'une main t'attrape à la gorge. Tu sens le contact glacé du revolver glisser derrière ta cuisse et remonter doucement vers tes fesses. Un sursaut instinctif de refus est immédiatement sanctionné par ma main qui sert ta gorge. L'air te manque aussitôt, tes yeux s'écarquillent et ta bouche s'ouvre à la recherche d'air. "Tiens-toi tranquille!" te dis-je. Tu t'arrête de bouger en attendant que ma main laisse à nouveau arriver de l'air à tes poumons. Après quelques secondes qui te semble durer une éternité, ma main relâche la pression sur ton cou te permettant d'inspirer une grande bouffé. Le revolver recommence son ascension et tu refoule tes instincts de défense. Le canon remonte lentement ta jupe dévoilant tes fesses vêtues de ce seul petit string. Tu étouffe tes sanglots tout en me sentant venir me coller contre toi. Plaquée contre le mur, tu sens mon sexe durcit par l’excitation, s’écraser entre tes fesses.
Puis je te glisse à l’oreille: “Je suis certain que maintenant tu comprends ce que je veux.” Dis-je en caressant ta joue avec le canon de l’arme, “Et tu vas être bien sage”. Un sanglot s’échappa de ta bouche, mais le canon du revolver continuant de glisser sur ton visage et ma main autour de ta gorge exerçant une brève pression, te fit immédiatement taire. Une fine l’arme s’écoule le long de ta joue alors que le canon de l'arme flirt avec tes lèvres. Ma bouche se baladait le long de ton cou et de ta nuque. Je te saisis par les cheveux pour te forcer à t’agenouiller devant moi. L’arme sur ta tempe, te me regarda, tes yeux pleins de larmes, déboutonner mon pantalons et libérer mon sexe durcit. Le revoler vient se poser sur ta bouche et se frayant un chemin entre tes lèvres te force à ouvrir la bouche. Le contact du canon sur ta langue te stresse et tu n'ose plus faire le moindre geste. Tu es soulagée lorsque le pistolet sort de ta bouche, mais le répit n'est que de courte durée. Ma queue s'engouffre violemment dans ta bouche. Le va et vient au plus profond de ta bouche et l'arme à nouveau sur ta tempe ne te laisse pas reprendre ton souffle ni contenir ta salive correctement. Rapidement, ma queue se retrouve trempée alors que des filet de salive coule sur le sol de ton hall d'entrée. Après plusieurs minutes, ma queue quitte enfin ta bouche entraînant avec elle un long filet de bave la reliant à tes lèvres. La mâchoire endolorie, ma main t'attrape par les cheveux et te dirige vers ta cuisine. Tu m'observe terrorisée, saisir un grand couteau de cuisine toujours en te maintenant par les cheveux. Je t'amène dans ton salon et t'agenouille sur ton sofa, me tournant le dos... Tu sens la lame du couteau glisser le long de tes épaules doucement, te faisant frissonner. Se glissant sous l'une des bretelles de ta robe, la coupant libérant ton épaule et dévoilant l'un de tes seins. Le couteau continu son chemin en direction de la seconde bretelle qu'il tranche immédiatement. A genou et penchée en avant contre le dossier, le tissu tombe et libère entièrement ta poitrine. Mes main finissent de déchirer ta robe et te voilà rapidement en string. La lame reprend son terrible parcours et descend le long de tes hanches et coupe l'élastique de ton string de chaque côté. Te voilà totalement nue au dessus de tes vêtements en lambeaux. Le couteau vient titiller le bout de tes tétons et tu ne peux empêcher ceux-ci de se dresser tout en sentant des frissons parcourir l'ensemble de ton corps. Puis tu entends le couteau glisser sur le sol en direction du fond de la pièce. Ma queue glissant sur tes fesses t'arrache de nouveaux sanglots et te pousse à me demander grâce en faisant un geste d'éloignement. Ma main vient immédiatement serrer ta gorge pendant que me penchant vers toi je te murmure "Je pensais que tu avais compris que plus tu te débattra et plus je serai cruel." Dès lors ma queue s'engouffre dans ta chatte. Forçant pour se frayer un passage. Relâchant la pression autour de ta gorge, je te demande si tu as compris. Ravalant tes sanglots et tout en sentant ma queue te pilonner, tu me répond que oui. Mes vas-et-viens continuent et mes doigts caressant fermement ton clito te forçant, bien malgré toi, à être de plus en plus trempée. Ces sensations te déstabilisent au plus haut point et après quelques minutes supplémentaires, tu ne peux t'empêcher de te faire arracher un orgasme. Je me penche vers toi et, tout en posant ma main autour de ta nuque, je t'ordonne d'ouvrir tes fesses avec tes mains pour me montrer ta chatte trempée. Résignée et les jambes encore tremblantes de ton orgasme tu t'exécute. Je sors ma queue pour admirer le spectacle. Après quoi je t'annonce: "Et ça c'est parce que tu n'as pas été assez sage avant.". Tu sens alors ma queue trempée venir se poser sur ton petit trou tout serré. Un "non, pitié!" sort malgré toi de ta bouche et tes mains relâchent tes fesses. Mes doigts tordant l'un de te tétons te ramènent à l'ordre immédiatement. Tu te cambre et écarte à nouveau tes fesses en attendant, mortifiée, le nouveau supplice qui t'attend. Ma queue s'enfonce lentement dans ton cul, t'arrachant des cris de douleurs. Bien que trempée de ta mouille, chaque centimètre t'arrache un nouveau râle accompagnés de sanglots. Tu ouvre encore plus ton cul pour essayer de soulager la douleur, mais rien à faire. Tu es soulagée de sentir mes couilles venir s'écraser contre ta chatte synonyme que toute ma bite est désormais dans ton petit trou. Commence alors de long va-et-vient qui sont insoutenables, tu essaie de te détendre pour diminuer la douleur, mais la situation t'en empêche. Je sors ma queue une première fois et te la présente devant la bouche en t'ordonnant de la sucer. Sans trop réfléchir tu l'enfourne dans ta bouche. En essayant de ne pas penser à l'endroit où elle se trouvait avant, tu la suce toute en gardant ton cul ouvert à ma demande. Consciente du fait que je vais la replonger dans ton petit trou, tu mouille abondamment ma queue dans l'espoir de rendre la douleur un peu plus supportable. Et avec crainte, tu regarde ma queue se diriger à nouveau vers ton cul et y plonger d'une seule traite! Un nouveau cris t'échappe les aller-retours sont de plus en plus rapides puis alternés entre ta chatte et ton cul. Ce supplice devient de plus en plus supportable et tu constate, bien malgré toi, que l'excitation monte à nouveau mais différemment qu'à l'habitude, beaucoup plus brutale, plus sauvage, et c'est à ta grande surprise qu'un nouvel orgasme s'écoule déjà entre tes cuisses accompagné des cris de plaisirs incontrôlés qui sortent de ta bouche. Chaque aller-retour supplémentaire te donne des frissonnements. Tu te sens honteuse d'avoir du plaisir de cette manière, prise des deux côtés, humiliée, souillée, violée! Ma queue se concentre à nouveau sur ton cul et le mouvement de plus en plus rapide gonfle encore plus ma queue. Tu sens le moindre millimètre en toi et le gonflement te laisse envisager la fin de ton calvaire. Je retire ma queue et t'ordonne de la sucer. Je t'agenouille parterre, puis tu la saisis et la suce goulûment tout en sentant ton cul grand ouvert et brûlant pendant que ta chatte continue de tremper ton entre-cuisse. Ma queue prête à explosée, je la sors et t'oblige à la branler devant ta poitrine. Quelques secondes à caresser mon sexe souillé et trempé suffisent à lui faire lâcher de long jets blancs qui viennent s'écraser sur tes seins. Puis quelques coups de langues forcés finissent de récolter le précieux liquide chaud.
A genoux sur le sol de ton salon, tu réalise à peine tout ce qui vient de se passer et c'est soulagée que tu me vois refermer mon pantalon. Je te souffle quelques derniers mots à l'oreille: "Ne te retourne pas avant que je sois sortis, sinon...". Tu acquiesce d'un mouvement de tête et tout en m'entendant me diriger vers la porte d'entrée, tu ferme les yeux pour ces ultimes secondes de souffrances. La porte s'ouvre et claque enfin. Enfin tu peux te relever et plonger sur la porte d'entrée pour la fermer à clef.
En te dirigeant vers ton téléphone pour appeler du secours, tu remarque un billet posé sur la table basse à côté de ton sac à main. Dessus il était écrit: "Si tu veux remettre ça, appelle-moi au ***/***.**.** ". Folle de rage, tu prends le billet et tout en demandant pour qui je te prenais, tu te disais que ce serait encore plus simple pour la police de me retrouver ainsi. En prenant le téléphone et allant en direction de la cuisine, tu repère alors le revolver posé sur l'îlot. Durant tout ce temps il était resté posé là?! Tu te sens idiote, tu n'avais même plus remarqué que je n'étais plus armé depuis le moment où j'avais lancé le couteau au fond de la pièce. Et le fait de constater qu'il s'agissait d'un faux pistolet accentua encore plus ce sentiment étrange... Comment avoir pu rater ça? Au fond de toi, tu avais bien un doute... Et en y réfléchissant bien, tu avais vu le revolver posé à la cuisine alors que tu étais malmenée... Mais pourquoi n'avoir rien fait??? Durant plusieurs minutes, tu te repassa encore et encore la scène. Tu m'avais vu dans la rue en rentrant de chez l'épicier, tu m'avais même ouvert la porte de l'immeuble alors que je te suivais... Mais pourquoi? Pourquoi ne pas avoir lutté plus que cela? Pourquoi avoir accepté tout ça? Et pourquoi n'avais-tu pas encore appelé les secours?
Ton téléphone émit un bip, significatif d'un nouveau mail. En ouvrant le mail, tu découvris le contenu suivant: "En espérant que ça correspondait à tes attentes. A bientôt." le tout alimenté par un cliché de toi cambrée, la chatte remplie par ma bite et ton petit trou tout dilaté.
Un petit sourire apparut sur ton visage et tu répondit simplement "Oui, merci, c'est exactement ainsi que j'imaginais ce fantasme."
Tu pris le billet et le glissa précieusement
dans ton sac à main, et c'est avec un sentiment de pleine satisfaction que tu alla prendre une nouvelle douche.
Depuis ce jour, mon numéro est en mémoire dans ton téléphone et nous nous revoyons de temps à autre au détour d'une ballade en forêt ou dans un parking sous-terrain. Il arrive même que tu laisse ta porte d'entrée ouverte...
A tout hasard...