mercredi 5 juin 2013

[Fiction] La séquestration de Jasmine

Il est 4h30 du matin et ta nuit de garde arrive enfin à son terme... Seule au bureau du personnel infirmier, tu lutte contre la fatigue et l'ennuie. Les trente dernières minutes s'annoncent interminables. Pour pallier à l'ennuie, tu décide d'aller faire une dernière ronde. Tu te lève donc péniblement et t'engouffre dans la pénombre des couloirs. La nuit, par soucis d'économie, seuls quelques lampes d'appoint perdurent. L'hôpital entièrement endormi et la froideur aseptisée des lieux lui confère des airs lugubres et angoissants. Un frisson parcours ton échine dorsale lorsque tu entends un bruit derrière toi. Tu te retourne subitement mais ne voit personne. Tu reviens sur tes pas et après une rapide vérification constate rassurée qu'aucun patient n'est sortit de sa chambre. Sans doute ton imagination combinée à la fatigue et à l'ambiance du lieu te dis-tu... Ta ronde arrivant à son terme, de même que ton service, tu regagne ton bureau. En sortant un stylo de la poche avant de ta blouse pour prendre note de ta ronde, un papier tombe sur le bureau et atterrit à l'envers sous tes yeux intrigués. Tu ne te souviens pas avoir mis une carte de visite dans ta poche. Tu la retourne et ton regard se fige lorsque tu comprends de quoi il s'agit:



Ces quelques mots accompagnés de ce logo alertent immédiatement ton esprit et tu comprends dès lors que la période à risque a débutée. Cela faisait plusieurs semaines que nous discutions de ce projet, me fournissant toutes les informations que je souhaitais. Mais sans savoir quand tout allait commencer. Voilà donc le signe tant attendu et tant redouté, synonyme des mésaventures à venir dans les 15 prochains jours. Cette idée t'excite dans un premier temps, mais l'angoisse prend lentement le dessus et les idées commencent à se bousculer dans ta tête. Cette carte n'était pas dans ta blouse plus tôt dans la nuit et tu ne l'a pas quitté. Tu comprends alors que j'étais venu la glisser en personne dans ta blouse alors que tu devais être assoupie quelques minutes au bureau des infirmiers comme cela arrivait parfois. Tu pris alors conscience que toutes les informations que tu m'avais communiquées te rendaient vulnérable et que tu étais dès lors une proie facile. Une main se posa alors sur ton épaule et t'arracha un petit cris de surprise. Ton collègue venu te remplacer s'excuse pour  cette frayeur et te demande de quoi il s'agit en désignant la carte de visite entre tes doigts. Gênée, tu t'empresse de la ranger dans ta poche en fuyant la question... Tu le salue et file en direction du vestiaire pour te changer et rentrer chez toi. Chaque bruit provoque un sursaut et tu appréhende déjà le trajet dans le parking sous-terrain... Tu te change rapidement et te dirige vers les sous-sol. Le claquement de la lourde porte d'accès au parking raisonne dans le sous-terrain désespérément vide à cette heure. Tu te dirige d'un pas pressé vers ta Fiat et fouille dans ton sac pour en sortir les clefs qui tombent à tes pieds... Tu t'accroupis pour ramasser ton trousseau lorsqu'une portière claque dans le fond du parking. Tu te relève et tout en entendant des bruits de pas, fonce vers ta voiture sans te retourner. Tu y monte et te verrouille à l'intérieur avant de partir en direction de la sortie. Tu croise alors un collègue au loin, venant prendre son service et t'adressant un signe de la main. Tu répond par un sourire forcé et nerveux en te rendant compte que les heures, les jours et les semaines à venir vont être extrêmement éprouvantes nerveusement et risques de développer en toi une tendance à la paranoïa... 
Enfoncé dans mon siège, je t'observe, amusé, en regardant ta Fiat bleue sortir du parking.

Les jours suivants augmentèrent encore plus l'anxiété et tu as rapidement le reflex d'imaginer ce qu'il pourrait t'arriver à chaque situation. A ton travail, lorsque l'on sonne à ta porte, quand tu marche dans une rue peu fréquentée, au cinéma, à la sortie de la répétition de théâtre, dans le métro... Tous ces gestes et moments généralement anodins prennent désormais une toute autre dimension... Mais après 5-6 jours, cette angoisse s'amenuise peu à peu et ta méfiance diminue progressivement.

La dernière journée de travail de la semaine achevée, tu es enfin en weekend et l'un des avantages des horaires irréguliers est que parfois ton weekend commence avant les autres. Et c'est le cas aujourd'hui. La semaine se termine aujourd'hui, jeudi, et ce soir tu as l'occasion de donner un petit concert pour une soirée. Rien de bien grand, mais ça te donne l'occasion d'acquérir un peu d'expérience et te reboost irrémédiablement...

Te voilà rentrée et l'heure est venue de se préparer. Une longue douche bien chaude pour te relaxer puis tu t'habille pour ton concert. String et soutient-gorge rouges, des bas et une petite robe noire en soie avec un bustier rouge. Maquillage et coiffure ont également leur compte. Ta petite taille n'étant pas un atout pour la scène, tu chausse une haute paire de talon aiguille, mettant du même coup tes jambes en valeur... Tu quitte ton appartement quelques minutes plus tard et te dirige vers ta voiture. Le concert se déroule sans encombre et se termine peu après minuit. La fatigue de ta journée de travail cumulée à celle du concert ont raison de toi et te pousse à rentré après un dernier verre pour finir de savourer cette délicieuse soirée... Tu sors du bar vers 1h du matin et t'engouffre dans la ruelle menant à ta voiture. Tout en avançant, tu en profite pour lire les messages laissé par tes amis venus t'encourager. Ces messages te font un bien fou. Un dernier message d'un numéro inconnu arrive à cet instant: 
"Bravo Jasmine pour cet excellent concert."
Tu réponds : "Merci beaucoup mais qui est-ce?"
Quelques secondes plus tard, l'écran s'allume et ce simple mot affiché suffit à te stopper net, stupéfaite: "FenX"
A cet instant ma main te recouvre la bouche et te plaque en arrière pendant qu'un objet cylindrique s'appuie contre tes reins.
"Ne fais pas un bruit!"
Tu acquisse d'un petit hochement de tête, pendant que ce que tu évalue comme un pistolet se presse encore un peu plus dans ton dos. Tu observe aux alentours, personne! Tes jambes tremblent et te donnent l'impression de pouvoir t'écrouler à chaque instant.
Je te dirige vers ta voiture et après t'avoir ordonné de l'ouvrir, colle un gros morceau d'adhésif sur ta bouche avant de déposer un sac en tissu noir sur ta tête. Te voilà plongée dans les ténèbres. Puis tes mains se retrouvent rapidement attachées dans ton dos avant que tu ne sois couchée sur les sièges arrières.
Quelques secondes plus tard ta voiture prend la route. Tu tente de te détacher ou de retirer le sac mais rien à faire. De longues et interminables minutes plus tard la voiture finit enfin par s'arrêter et te voilà extirpée de la voiture et dirigée fermement. Les yeux bandés et avec des talons hauts sur ce qui semble être du gravier rendent tes déplacements incertains. Une première porte suivit d'une descente d'escalier interminable t'amène à une seconde porte. La porte grinçante s'ouvre lentement avant que tu ne t'y sente poussé vivement. Tu reste debout, immobile, dans l'obscurité du tissu sur ta tête. Mes mains glissent alors autour de ton cou l'entourant d'un collier en cuir. Tu reconnais immédiatement la matière et son simple contact suffit à te faire frémir.
Dès lors, tout va très rapidement, Tes chaussures te sont retirées, dévoilant un sol pavé sous la plante de tes pieds. Puis tes mains sont déliées le temps de retirer ta jambe. Tu tente d'émettre un cri de protestation, mais le papier adhésif l'étouffe aussitôt... Te voilà donc en sous-vêtements et bas comme seule tenue. Un son métallique d'une chaîne glissant sur le sol envahie la pièce. Le contact de l'acier glacé sur ta peau te fait sursauter avant de venir se fixer au collier en cuir. Te voilà maintenant enchaînée. Je te retire le sac sur ta tête; lumière t'aveugle durant quelques secondes puis tu commence progressivement à distinguer l'environnement qui t'entoure. 
Une cave en pierre, sans fenêtre, avec un matelas posé à même le sol pavé. Un sceau métallique posé à côté de cette couche de fortune te laisse comprendre que je compte te garder en captivité un certain temps. Une grande porte en bois et à côté un grand miroir dans lequel tu t'observe ainsi exposée. Le moindre de tes mouvements fait cliqueter la chaîne. Tu baisse les yeux et la voit, encrée dans le sol et reliée au collier de cuir recouvert d'un anneau métallique, le tout solidement verrouillé par un cadenas.



Au fond de la pièce se dessinent des silhouettes d'objets recouverts de draps blancs. Tu me regarde, curieuse de voir enfin mon visage, mais ton impatience est stoppée net lorsque que voit que je porte une cagoule ne laissant apparaître que mes yeux et ma bouche. Je retire alors l'adhésif sur ta bouche te laissant par la même occasion prendre une grande bouffée d'air. Je t'ordonne alors de t'agenouiller. Ton refus est immédiatement sanctionné par ma main tirant d'un coup sec sur la chaîne, te propulsant sur les genoux à même la pierre. Un cris de douleur t'échappe accompagné de plainte de réticence. J'ouvre alors ma braguette et libère mon sexe devant ton visage.
"Suce!"
Tu refuse et lorsque ma main saisie une nouvelle fois la chaîne, tu t'empresse d'enfourner ma queue dans ta bouche avant une nouvelle sanction. Tu la sens rapidement durcir jusqu'à devenir bien raide. Les mouvements de vas et viens deviennent de plus en plus profond et tes mains viennent appuyer mes cuisses pour ne pas laisser mon sexe entrer plus profondément dans ta bouche. Ma main tire donc sur la chaîne pour te forcer à avaler encore plus profondément ma queue. Ta résistance ne fait qu'accentuer les douleurs autours de ta gorge et rapidement tu te résigne au traitement enduré. Ma bite se force un chemin jusqu'à entrer entièrement dans ta bouche et s'aventurer dans ta gorge. Test lèvres plaquées contre mon pubis, tu te contrôle pour contenir le reflex de reflux avant qu'elle ne ressorte entièrement, inondée de salive avant d'y replonger une nouvelle fois. Cette fellation forcée durera plusieurs longues minutes interminables et tu subiras 4 passages forcés jusqu'à ta gorge. Les va-et-viens sont de plus en plus rapides et ma queue ressort une ultime fois de ta bouche pour exploser de plaisir. De longs jets giclent sur ton visage, coulant sur ta peau matte. Puis j'essuie ma queue sur ton visage pour retirer l'abondante salive s'y trouvant...
"Lève-toi !" Dis-je en refermant mon pantalon.
Tu obéis sans discuter, les genoux endoloris par le sol rugueux.
Je t'ordonne de te déshabiller entièrement.
Ma main venant serrer ta gorge ne te laissant pas respirer, mis rapidement un terme à ton refus et tu t’exécutas, retirant tes bas, ton soutien-gorge et ton string. Te voici entièrement nue face au miroir. Tu te regarde, ainsi exhibée, nue, le visage souillé de sperme et de salive, de même que ta poitrine. A ce moment, tu aperçois un ombre derrière le miroir. Il s'agit en fait d'un miroir sans tain! Durant tout ce temps quelqu'un observait derrière cette vitre. Tu rougis et baisse les yeux.
"Vas là-bas!" dis-je en indiquant le coin de la pièce.
Tu te dirige à l'emplacement indiqué.
A peine le temps de te retourner face à moi qu'un jet d'eau jaillit à ton visage. L'eau glacée te fait hurler et bouger dans toutes les directions pour tenter d'y échapper. Tes seins se durcissent au contact du liquide glacial. Une fois ton visage et ta poitrine nettoyés, le jet s’interrompt et je t'ordonne alors de te mettre à genou le visage contre le sol. Ta chevelure noire trempée ruisselle sur le sol trempé pendant que le contact de la pierre sur ta joue te fait frissonner. Puis un longue barre métallique vient se positionner entre tes cheville.qui s'y retrouvent rapidement liées t'écartant ainsi largement les cuisses. Tes poignets y sont ensuite également rattachés, soulevant et écartant ton cul.




Une corde est ensuite passée autour de ta taille et accrochée à l'un des nombreux anneaux métallique présents au plafond, t'obligeant ainsi à te cambrer au maximum. Tu constate que la ou les personnes présentes derrière le miroir ont une vue imprenable sur ton intimité. Le moindre de tes mouvements fait glisser la corde qui te brûle la peau. Puis tu m'entrevois me diriger vers une imposante malle posée au fond de la pièce derrière toi. Le large coffre se referme et tu ne parviens pas à distingué ce que j'en ai sortis. Ton interrogation est rapidement interrompue lorsque tu vois la poche en plastique transparente que j'accroche au plafond. Le long tuyau qui en ressort ne présage rien de bon. Je saisie l'extrémité du tuyau et te le met dans la bouche.
"Mouille le bien!"
Tu t'y résigne, pensant deviner de quoi il s'agissait. Tu recrache de grosses gorgées de salives sur les deux boules situées au bout de l'objet puis le regarde, dépitée, s'éloigné de ta bouche et se diriger, dégoulinant, vers ta croupe. Je le positionne à l'entrée de ton anus et t'écoute me supplier:
"Non, pas ça, pas ici!"
Mais à peine ta phrase terminé que l'objet commence à forcer le passage et s'engouffre dans ton cul. Tu tente de te débattre, mais la douleur prodiguée par la corde calme tes ardeurs. Puis la première boule commence à pénétrer péniblement, t'arrachant des cris de protestations et de douleur, mais rien n'y fait et c'est un hurlement qui s'expulse de ta bouche lorsque tu sens ton anus se refermer sur la première boule et l'avancée douloureuse stoppée aussi net. Puis tu m'observe remplir amplement la poche suspendue au plafond de plusieurs litres d'eau. Je saisie le tuyau et enclenche l'interrupteur. Le petit clic est immédiatement suivi par l'eau s'engouffrant dans ton anus, te remplissant lentement. Tu te sens remplie de l'intérieur et la vision de la quantité d'eau restante dans la poche te fais craindre le pire quant à la durée de ce supplice. Je ressors de la pièce et vais me placer derrière la vitre pour t'observer te tordre pour tenter d'amoindrir la gêne occasionnée. Les minutes te paraissent interminables et tu as l'impression que la moindre goutte d'eau te pénétrant va te faire exploser. Voilà enfin la poche vide. Tu sens ton ventre gonflé et déjà l'envie d'expulser toute cette eau devient insoutenable. Je rentre et retire lentement le tuyau, qui, en ressortant, entraîne avec lui un filet d'eau ruisselant entre tes fesses. Je te libère les mains et les chevilles et t'Indique le sceau métallique posé de l'autre côté de la pièce, juste devant le miroir, en disant:
"Voilà tes toilettes Jasmine."
Tu me supplie de t'offrir de vraies toilettes mais en me voyant quitter la pièce sans même un regard, tu comprends que tes supplications n'ont pas eues le moindre effet. Tu te contorsionne pour tenter de calmer l'envie, mais le besoin devient rapidement. Lorsque tu te redresse, ça devient carrément insoutenable et tu te recroqueville instinctivement sur le sol, regardant le sceau... Tu rampe à quatre pattes lentement jusqu'à lui. Chaque mouvement engendre des crampes laissant parfois un filet d'eau s'échapper de ton anus et couler entre tes cuisses. La chaîne attachée à ton cou et traînant sur le sol accompagne chacun de tes mouvements. Lorsque tu saisis enfin l'objet tant convoité, tu constate qu'il est attaché au sol et que tu ne pourras pas le déplacer. Tu te résigne donc et t'assieds dessus, face au miroir. Tu te vois ainsi et baisse rapidement les yeux en imaginant le spectacle offert aux personnes se trouvant de l'autre côté de la vitre. Tu tente de te retenir encore, mais l'envie pressante à raison de ta fierté et tu finis par relâcher toute l'eau dans le sceau. Ton sang semble faire bouillir ton visage que tu n'ose regarder dans le miroir, la tête baissée, honteuse... L'eau finie enfin par quitter entièrement ton bas-ventre et alors que tu te dirigeais vers le matelas pour tenter d'y trouver un peu de réconfort, tu es interrompue par la porte qui s'ouvre.
"Retourne dans le coin et attends."
Tu comprends qu'une nouvelle douche glacée t'attends. A peine le temps d'arriver que déjà l'eau gelée mord ta peau. Tu tente d'éviter le jet, mais en vain. Rapidement tout ton corps se retrouvent trempé. 
"Tourne toi face au mur et plaque tes mains contre"
Tu te retourne et, après t'être appuyée au mur, tu sens le jet s'engouffrer avec insistance entre tes fesses. Le jet s'arrête enfin et tu reste immobile avant d'entendre le sceau métallique être remplacé puis la porte se refermer. Tu t'écroule immédiatement sur le matelas, t'enroulant dans une serviette déposé à côté, cherchant du réconfort. Tes bouclettes noires gouttent sur le matelas tandis que la lumière s'éteint, plongeant la pièce dans une obscurité totale. Tu estimes qu'il doit être entre 3 et 4 heures du matin. Tes yeux accusent la fatigue, mais ton corps refuse de céder au sommeil et tout ton être est en alerte à chaque instant, au moindre bruit...
La lumière s'allume, éblouissante, aveuglante même. Tu me regarde entrer dans la pièce et aller traîner un objet caché sous un drap qui semble assez lourd au milieu de la cave avant de l'attacher au sol dans différentes boucles métalliques. Je soulève lentement le drap et tu découvre un chevalet en bois, doublé de cuir par endroit. 


Je saisis la chaîne et t'amène en direction de l'objet sur lequel tu te retrouve rapidement attachée par les poignets et les chevilles. Tu tourne la tête et t'observe ainsi offerte, devant le miroir. Puis une cagoule plonge sur ta tête, te plongeant dans l'obscurité totale. Seule ta bouche reste libre alors que la cagoule finit par venir s'accrocher à ton collier, retirant tout espoir de la retirer. La chaîne t'es retirée, te donnant l'impression illusoire d'un mieux...
Tu sens alors un morceau de chaire se poser sur ta bouche. Tu détourne la tête en pinçant les lèvres. Rien, aucune contrainte, aucune sanction ne te semble donnée pour cette résistance.
Mais ce soulagement est immédiatement interrompu par un immense coup sur tes fesses, puis un autre et encore un autre. La planche claque et raisonne dans toute la pièce accompagnée par tes hurlements de douleurs. Six coups plus tard, les claquements s'arrêtent enfin. A peine le temps de ravaler tes sanglots qu'à nouveau ta bouche est sollicitée. Sentant ma main glisser, tel un avertissement, sur tes fesses brûlantes, tu t'empresse d'ouvrir la bouche et d'engloutir avidement le membre dressé. La queue fait des allers-retours incessant dans ta bouche, forçant à nouveau plusieurs fois le passage jusqu'à ta gorge. Puis tu sens la queue quitter lentement ta bouche. Tu entends mes pas se déplacer derrière toi puis s'arrêter net avant de sentir mes mains sur tes fesses, les écartant largement... Ma queue vient se poser à l'entrée de ton anus.
"Non! Pitié pas ça! Pas dans mon cul."
Je te laisse terminer ta supplication avant de commencer à enfoncer lentement mon sexe dans ton cul. Tes soupirs et gémissement de douleurs ne rencontrent aucune compassion et le membre continue inexorablement son avancer jusqu'à être entièrement enfoncé. Tu tente de reprendre te calmer, mais déjà les va-et-vient débutent. Lentement puis de plus en plus rapidement et fortement. La douleurs de cette première sodomie t'arrache des sanglots mais ils sont étouffés par la queue s'engouffrant sans prévenir dans ta bouche grande ouverte! Tu es totalement dépassée par tout ça et ne parvient plus à gérer. Les deux bites ne ménagent pas leurs hardeurs puis enfin la première queue quitte ton cul avant de finir par jouir sur ton dos. Ton anus te fait souffrir, mais la douleur s’estampant quelque peu, tu sens la queue dans ta bouche remplacée par une nouvelle. Celle-ci est bien plus grande que les autres et tu parviens difficilement à la prendre en bouche, alors que c'est cette fois ta chatte que se fait solliciter. De violents coups de reins viennent s'échouer dans une vague de plaisir montant de plus en plus fort. Tu finis par jouir intensément, tes cris étouffés par cette immense queue t'arrachant la mâchoire. Les coups de reins s'arrêtent et la queue quitte ta chatte. Pour venir prendre la place de celle dans ta bouche. Ta mâchoire endolorie laisse d'échapper ce monstre, accueillant, presque soulagée, ce membre plus "acceptable". Le jus de ta jouissance emplie rapidement ta bouche, t'excitant encore un peu plus. Mais ta soulagement est entièrement anéantit lorsque tu sens l'immense membre venir se poser contre ta chatte et amorcer son avancée. Chaque aller et retour t'arrache des gémissements. Rapidement l'autre bite explose sa jouissance dans ta bouche et le sperme s'en écoule lentement au milieu de tes cris de plaisir et de douleurs. Un nouvel orgasme encore plus intense t'envahie et te fais totalement lâcher prise. L'immense bite sort alors de ta chatte et glisse lentement vers ton cul. Chaque millimètre parcouru en direction de ton petit trou t'effraie un peu plus et aucune de tes demandes de grâce n'a d'impact et la queue commence alors à forcer le passage bien trop étroit. Chaque centimètre supplémentaire augmente encore plus le supplice et les poings crispés, tu tente de contenir la douleur sans y parvenir. Tu implore la pitié, mais en vain et lorsque la queue entame ses lents et interminables va-et-vient. Tes hurlements envahissent la pièce. Le mouvement s'amplifie et s'accélère. La queue passe ensuite de ton cul à ta chatte et réciproquement. Bientôt le plaisir et la douleur commencent à se confondre et ne font bientôt plus qu'un. Un ultime orgasme finit de t'achever et c'est soulagée que tu sens enfin le monstre jaillir son plaisir dans ton cul en feu. Les membres tremblants, tu as l'impression que tout ton corps frissonne pendant qu'un interminable filet de sperme s'écoule doucement de ton cul... Ton cerveau bouillonne en tentant d'analyser tout ce qui vient de se passer, toutes ces sensations diamétralement opposées. Les morsures glacées du jet d'eau viennent te sortir de cet état de transe. Puis te voilà libérée de cet instrument de torture. La chaîne tire sur ton cou pour te guider aveuglément avant de t'immobiliser. Ma main soulève ta cheville et tu sens un morceau de latex effleurer ton pied avant de rééditer avec l'autre jambe. Puis le latex remonte le long de tes jambes, puis un plug s'enfonce dans ton anus jusqu'à ce que le latex soit plaqué contre ta chair. Tu devine cet objet comme étant un genre de culotte en latex équipée d'un plug anal. Un léger renflement appuie également contre ton clitoris et tes lèvres. Puis la chaîne t'attire une nouvelle fois dans son bruit caractéristique. L'objet dans ton cul encore douloureux des sévices infligés jusqu'ici ne facilite pas tes mouvements. Tu trébuche sur le matelas et quelques instants plus tard la cagoule libère enfin ton visage. Éblouie, tu mets plusieurs dizaines de secondes avant de pouvoir distinguer clairement les choses. La porte s'est déjà refermée et tu ne résiste pas longtemps avant de plonger sur la nourriture et l'eau déposées à côté du matelas. Tout en te nourrissant, tu observe la culotte et effectivement, tu constate qu'il s'agite bien de l'objet que tu avais imaginé, à la différence qu'elle est attachées autour de ta taille par un cadenas. Tu tente de la retirer ou de la faire glisser quelque peu, mais sans succès. Elle est beaucoup trop comprimée contre ta peau. Tu te relève et te dirige lentement dans le fond de la pièce pour tenter d'y découvrir les objets encore sous les draps. La chaîne trop courte t'empêche d'y accéder et tous tes efforts n'y font rien. De plus ils rappellent cruellement la présence du plug dans ton anus. Résignée, tu t'allonge sur le matelas. La lumière s’éteint te plongeant dans les ténèbres... L'épuisement te fait rapidement sombrer dans un sommeil agité.
Tu te réveille soudainement en sursaut. Des vibrations intenses envahissent tout le bas de ton corps. Les boules sur ton clitoris et entre tes lèvres ainsi que le plug se mettent à vibrer rapidement et fortement. La lumière envahie à nouveau la pièce. Tu tente encore une fois, sans succès, de retirer la culotte. Te tortillant dans tous les sens, tu sens l'orgasme approcher à grand pas. La chaleur remonte dans tout ton corps et ton plaisir explose dans un cris de jouissance. Les vibrations se poursuivent, tremblante, exténuée, tu cherche à reprendre le contrôle de ton corps, mais les vibration intenses ne t'en laissent pas l'occasion. Ce supplice durera plus de trente minutes d'après tes estimations t'arrachant plusieurs orgasmes. Lorsque les vibrations s'interrompent enfin, tu te retrouve complètement amorphe et incapable de faire le moindre geste. Mon doigt sur la télécommande de la culotte vibrante, je t'observe à travers le miroir. Puis la lumière quitte la pièce... Toutes les 1h30 environ, le même réveil se répétera. Durant chacune des 6 séances, les multiples orgasmes arrachés étaient parfois intenses, parfois sans plaisir réel. Seule dans l'obscurité, tu remarques alors des lumières rouges clignotant dans les différents coins de la pièce. Tu comprends alors que tu es filmée et que de ce fait, tout ce que tu as enduré jusqu'ici l'était également. Abusée, trempée et humiliée, tu attends craintivement le supplice suivant...
Une voix diffusée par un haut-parleur, te fait sursauter.
"Remets la cagoule Jasmine."
La lumière illumine à nouveau la pièce. Tu vois la cagoule posée sur le sol et hésite à obéir. Dès lors, les vibrations s'immiscent dans ton bas ventre. Tous ces orgasmes ont développés une hypersensibilité et rapidement le plaisir inonde ton entrejambe. Tu te dirige vers la cagoule, péniblement, dans tes gémissements et y glisse la tête. Aussitôt les vibrations s'arrête. La porte s'ouvre et quelques instants plus tard, tu sens mes mains autour de ton cou, attachant la cagoule à ton collier avec un cadenas dont tu reconnaît le cliquetis métallique lorsqu'il se referme. Seule ta bouche émerge de l'épais morceau de tissu. Dès lors des bruits semblables à ceux provenant de meubles que l'on déplace envahissent la pièce. Tu imagine qu'il s'agit là des objets restant cachés sous les draps... Tu reste immobile, craintive et à l'affût de tout ce qui se passe. Puis la chaîne glisse sur le sol avant de te tirer sur ton collier. Tu te lève et te laisse diriger.
"Stop, tiens-toi droite."
Tu t'immobilise et sens la culotte en latex glisser le long de tes jambes. Mes mains espace tes pieds puis une barre métallique glacée entre en contact avec tes chevilles puis une corde vient nouer le tout. Puis tu es basculée en avant, jusqu'à ce que ton cou entre en contact avec un morceau de cuir rembourré. Puis tes poignet se retrouvent également déposés sur deux cavités. De lourdes menottes métalliques viennent se greffer à tes poignets, avant que tu ne sente ta nuque devenir prisonnière de cet objet que se referme sur toi, séquestrant tes avant-bras et ta tête. Une corde vient ensuite s'enrouler lentement autour de ta taille avant que tu ne te sente soulevée par cette même corde. Elle te hisse si fermement que tes talons sont décollés du sol. La cagoule se retire et tu constate avec effroi la situation dans laquelle tu te retrouve une nouvelle fois. Juste devant toi, se trouve une longue table sur laquelle un écran est déposé. Tu t'y vois sous tous les angles! Toutes les caméras sont affichées ainsi que deux autres plus proches de ton visage et de tes fesses. Tu es exhibée dans les moindre détails. Tu es une nouvelle fois totalement à la merci de quiconque souhaitant abuser de toi. Tes jambes maintenues écartées et tes fesses relevées ne permettront aucune résistance, le tout immortalisé par ces caméras.




Puis la cagoule replonge sur ton visage aussitôt. A peine le temps de te re familiariser avec l'obscurité que des pas se font entendre dans la cave. Tu perçois du bruit sur la table sans parvenir à en identifier la cause. Mais tes interrogations vont vite obtenir une réponse. Une main se pose sur ton crâne et projette ta tête vers le sol. Ton visage se retrouve calé entre deux cuisses et ta bouche pressée contre le vagin de ta tortionnaire. Ta bouche reste fermée. Tu n'as jamais goutté à une femme et tu refuse que ta première fois se passe ainsi.
"Punie-la." Dit-elle.
Un sifflement découpe l'air puis vient s'écraser sur tes fesses. La douleur est atroce et un hurlement s'expulse de ta bouche. Un second sifflement puis un troisième. Tu plonge ta bouche sur la chatte devant toi et commence à la lécher avidement pour stopper la punition.
"Elle a compris, tu peux arrêter. Pour le moment du moins." Murmure t'elle en pressant encore plus ton visage entre ses cuisses. Ta langue découvre et goutte cette anatomie qui lui était jusque là méconnue. Pendant plusieurs minutes ta bouche est ainsi exploitée avant qu'elle ne jouisse en plaquant ta bouche fermement contre son vagin pour que tu en récolte toute sa jouissance. Lorsqu'elle se retire, son goût est encore présent dans ta bouche. Ton repos ne dure que quelques secondes jusqu'à ce que ton visage entre à nouveau en contact avec sa chair. Mais cette fois si, elle s'est retournée et plaque ton visage entre ses fesses pour te faire lécher son anus. Tu ne refuse que brièvement, les fesses encore endolories par la punition précédente. Ta langue se faufile, hésitante, entre ses fesses jusqu'à venir caresser son anus. Elle écrase régulièrement ton visage entre ses fesses pour t'inciter à y mettre plus d'entrain. Tu plonge ta langue dans ce petit trou en écoutant les gémissements de ta tortionnaire du moment. Sans prévenir. une bite s’engouffre dans ta chatte trempée. Quelques minutes s'écoulent et tu es littéralement liquéfiée par la situation. La fille jouit une nouvelle fois, plaquant ton visage au plus profond de ces fesses avant de se retirer. Elle est rapidement remplacée par un homme enfournant sa queue dans ta bouche. Les vas-et-vient dans ta chatte s'intensifient et s'accélèrent. Un nouvel orgasme t'échappe. Tes gémissements sont étouffés par le membre dans ta bouche. Chaque orgasme sensibilise encore un peu plus ton corps qui s'enflamme désormais pour un rien. La queue quitte ta chatte et plonge dans ton cul. La pénétration est relativement moins douloureuse. Le plug que tu as porté durant toutes ses heures y est surement pour beaucoup. Et quelle ne fut pas ta surprise d'avoir un orgasme en te faisant prendre ainsi, plus fort, plus intense que les autres... Ma queue quitte ton cul et vient prendre la place de celle présente à ta bouche. Cette dernière vient s'enfoncer dans ton anus encore ouvert... Je force le passage et insère l'entier de ma bite dans ta bouche. La sensation de ta gorge autour de ma queue me fait rapidement jouir. Tu sens le liquide chaud couler dans ta gorge avant que ma queue ne ressorte... 
"A votre tour" m'entends-tu crier.
Plusieurs voix d'hommes se font entendre approchant lentement de toi. Tu seras ainsi prise par  tous ces hommes (tu en as compter 5 en plus) de tous les côtés, sans ménagement, pendant plus de deux heures. Les premiers revenant régulièrement à charge... Tes orgasmes s succédèrent. Epuisée et à bout de force, tu manque plusieurs fois de perdre connaissance, mais rien n'arrêtera les hommes qui continueront de te baiser encore et encore par tous les trous malgré toutes tes supplications... Lorsque cet interminable calvaire s'achève enfin tes jambes tremblantes peinent à porter ton poids et tu réalise que si tu n'étais pas accrochée au plafond par les hanches, il y a de fortes chances pour que tu t'écroule. Lorsque qu'une paille vient se poser à tes lèvres, tu en aspire prudemment une gorgée avant de boire toute l'eau donnée. Tu mourrais de soif... Mais quelques secondes plus tard, ta tête se met à tourner et puis tu sombre dans l'inconscience.
Tu ouvre les yeux et reprends péniblement conscience. Tu regarde autour de toi et reconnaît ton appartement. Tu es allongée sur ton sofa, habillée et libre. Tu penses alors à un mauvais rêves, mais les marques de cravaches sur tes fesses et ton anus douloureux de tant de maltraitance te font rapidement comprendre que tout cela a bien eu lieu. Tu regarde sur ton portable et réalise horrifiée que nous sommes samedi soir et que tu as passé près de deux jours en captivité.
De nombreux DVD relatant l'ensemble de ta captivité trônent sur la table basse du salon. 
Tu regarde ton portable et y lit le texto de ton petit copain t'invitant à sortir souper. Tu accepte, affamée. Une douche plus tard, tu le rejoins comme si de rien n'était.
A la fin du repas, tu remarque que les personnes assises à une table en face de toi te regardent avec insistance. Lorsque ton copain s'absente pour payer, la femme présente à la table voisine se lève et vient déposer une carte de visite devant toi.


Tu saisie la carte et regarde chacun des membres du groupes quitter le restaurant un à un tout en t'adressant un signe de la tête en passant. Tu comprends qu'il s'agit là de tous tes ravisseurs et personnes ayant abusées de toi. Tu glisse la carte dans ton sac à main et quitte le restaurant dans les bras de ton chéri des images plein la tête...

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