La répétition arrivée à terme bien plus tard qu’à l’accoutumée, tu te dirige vers le parking où est stationné ton véhicule. Tu entends un bruit de pas derrière toi, ce qui te fais accélérer la cadence. Les pas se rapprochent et tu te retourne d’un bond pour faire face au danger. Un jeune homme, vraisemblablement ivre, passe à côté de toi, te déshabillant d’un regard pervers qu’il ne prend pas la peine de masquer. Tu te rends compte qu’habillée avec cette jupe et ce petit chemisier à cet heure ci et dans cet endroit n’est pas un choix des plus judicieux. Tu te retourne et t'empresses de regagner ta voiture. Le bruit de tes talons raisonne entre les bâtiments, seule dans la pénombre. A l’approche de ton véhicule, tu plonges la main dans ton sac à main et en ressort ton trousseau de clefs. Le saisissant, tu voit une carte attachée au trousseau sur laquelle figure simplement un logo que tu reconnais aussitôt.
Ton corps tout entier s’immobilise et ton pouls s’emballe. Tu sens tes jambes trembler alors qu’une
main étouffe ta bouche et qu’un bras t’immobilise en te plaquant sur le capot de ta voiture.
“Bonsoir Véronique.” entends tu à ton oreille
Tu sens le contact du plastique autour de tes poignets qui irrémédiablement les maintiens de plus en plus fermement l’un contre l’autre derrière ton dos. Un morceau d'adhésif recouvre ta bouche, étouffant tes derniers gémissements. Un bandeau finit par obscurcir définitivement ta vision, déjà floutée par ces évènements. Une main te saisie brutalement par la hanche pour te relever du capot avant de te lancer littéralement dans le coffre de ta voiture. Tu as l’impression que ton coeur va sortir de ta poitrine tellement il bat fort. A peine le coffre refermé que tu sens ta voiture t’emmener vers ton calvaire. T’y voilà, près de 2 mois que tu épiais le moindre mouvement, que tu te retournais au moindre bruit, mais toujours en vain. Et maintenant que tu relâches ta garde, te voilà ligotée et bâillonnée dans le coffre de ta voiture. Le véhicule te maltraite de gauche à droite avant de s’arrêter enfin. Le coffre s’ouvre et après quelques secondes, une main te saisis par les chevaux, posant ta joue sur le rebord de ton coffre. L’adhésif arraché t’extirpe un cris de douleur et de surprise, aussitôt étouffé par un morceau de chair s’engouffrant au fond de ta bouche. Ma bite entièrement dans ta bouche gonfle sans cesse au contact de ta langue. Tu la sens envahir le moindre espace. Tu tentes de te débattre, mais ta tête est maintenue fermement par tes cheveux entre mes mains. Les va-et-vients commencent de plus en plus profondément. Le rythme est tellement rapide que tu ne peux ravaler ta salive que tu sens couler le long de ta joue. Ma bite force encore et toujours le passage au plus profond de ta bouche avant de finir par cracher sa jouissance dans ta bouche. A peine ma queue quitte enfin ta bouche que le scotch ta bâillonne à nouveau avant même que tu n’aies eu le temps de recracher. Tu sens ensuite ma queue se frotter sur ton visage, essuyant ce mélange de jouissance et de salive, alors que tu avales mon sperme. La bouche pleine de ce goût, le visage souillé, tu te fais projeter à nouveau dans le fond du coffre qui se referme aussitôt avant que la voiture ne redémarre à nouveau.
Ballottée d’un côté et de l’autre, le trajet te paraît interminable. Et lorsque le moteur se coupe enfin, tu es soulagée un bref instant avant que tu ne réalise que le pire est certainement à venir. Ton estomac se noue et lorsque tu entends le coffre s’ouvrir à nouveau, tu te blottis au fond du coffre mais en vain. Des mains t’extirpent de l’habitacle puis te force à avancer rapidement. Le sol est très irrégulier et tes chaussures à talons ne sont clairement pas à leur aise. Les yeux toujours bandés, tu trébuches à plusieurs reprises, mais aussitôt te voilà redressée fermement pour continuer ton périple. Un court moment de répit durant lequel tu entends une porte s’ouvrir et te voilà à nouveau contrainte d’avancer durant quelques mètres.
“Arrêtes-toi et agenouilles-toi!”
Tu t’arrêtes puis reste immobile, debout, ne sachant pas quoi faire, obéir ou résister.
“Quand je te dis de faire quelque-chose, fais-le sans réfléchir!”
Tu te sens alors tirer au sol par tes menottes dans le dos. Tu t'écroules lourdement sur tes genoux, le contact avec le sol glacé semble accentuer encore la douleur de ta chute. Le béton est encore plus glacé au travers de tes bas déchirés par endroit à la suite de toutes ses chutes. Le scotch s’arrache à nouveau de ta bouche, te permettant de prendre une grande bouffée d’air pour tenter de retirer ce goût de sperme qui te semble ancré au plus profond de ta gorge.
Tu reconnais immédiatement le morceau de chair qui se presse déjà contre tes lèvres que tu refermes immédiatement.
“Suces là!”
“Non, pitié…” laisses-tu filer entre tes lèvres closes.
A cet instant mon gland s’éloigne et tu sens mes mains empoigner ton chemisier et commencer à le déchirer. Les boutons explosent l’un après l’autre et retombent sur le seul exposant ton soutien-gorge qui se retrouve également déchiré libérant ta poitrine volumineuse que je m’empresse de malaxer fortement.
“Non, arrêtez...”
Puis te voilà penchée en avant, le visage collé au sol, les mains toujours attachées dans le dos et le cul bien relevé. Je remonte ta jupe autour de tes hanches, dévoilant ton string noir. Les lambeaux de tissus frottent ton corps puis tu sens ton string écraser ton pubis pendant que je l’arrache. Il résiste longuement avant de céder enfin, relâchant la pression sur ta chatte.
“Je vais te montrer ce qu’il coûte de ne pas obéir.”
Tu sens ma queue se glisser entre tes fesses et venir se presser à l’entrée de ton cul et commencer à forcer le passage pour y entrer irrémédiablement centimètre après centimètre…
“Noooon! Pas ça! Donnez la moi, je vais vous sucer, mais pas ça !!!”
“Trop tard, il fallait obéir avant…”
Et ma bite finit de s’enfoncer d’un seul coup au fond de ton cul. Les mouvements de va et vient s’accélèrent rapidement alors que tes mains essaient de me bloquer l’accès à ton anus, mais en vain. Mes mains écartent tes fesses pour entrer encore plus profondément en toi et la cadence s’accélère avec de plus en plus de force. Tes supplications n’ont pour seul effet d’amplifier encore plus l’intensité de mes coups de reins. Ton cul est en feu lorsque je retire ma queue. Je te redresse en te tirant par les cheveux pour te remettre à genoux.
“Et maintenant, nettoie moi cette queue.”
Sans prendre le temps de réfléchir, tu t’empresses d’enfourner ma bite dans ta bouche. Tu t’applique à la sucer en tentant de faire abstraction de l’endroit où elle se trouvait auparavant. Je dirige ta bouche vers mes couilles que tu lèches goulument puis ma queue recommence à baiser ta bouche violement au plus profond de ta gorge, rendant ta respiration difficile. Lorsqu’elle requitte ta bouche, tu sens de long filets de salive s’écouler de ta bouche et tomber sur ta poitrine. Je te repenche en avant et replonde d’une traite dans ton cul. Tu cries de douleurs et de surprises. Ton cul est violement pénétré pendant d’interminables minutes avant que je ne commence à passer sans cesse de ton cul à ta chatte qui malgré toi laisse s’écouler ton plaisir entre tes cuisses.
“Garde ton cul bien ouvert avec tes mains!”
Tu t’exécutes aussitôt, me facilitant ainsi l’accès à ton anus. Je vois tes piercings sur les lèvres de ta chattes et profite de les malmener pendant que je te baise en passant d’un trou à l’autre. C’est alors que je recommence à t’enculer que je parviens à t’arracher un orgasme que tu ne peux contenir et tu jouis dans un hurlement mélangeant plaisir et terreur. Ta chatte est inondée et continue de s’écouler. Ma bite quitte ton cul et après t’avoir couchée sur le dos, vient se branler entre tes seins. Je relève ta tête pour que tu lèche mon gland pendant que je fais des aller-retour entre tes seins avant qu’il ne crache sa jouissance entre tes seins et sur ton visage.
Je te retire les lambeaux de vêtements restant ne te laissant que tes bas déchirés et te transporte vers ce que tu analyse comme étant une table sur laquelle je te couche à plat ventre. Tes chevilles se retrouvent attachées aux pieds de la table et tes mains ne sont libérées que quelques secondes avant de se retrouver attachées aux pieds opposés.
J’attache un wand body entre tes lèvres et l’enclenche à bonne vitesse. Malgré tes mouvements, l’appareil reste en contact permanent avec ta chatte et continue ses vibrations. Un gros plug vient alors s’enfoncer au fond de ton cul et tu reste ainsi, les yeux toujours bandés. Ne parvenant pas à résister à ce traitement, en quelques minutes, un nouvel orgasme t’es arraché. Tremblante, les jambes dans le coton, tu continue de subir ce supplice. Après d’interminables minutes, la vitesse est réduite au minimum, mais tu es dans un tel état que ces petites vibrations suffisent à elles seules à te faire lâcher prise. Ma bite vient alors se forcer un chemin dans ta bouche. Elle se durcit peu à peu et une fois dure elle se dirige à nouveau vers ton cul. Le plug est retiré et ma bite te sodomise à nouveau. En à peine 2 minutes, un nouvel orgasme explose. Des jets de cyprine jaillissent de ta chatte… Après t’avoir enculé, je viens jouir dans ta bouche. Une fois terminé je replace le plug dans ton cul et coupe le wand body. Totalement déconnectée du monde qui t’entoure, tu profites de ce moment de répit, ma bite encore dans ta bouche. Tu sens ma queue se ramollir dans ta bouche.
“Suces la doucement, lèches là. Ne t’arrête pas tant que je ne te l’ai pas dis.”
Tu la suce tant bien que mal, la sentant molle, vidée de tout excitation. De temps à autre mes couilles viennent prendre sa place avant qu’elle ne revienne intégralement dans ta bouche. Après plusieurs minutes, j’allume à nouveau le wand body au maximum. En à peine 30 secondes, te voilà à nouveau trempée. Ma queue toujours molle dans ta bouche te sert de défouloir. Tu la suces avidement pour compenser le supplice. Lorsqu’elle recommence à durcir, tu te rends compte que tu vas avoir droit à un nouvel assaut. Une fois bien tendu, elle quitte ta bouche et vient plonger dans ta chatte trempée. Je la défonce de toutes mes forces, t'arrachant des cris. Chacun de mes mouvements de bassin bouge le plug planté dans ton cul pendant que les vibrations continue leur sévice. Chaque mouvement provoque une décharge électrique dans ton bas-ventre. Tes cris inondent la pièce alors qu’enfin je finis par jouir sur tes fesses. Le sperme coule sur tes fesses alors que ta chatte continue de tremper tes cuisses. Ton corps tout entier tremble… Alors une forte odeur d’alcool vient recouvrir ton nez et ta bouche. La tête te tourne quelques brefs instant avant que tu ne fermes les yeux.
Lorsque tu reprends connaissance, tu es dans ton lit, entièrement nue et durant un faible instant, tu penses qu’il ne s’agissait que d’un rêve pervers et inavouable comme tu en fais parfois. Mais lorsque tu sens le plug toujours enfoncé dans ton cul et que tu vois les marques d’attaches autour de tes poignets, tu réalise que tout ça était bien réel. Tu libère enfin ton cul de cette emprise et te lève pour constater que je ne suis plus présent. Tu referme la porte à clef et fonce sous la douche pour enlever toutes ses traces humiliantes des heures de débauches que tu as passé. Les maltraitances données à ton cul sont telles, que durant toute la journée, chacun de tes pas te rappellera les sévices reçus la veille. A chaque client qui entre dans ton magasin, tu sursaute et reste sur tes gardes de peur que je ne resurgisse, mais avec toujours la même question:
“Qui était-ce ?”
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