jeudi 22 mai 2014

[Fiction] Une fin de semaine mouvementée

La semaine a été éprouvante et le week-end est plus que le bienvenue. Tes enfants en vacances durant une semaine chez des parents à compter d’aujourd’hui, la maison sera bien grande pour toi et ton mari Will.
Les enfants déposés à la gare et le dur moment des adieux passés, tu rentres enfin à la maison après un bref détour par le supermarché pour concocter un délicieux repas à ton bien-aimé pour cette soirée. Tu t’empresses de ranger les courses avant d’aller te faire couler un bain tout en prenant un verre de vin avec toi. Tu te déshabille et plonge doucement la jambe au milieu de la mousse. L’eau est brûlante, tu y pénètre difficilement mais à peine immergée tu sens aussitôt toute la tension emmagasinée durant toute la semaine s’envoler aussitôt. Tu porte le verre à tes lèvres et laisse le nectar glisser lentement dans ta gorge. Le contraste entre la fraîcheur du liquide et le bain brûlant te donnes le tournis. Tu fermes les yeux et te laisse enivrer par cette sensation. Quelques gorgées supplémentaires et tu t’assoupis…
Un bruit te fait sursauter, l’eau froide a enveloppé ton corps. Tu bondis hors de l’eau et t'emmitoufle dans une serviette. Tu sors de la salle de bain en disant: “Y’a quelqu’un? Will? C’est toi?”.
Tu tends l’oreille et entends du bruit à la cuisine, c’est probablement Will qui prépare le repas. Tu entre dans la cuisine et constate que personne n’est là, les courses sont renversées sur le sol. Tu entends alors un cri étouffé provenant de la salle à manger. Lorsque tu arrive sur le pas de la porte, tu t’arrêtes net en voyant Will, attaché sur une chaise, un bâillon dans la bouche et totalement nu. Au moment où il te voit, son visage se referme aussitôt. De grands yeux t’indiquent de te retourner, mais à peine a tu eu le temps de comprendre que déjà des bras t’encerclent et te projettent au sol. Tes cris et tes mouvements de défense restent vain et tu te retrouve rapidement les mains menottées dans le dos. Will s’agite sur la chaise, impuissant les yeux consternés au moment où je t'agenouilles devant lui. Ta serviette tombe au sol, dévoilant ton corps nu et imberbe. Tes seins sont encore durcis par l’eau froide. Tu rétorques aussitôt: “Lâchez moi! Arrêtez!”. Tu me regarde, mon visage masqué sous une cagoule, me dirigeant vers Will et glissant un couteau sur son torse. “Sois bien obéissante si tu ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose.” Tes yeux écarquillés observe la lame cheminant sur la chair de Will immobile. Tu t’arrêtes aussitôt de hurler, résignée et le regard empli de haine. Je m’approche à nouveau de toi et commence à déboutonner mon pantalon, libérant ainsi ma queue encore molle que je présente devant ta bouche. Ma main agrippe tes cheveux et dirige ta bouche vers ma bite. Will se tente de se libérer et gémis au travers du bâillon, mais tous ses efforts restent vains. Tu ouvres les lèvres et laisse entrer ce morceau de chair qui commence rapidement à durcir et grossir dans ta bouche. En quelques secondes, ma bite et complètement tendue et le rythme s'accélère. Le chemin forcé au plus profond de ta bouche, tu ne parviens pas à contenir ta salive qui s’écoule de ton menton à tes seins. Tu vois Will qui t’observe, le regard stupéfait. Ma queue quitte ta bouche pour faire place à mes couilles que tu lèches avidement au moment où tu sens la lame du couteau glisser sur l’un de tes tétons. Ma queue trempée de salive caresse ton visage avant de s'engouffrer violemment dans ta bouche pour plusieurs minutes. Lorsque ma queue la quitte enfin, tu prends une grande bouffé d’air tout en sentant un morceau de cuir s’enrouler autour de ton cou. Le collier se referme avec le clic d’un cadenas. Je me sers de la laisse qui y est accrochée pour te diriger vers ton mari. J’attache une corde glissée sous ses fesses à ton collier puis enfourne ta tête entre ses cuisses. “Prends sa queue dans ta bouche maintenant!”. Tu prends le membre en bouche. Sa queue est complètement molle, le traitement qu’il te vois endurer ne lui procure aucune excitation. Tu sens alors la corde se tendre et tirer sur ton collier. Ton visage se trouve plaqué contre le pubis de Will, sa queue entièrement dans ta bouche. Je finis  d’attacher la corde pour te maintenir ainsi. Avant de venir me placer derrière toi. J’ouvre tes genoux pour me présenter ta chatte et ton cul. Mes doigts commencent à fouiller ta chatte sans ménagement. Bien malgré toi, ta chatte s’humidifie peu à peu. J’affole ton clitoris à l’aide de caresses rapides et de petites claques de temps à autre. Des gémissements s’arrachent de ta bouche dans laquelle tu sens le membre de Will durcir. J’insère progressivement 2 puis 3 doigts dans ta chatte désormais trempée. Un quatrième fait péniblement son entrée. Les mouvements de va-et-vient que je donne avec ma main en train de te fister, génère un léger mouvement de tête qui continue à faire bander Will. Sa queue envahit le moindre recoin de ta bouche et tu tente tant bien que mal de tourner la tête pour donner un peu d’espace à cette queue étouffante. Vous n’aviez jamais eu de rapports particulièrement inhabituels jusque là, vous limitant aux pratiques les plus courantes. Ma main est entièrement dans ta chatte pendant que tu entends Will gémir de plaisir. Son membre enflé, ses soupirs et ma main t’arrache un orgasme. Tes cris sont atténués par la bite tendue de ton chéri. Ma main quitte ta chatte inondée, s’écoulant le long de tes cuisses. Tes jambes tremblent encore alors que tu sens ma bite s’introduire dans ta chatte brutalement pour quelques aller-retours. Puis elle vient se presser sur ton petit trou. Tu bouge les fesses et tes mains, toujours menottées dans ton dos, tentent d’éloigner ma queue de ton anus. Mais ma bite entre lentement dans ton cul, la mouille de ta chatte encore sur ma queue l’aide à entrer et rapidement ton cul est usé par de longs et rapides va-et-vient. Chaque pénétration créé un mouvement de ta tête autour de la queue de Will. Tu la sens gonfler encore, avant qu’elle n’explose dans ta bouche, Will hurlant d’un plaisir qu’il ne peut contenir. Le foutre chaude envahit ta bouche et s’écoule dans ta gorge. Le reste glisse entre tes lèvres, ne parvenant pas à tout avaler. Ton cul est maintenant bien ouvert et je sors régulièrement ma queue en prenant bien soin de l’écarter avec mes mains pour en admirer sa dilatation. La queue de Will se ramollie enfin, te permettant enfin de soulager un peu ta mâchoire. Sa queue hyper sensibilisée par son orgasme le fait crier de douleur à chacun de tes mouvements que tu ne peux contenir sous les assauts donnés à ton cul. Tout en continuant de t’enculer, je te détache la corde maintenant ton visage plaqué entre les cuisses de Will. Tu relève la tête, aspirant une grande bouffée d’air et observant la queue de Will, irritée et souillée de salive et de sperme. Tu n’oses pas le regarder dans les yeux. Je sors à nouveau ma queue de ton cul et te jette sur le canapé face à Will. Couchée sur le dos avec la tête pendant en arrière dans le vide. Ma queue souillée par ton cul se présente devant ta bouche. Tu détourne la tête, mais mes mains la maintienne bien droite et lorsque je commence à serrer ta gorge, t’empêchant de respirer, tu ouvres grand la bouche et laisse ma bite s’y engouffrer. J’enfonce ma queue au plus profond de ta gorge ce qui te provoque des haut-le-coeur.
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Le rythme soutenu et l’aspiration de ta gorge ont rapidement raison de moi. Ma queue gonfle et je la ressort pour la laisser exploser sur ton visage. De longs jets jaillissent sur ta figure. Puis je la replonge dans ta bouche pour que tu termine de la nettoyer. Lorsque je m’éloigne, tu vois le visage stupéfait de Will,te regardant pleine de foutre, baisée de partout. Je me dirige vers lui et le libère de la chaise en prenant soin de ne pas lui détacher les mains. Je le mets au sol, à genoux, les fesses remontées. Je viens ensuite te prendre par la laisse et dirige ta bouche entre ses fesses. “Vas-y, lèche lui le cul!” Tu refuses, mais lorsque tu sens une baguette en bois venir s’écraser sur tes fesses et t’arracher un cri de douleur, tu commence à lécher le cul de Will. Tes mains sont enfin librérées, seul le collier et la laisse dans ma main te maintienne désormais prisonnière. “Branle le en même temps!”. Tu saisis sa queue pendante et commence à le branler tout en le léchant. Tu as l’impression de le traire…..
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Pendant ce temps, ma main s’invite à nouveau dans ta chatte trempée. Rapidement mon poing en entier est entré et commence à bouger à l’intérieur. Ta langue continue son exploration et la queue de Will est à nouveau gonflée de désir. Je me retire enfin lorsque tu finis par faire jouir Will une nouvelle fois. Son sperme s’écoule lentement sur le tapis de ton salon. Un objet tombe à côté de toi. Tu baisse les yeux et vois un gros gode-ceinture. “Oh non pas ça, pitié!”. Un nouveau coup de baguette s’écrase sur ton cul, puis un autre et encore un autre.
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Les larmes aux yeux, tu saisis le gode-ceinture et le mets. Will te supplie du regard en tentant de te parler à travers son bâillon. 2 coups supplémentaires sur tes fesses et te voilà en train de cracher sur le gode avant de lentement l’entrer en Will qui hurle de douleur. Tu ressors au moindre de ses mouvements  avant qu’un nouveau coup sur ton cul désormais écarlate ne te force à entrer à nouveau. Les coups s’arrêtent lorsque tu sens ma bite entrée à nouveau dans ton cul. Chacun de mes violents coup de reins, enfonce ton gode plus profondément dans le cul de Will.
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Après plusieurs minutes interminable à limer ton cul sauvagement, je ressors enfin et finis par jouir sur tes pieds. “Sors de son cul et mets-toi à quattre pattes!”. Tu obéis, choquée en voyant l’état du cul de ton chéri. S’était à n’en pas douter une première pour lui et à voir le regard méprisant qu’il te lance, il n’a pas apprécié. Je te menotte les mains autour du radiateur. “Venges-toi maintenant!”, Je détache Will qui caresse rapidement sa queue jusqu’à la faire durcir, avant de venir l’enfourner dans ton cul endolori par les multiples assauts subis. Le moindre de ses mouvements est douloureux et t’arrache un cris. Il ne ralentis pas, déversant toute sa colère sur ton cul, humilié par ton traitement précédent. Tu entends alors la porte claquée et constate que je ne suis plus là. “Tu peux arrêter, il est parti.” Mais Will, le regard fou de colère, continu à t’enculer. Après avoir jouis à nouveau, il te regarde, droit dans les yeux, te lançant: “Selon toi, Maya, qui l’avait laissé entrer?” avant qu’un sourire vicieux n’apparaisse sur son visage. Tu resteras attachée ainsi plusieurs heures encore, te faisant humilier et prendre de tous les côtés par Will qui abusera sans relâche de son plan.

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