vendredi 3 octobre 2014

[Fiction] Ballade en forêt

La semaine a été rude et ce vendredi de congé tombe à pic, l’un des rares avantages à travailler en horaires irréguliers. Tu te lève aux aurores, comme à ton habitude avec la ferme intention de profiter de cette journée pour te ressourcer. Le soleil automnale pointe le bout de son nez à travers la brume matinale. Une ballade matinale en forêt sera une belle manière de débuter la journée. Tu termine ton café et te dirige dans la salle de bains pour te préparer. Un discret passage dans ta chambre à coucher pour prendre des vêtements tout en faisant attention de ne pas réveiller ton mari qui dort encore pour une poignée de minutes avant de ne débuter sa journée de travail. Tu prends les vêtements et après un nouveau passage dans la salle de bains, te voilà prête pour une ballade. Tu enfile une paire de basket prends ton trousseau de clefs et quitte l’appartement. Ta voiture se dirige vers ton petit coin de paradis, un coin de forêt à quelques kilomètres de chez toi dont l’accès est dissimulé par un long chemin à travers champs. Cet endroit est presque toujours désert à part quelques habitués.

Arrivée sur place, tu gare ta voiture et cache le trousseau de clefs sous une pierre à proximité. Depuis que tu as passé des heures à chercher une clef perdue lors d’une ballade en forêt, il y a de cela plusieurs années, tu laisse désormais toujours tes clefs cachées à proximité. La fraîcheur matinale englobe ta peau de ses bras humides pendant que tu t’enfonces dans la forêt sur le petit sentier. Le soleil se fraye un chemin à travers les branches et réchauffe ton corps. Rapidement, tu retire ton pull que tu attaches autour de ta taille. Ton mari te reproche souvent de ne pas suffisamment te vêtir lorsque les températures commencent à baisser et si il te voyait avec ton pantalon trois-quarts et ton t-shirt par cette température, il ne manquerait certainement pas de manifester sa désapprobation.
“De toute façon il n’en saura rien” Penses-tu en souriant.
Ta ballade se poursuit dans le silence interrompu uniquement par les sons de la nature. Personne aux alentours, pas de téléphone portables ni de bruits de voiture, rien. Juste le silence. Ce genre de ballade est vraiment une bouffée d’air frais pour toi. Plus d’une heure et demi plus tard et te voilà de retour à ton point de départ. Ton planning de la journée est déjà tout réfléchit, retour à l’appartement où ton chéri ne sera déjà plus là, pour une bonne douche bien chaude avant de te poser sur ton balcon avec un bon livre entre les mains. Une petite salade à midi en compagnie de ton mari avant d’aller faire un petit tour en ville cet après-midi. Tu soulève la pierre et saisit ton trousseau de clefs. La voiture déverrouillée, tu t’y installe. La clef de contact tourne, mais le moteur de démarre pas. Rien pas un bruit! Tu cogne ton front contre le volant en prononçant autant d’insultes et de jurons que l’exige la situation. Cette voiture n’es vieille que de quelques mois et déjà elle pose problème et aucun téléphone portable à disposition bien sûr. Tu décroche le capot et sort de la voiture, dépitée, en disant à haute voix: “De toute façon tu n’y connais rien en mécanique! Tu espère arriver à réparer une voiture???”. Tu soulève le capot et l’accroche avant de rester l’air ébahi devant la mécanique. Ton regards tombe immédiatement sur une fleur posée là, au milieu du moteur. Une rose noire. Tu la saisit et un petit papier blanc en tombe directement. Tu te regarde, tétanisée, le papier au sol pendant que la rose noire glisse entre tes doigts avant de rejoindre la terre elle aussi.

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Un bras t’encercle aussitôt et une main étouffe ta bouche. Tu ne parviens pas à bouger et seul un cris de stupeur démontre une réaction de ta part. Tu as l’impression que ton coeur va sortir de ta poitrine tellement il bat fort. Tes poignets sont attachés ensemble dans ton dos lorsque tu reprends enfin le contrôle de ton corps et essaie en vain de te débattre. Tu commence à hurler, mais aussitôt ta bouche est recouverte d’un adhésif qui étouffe tes cris. Tu te retourne et me regarde apeurée. Tout de noir vêtu avec une cagoule sur la tête, tu ne parviens pas à savoir qui je suis ni à quoi je ressemble. Tu tentes de reculer pour t’enfuir, mais tu trébuches sur une racine. Assis au sol, tu me regarde fermer le capot de ta voiture avant de la verrouiller et de poser les clefs derrière la roue avant gauche. Je me penche vers toi et te relève par le bras. Je t’entraîne alors dans le bois. Ma main te tire fermement et tu trébuche régulièrement. Après quelques minutes nous arrivons dans une petite clairière où une croix en bois et des cordes attendent. Je te jette au sol et te retire tes chaussures. Tu te débats et aussitôt j’arrache le bouton de ton pantalon. Je le fais glisse le long de tes jambes qui se débattent puis je déchire ton t-shirt en lambeaux dévoilant ta poitrine nue de tout soutiens-gorge. Lorsque je saisis ton string, tu te trémousse pour m’empêcher. Agacer, je l’arrache aussitôt et tu te retrouve ainsi nue sur le sol glacé. Je te traîne jusque devant la croix et te libère les mains quelques secondes avant que la cordes ne vienne les lier à la base de la croix. Je tire tes hanches en avant puis soulève ta jambe droite et attache ta cheville avec l’une des cordes présente puis je fais de même avec ta cheville gauche. Je retire l’adhésif d’un geste brusque libérant ta bouche puis je recule pour observer le spectacle.

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Non!!! Pitié libérez-moi! A l’aide !!!!!!!!!!!
Fermes la!
A peine commences-tu à crier à nouveau que je m’approche de toi en déboutonnant mon pantalon. Ma queue jaillit, dressée et gonflée de désir.
Nooooooooonnnnnn!!!!!
Je me place devant ton visage et pousse ma queue entre tes lèvres qui restent closes. Je tire sur tes cheveux et force l’entrée. Ma queue glisse entre tes lèvres jusqu’à devenir étouffante. De longs va-et-vient s’ensuivent dès lors et mes mains maintiennent toujours ta tête. J’enfonce ma bite au plus profond de ta bouche te provoquant des haut-le-coeur. D’interminables minutes plus tard, ma queue gonfle encore plus et explose dans ta bouche. Le sperme en envahit les moindres recoins avant de sortir et finir de cracher son plaisir sur ton visage. Le liquide s’écoule de ta bouche sur tes seins. Ton visage souillé par le sperme s’abaisse, honteux, alors que je recule pour admirer mon oeuvre. Mon pantalon reboutonné, je vient me placer derrière toi. Tu ne parviens pas à tourner suffisamment la tête pour me voir. Tu tente de te détacher, mais aussitôt une branche de sapin vient s’écraser sur ton flanc. Les épines t’arrachent un hurlement de douleur.
Ne bouge pas, reste bien tranquille petite salope!
Un second coup finit de te faire accepter mes directives. Une larme s’écoule lentement sur ta joue, se mélangeant au sperme encore présent sur ton visage.
Les douleurs dues à la position et au terrain deviennent de plus en plus difficiles à supporter, mais à peine fais-tu un mouvement un tant soit peu important que la crainte d’un nouveau coup t’envahit. Tu n’es même plus en mesure de savoir si je suis encore derrière toi ou non. Le soleil caresse ta peau contrastant ainsi avec le sol froid sur lequel tu gît.
Cette attente paraîtra durer une éternité. Une branche craque derrière toi et me voici à nouveau devant toi. Toujours cagoulé, je retire mon pantalon et vient me mettre devant toi. Ma queue vient à nouveau devant ta bouche.
Suce la!
A peine le temps de voir la branche dans ma main droite que tu avale le morceau de chair ramollit et commence à le sucer. Rapidement la queue se durcit puis quitte ta bouche. Je ta bouche vers mes couilles et te tenant par les cheveux attend de voir ta langue sortir de ta bouche et les lécher avec application. Je t’oblige à les lécher en alternance avec ma queue. Rapidement ta salive s’écoule en abondance sur ma bite. Je recule et m agenouille devant toi. Je pose ma main sur ta chatte et y plonge deux doigts qui en ressortent trempés de ton désir.
J’ai l’impression que tu aimes ça?!
Un timide signe de la tête tout en baissant les yeux me servent de réponse. Je pose dès lors ma main sur ton clito et commence à le frotter à toute vitesse. Ton souffle s’accélère de plus en plus et en quelques minutes de ce traitement t’arrache un violent orgasme. Tes cris raisonnent dans la forêt alors que le plaisir s’écoule de ta chatte. De petits spasmes agitent tes jambes pendant que tu reprends ton souffle. Ma queue plonge alors dans ta chatte inondée et rapidement le désir remonte en tes reins. L’orgasme précédent t’a amené à un tel niveau d’excitation que tu ne parviens plus à te retenir. Tes cris de plaisirs et tes soupirs se multiplient de plus en plus et en quelques minutes de va-et-vient ma queue se retrouve inondée de ta nouvelle jouissance. Ces deux orgasmes à quelques minutes d’intervalles t’ont épuisé et déstabilisé. Ma queue quitte ta chatte te laissant relâcher un soupir de soulagement aussitôt stoppé par ma queue qui se presse à l’entrée de ton cul.
Non ! Pas ça ! Pitié ! Venez dans ma bouche ou dans ma chatte, mais pas dans mon cul, pitié !!!
Tu bouge les hanches pour tenter de m’empêcher mais mes mains viennent maintenir tes hanches pendant que ma queue entre lentement dans ton cul. Les sécrétions de tes précédents orgasmes sur ma bite facilitent un peu la pénétration. Ton cul serré n’est pas habitué à ce genre de traitement et la pénétration se fais difficilement. Puis commencent les interminables va-et-vient jusqu’à ce que ton cul s’ouvre de plus en plus. Des râles de douleurs s’échappent de ta bouche alors que la vitesse et la force augment encore. Les râles laissent place à des cris de douleurs. Je finis enfin par jouir dans ton cul avant de ressortir ma queue, souillée de foutre et de la plonger dans ta bouche. Tu t'efforces de la sucer sans penser à l’endroit dans lequel elle se trouvait il y a quelques secondes jusqu’à ce qu’elle quitte enfin ta bouche. Tu sens le liquide chaud s’écouler de ton cul dilaté et rougit de douleur alors que je remets mon pantalon.
Rentre vite, ton mari va arriver…
Je libère tes mains et m’éloigne alors que tu t’empresses de détacher tes chevilles. Tu te relève enfin, nue et ramasse les vêtements qu’il te reste. Ton t-shirt est en lambeaux, dès lors tu mets directement ton pull sur ta poitrine nue et souillée. Tu ne parviens pas à retrouver ton string, qui de toute façon était lui aussi destiné à la poubelle. Tu enfile ton trois-quart et tes baskets tout en regardant aux alentours si je suis encore là. Puis tu t'empresses de retourner à ta voiture en regardant par dessus ton épaule, sursautant au moindre bruit. Tu prends les clefs derrière la roue et t’enferme dans ta voiture. Ton cul te brûle et le simple fait d’être assise te rappel le traitement auquel tu as eu droit. Ton pantalon beige mouillé par les différents fluides laisse apparaître quelques tâches d’humidité. Tu tourne la clef et entend le moteur démarrer au quart de tour alors que la panne de toute à l’heure trouve son explication en un sabotage de ma part. Tu quitte la forêt et rejoins ton appartement à toute allure pour arriver avant ton mari. A peine entrée, dans la chambre que tu entends ton mari arriver. Tu enfile un string, un pantalon et un pull en vitesse sans avoir eu le temps de te débarbouiller pleinement. Le repas de midi est un véritable supplice tant tu te sens souillée et ton cul te fais horriblement souffrir. Tu parviens à sauver les apparences et lorsque ton mari t’embrasse avant de partir travailler, tu ne peux t’empêcher de penser à ce qui est passé dans ta bouche plus tôt dans la journée...

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