vendredi 28 novembre 2014

[Fiction] Camarade bourgeoise

       Les mains expertes de ton masseur habituel glissent sur ton dos nu. L’huile, au parfum enivrant, te relaxe entièrement. Quel divin moment que celui-ci. Tu apprécie tant le jeudi après-midi pour cette raison. L’un des nombreux avantages d’être une femme entretenue. Ton mari possédant une importante entreprise vous assurant ainsi une situation financière extrêmement confortable, tu n’as pas à travailler et tu dispose donc d’un temps libre conséquent. L’heure s’écoule à une vitesse folle et déjà vient l’heure de quitter la table de massage. Tu enroule la serviette autour de ton corps et rejoins le sauna qui achève de te détendre totalement. Une douche bien chaude et te voilà en train de t’habiller. Tu revêtis ton string noir puis le soutien-gorge assorti. Cet ensemble Chantal Thomas t’a été offert par ton mari il y’a quelques semaines et te sied particulièrement bien. La fine dentelle recouvre légèrement ta peau alors que la faible transparence du string laisse deviner un pubis orné d’une légère toison soignée par ton esthéticienne. Tu dépose délicatement ton pied à la manucure parfaite dans le premier de tes bas que tu déroule soigneusement jusqu’à tes cuisses. Tu fais de même avec l’autre jambe. Ta robe rouge glisse le long de ton corps pour recouvrir tes cuisses et descendre au dessus de tes genoux. Tes chaussures de marque enfilées et après un long passage devant le miroir pour coiffer tes longs cheveux blonds et te maquiller, te voilà enfin prête à quitter le vestiaire. L’hôtesse à l’accueil t’adresse un large sourire accompagné d’un “Bonne fin de journée Madame.” auxquels tu réponds avec un léger hochement de tête. Assise dans ton cabriolet, tu roules en direction de la maison, le soleil caressant ta peau bronzée. 
       Arrivée dans la longue allée de gravier, tu te gare devant votre grande demeure. Tu entre dans la maison et croise la domestique qui a terminé son travail peu de temps avant et attendait ton retour pour pouvoir rentrer chez elle. Tu ne la regarde même pas et lorsqu’elle part enfin en t’indiquant que ton repas du soir se trouve dans le réfrigérateur, tu ouvre largement la fenêtre donnant sur la terrasse et t’y installe avec un verre de vin. Ton mari étant en déplacement à l’étranger, te voilà seule pour la troisième soirée consécutive. Il en rentrera que tôt demain matin. Tu ouvres le courrier tout en buvant le délicieux nectar. Le verre terminé, tu te dirige vers la cuisine pour le remplir à nouveau. Tu dépose ton verre sur l’îlot de la cuisine et monte les escaliers en direction du dressing pour y ranger tes chaussures. Tu redescendes les marches et te dirige à nouveau vers la cuisine pour y récupérer ton verrede vin. En tendant la main pour le saisir, tu vois une carte de visite glissée sous le pied du verre. Tu saisis le morceau de papier et le retourne lentement, les mains tremblantes...




       Ton corps tout entier semble parcouru par une décharge électrique. Tes doigts s’écartent, laissant tomber la carte sur le sol alors que tu recule d’un pas. Tu te retourne et observe la porte de la terrasse restée ouverte. Voici qu’elle est désormais fermée… Puis tu vois ma silhouette avancer lentement en ta direction. Vêtu entièrement de noir et masqué par une cagoule, cette vision te glace le sang et tu t'enfuies immédiatement en courant en direction de l’étage. Tes bas glissent sur le sol et tu évites la chute de justesse à plusieurs reprises alors que tu entends mes pas derrière toi. Tu enjambes les marches deux à deux jusqu’à finir par trébucher sur l’une d’elle. Au moment où tu prends appuis sur tes mains pour te relever, une main agrippe ta cheville et te tire vers le bas de l’escalier.


        “Au secours!!!! A l’aide!”


       Mais hélas pour toi, votre propriété est trop vaste pour espérer qu’un voisin ne puisse entendre tes appels au secours. Ma main gauche enroule ton cou pendant que je remonte ta robe, dévoilant tes fesses dorées et ton string en dentelles.


        “Pitié!”


       J’arrache ton string violemment et plonge mes doigts dans ta chatte. Tu te débats mais à chaque fois, la sentence est la même, tu sens mes mains presser ta gorge et t’empêcher de respirer. Mes doigts continus de fouiller ton intimité durant quelques secondes encore puis tu sens mes doigts quitter ta chatte pour ouvrir la braguette de mon pantalon et libérer ma queue. Tu l’observe par dessus ton épaule, le visage plaqué contre les marches, jaillissant par l’ouverture. Enjambant tes fesses, je pose mon gland entre tes lèvres et commence à l’enfoncer. Ta chatte à peine mouillée souffre. Les mouvements deviennent de plus en plus profonds et tes cris n’y changent rien. Ma seconde main rejoint la première sur ton cou. Tes mains tentent de me repousser mais rien à faire, ton corps plaqué sur l’escalier ne parvient à se dégager alors que mes assauts s’amplifient encore. Tu sens malgré toi la chaleur envahir lentement le creux de tes reins alors que ta chatte commence à se tremper intégralement. Mes coups de queue deviennent de plus en plus violents. Après quelques minutes supplémentaires, un orgasme explose dans ton bas ventre. Les cris raisonnent dans la maison vide…


        “Je vois que tu aimes ça ma petite bourge…”


       Tu baisse le visage, honteuse d’un tel plaisir… Je te retourne alors sur le dos et déchire ta robe. Les lambeaux de tissus ne cachent plus ton corps. Ton soutien-gorge connait le même sort. Mes genoux se posent sur tes bras, les maintenant plaqués alors que mes mains empoignent ta tête. Ma queue se présente devant ta bouche. Tu proteste à l’aide d’un mouvement de la tête que je stoppe net. Je frotte ma queue sur ton visage, y essuyant les traces de ton orgasme. Mon gland se pose contre tes lèvres qui s'entrouvrent aussitôt que je tire ton visage par les cheveux. Je plonge alors fortement ma queue dans ta bouche, maintenant fermement ta tête par les cheveux. Tu avale bien malgré toi ma bite imbibée du goût de ta chatte. Le rythme intense dans ta bouche ne te laisse pas le temps d’avaler la salive et rapidement ma queue et trempée. Je la frotte à nouveau sur ton visage ce qui commence à faire couler ton maquillage… J’enfourne mes couilles dans ta bouche avant d’y replonger ma queue… L’une de mes mains maltraite ta poitrine alors que le rythme endiablé et la profondeur à laquelle j’enfourne ma bite te provoque des haut-le-cœur. Quelques instants plus tard, ma queue ressort et explose sur ton visage. De longs jets de sperme viennent s’écrouler sur tes lèvres et tes joues…


       “Vous avez eu ce que vous vouliez, partez maintenant!”


       Je me relève et reboutonne mon pantalon en t’observant ainsi, souillée au milieu de lambeaux de vêtements ne restant que tes bas intacts, couchée dans l’escalier. Je ramasse ton string déchiré et m’en sert pour essuyer la mouille entre tes cuisse ainsi que le sperme sur ton visage. J’enroule le morceau de tissu trempé et le plonge dans ta bouche que je recouvre aussitôt d’un morceau de cuir qui maintient le tout. Je te retourne et attache tes mains ensembles à l’aide d’une paire de menottes avant d’approcher ma bouche de ton oreille et de te murmurer très lentement:


        “Ce n’était là que le prélude.”


       Tu tentes de marmonner au travers de ce bâillon mais en vain et déjà je te relève et te dirige au bas de l’escalier. Le goût amer de ton string envahit ta bouche. Ce mélange de cyprine et de sperme semble s’ancrer au moindre millimètre de chair. Je te dirige vers le bureau de ton mari… La porte s’ouvre et dévoile une grande pièce dans laquelle sied un grand bureau en cerisier accompagné d’un fauteuil en cuir. Dans le coin opposé se trouvent  un fauteuil et un canapé en velours vert autour d’une table basse assortie au bureau, le tout posé sur un tapis d’orient. Tout y est soigneusement rangé. Je t'agenouilles sur le canapé et attache les menottes au canapé. Une seconde paire vient maintenir ton autre main. Tu m’observe quitter la pièce et revenir quelques instants plus tard avec un grand sac noir. Je le pose derrière toi et en ressort une longue corde qui commence à s’enrouler autour de ton corps tel une araignée tissant sa toile. Tes hanches, tes genoux puis tes chevilles sont rapidement liés au canapé. La corde passant derrière ton cou, ton visage est maintenu plaqué contre le tissu qui déjà laisse apparaître les premières marques de salive que tu ne parviens pas à avaler à cause du bâillon dans ta bouche. En levant les yeux, tu constate que tu fais face à la bibliothèque sur laquelle figurent plusieurs photos où apparaissent ton mari. Tu entends à nouveau que je sors des objets du sac posé au sol. S’en suit alors plusieurs sons métalliques que tu ne parviens pas à identifier. La réponse viendra lorsque tu sentira un objet arrondi venir s’appuyer contre ton vagin. Du coin de l’œil tu parviens à distinguer un support métallique auquel est fixé un objet que tu ne discerne pas… Un petit “clic” et cette boule en silicone se met à délivrer d’intenses vibrations. Tu tentes de te dégager de l’emprise de cet objet, mais les liens sont disposés de façon à t’en empêcher.




       Tu me vois venir m’asseoir sur le fauteuil à côté de toi et t’observer ainsi. Rouge de honte, tu ne peux te cacher et tu ferme les yeux pour tenter d’oublier la situation. Mais les vibrations ne l'interrompent pas et tu sens rapidement ta chatte se tremper à nouveau. Ta respiration accélère et tu essaies en vain de réprimer cet orgasme qui arrive… Tu hurle de plaisir au travers de ton bâillon alors que des vagues de jouissance envahissent ta chatte. Les jambes tremblantes, tu tentes de reprendre tes esprits, mais les vibrations ne cessent. Aucun répit ne t’est donné et lorsque je retire enfin le string dans ta bouche, tu me supplie d’arrêter:


        “Pitié!!! Arrêtez ça !!!!!”


       Ton string trempé tombe sur le canapé si délicat. Le goût toujours ancré dans ta bouche ne semble pas prêt à se dissiper… Je replonge ma main dans le sac et en ressort un gros plug que je pose sur le canapé sous ton visage.


        “Dans ton intérêt, il vaudrait mieux que tu le trempe avec ta salive avant qu’il n’entre dans ton cul d’ici quelques secondes.”


        “Nooooooon pas ça!!!!”


       Mais lorsque j’augmente encore d’un cran le niveau des vibrations entre tes cuisses avant de retourner m’asseoir sur le fauteuil pour t’observer, tu comprends que tes supplications resteront veines. Tu commence alors à laisser timidement s’écouler quelques jet de salive qui tombent maladroitement sur le plug pour la plupart. Les vibrations sont vraiment forte et tu sens ta chatte ruisseler le long de tes cuisses. Tu sens un nouvel orgasme arriver, mais celui-ci semble venir de bien plus loin, plus intense, plus fort. Une explosion de plaisir jaillit entre tes cuisses accompagné de hurlements de plaisir. La cyprine jaillit de ta chatte en longs jets sous tes yeux médusés… Tu ne te savais pas capable d’une telle chose. Complètement en transe la salive s’écoule abondamment de ta bouche et trempe le plug et le canapé. Tu récupère péniblement ton souffle lorsque je viens éteindre les vibrations, enfin… Ton corps tout entier tremble et ta chatte continue de ruisseler le long de tes cuisses. Je saisis le plug noyé sous ta salive et me dirige derrière toi lentement, comme pour faire durer le supplice. Le plug vient se déposer sur ton petit trou tout serré.


        “Nooooooooooo arrêtez !!!!!”


       Tandis que déjà la large pièce commence à forcer l’entrer dans ton cul. Millimètre par millimètre, tu sens ton anus s’ouvrir bien malgré toi alors que tes supplications ne cessent d’implorer ma clémence. Bien que trempé de ta salive, l’objet entre très péniblement et douloureusement. Tu n’es pas habituée à de tels traitements et cela fait bien longtemps que tu ne pratiques plus l’anal. Depuis que tu es avec ton cher mari à vrai dire… Ton cul en feu te torture et lorsque tu sens enfin le plug venir se placer intégralement dans ton anus, tu lâche un râle de soulagement et de douleur. Tu reste immobile, le moindre mouvement étant trop douloureux. Je dispose un second MagicWand qui vient appuyer sur le plug et l’allume. Les vibrations se transmettent dans tout ton corps et tu peines à dissimuler tes cris et la situation empire lorsque j’active les vibrateur plaquer contre ta chatte… Te voilà déjà en train de perdre à nouveau pied et de te laisser abandonner à ces plaisirs. Les vibrations sur ton cul brûlant et tellement rempli te procurent un mélange de sensations particulier. La douleur est importante, l’humiliation de la situation est insoutenable mais l’excitation est si intense… Et que dire des vibrations sur ta chatte qui ruisselle le long de des cuisses. Je me positionne devant toi de l’autre côté du canapé et te présente ma bite dressée. Totalement en transe, tu commence aussitôt à sucer avidement ma bite sans que je n’ai besoin de te le demander. Ma queue gonfle encore sous tant de ferveur. Tes hurlements de plaisirs sont étouffés par ma queue et lorsque l’orgasme suivant approche, je sens ta bouche se refermer fortement autour de ma queue avant d’entendre un hurlement raisonner durant plusieurs secondes. Je retire ma queue et me dirige derrière toi. Tes jambes sembles parcourues par des petits spasmes et le canapé ainsi que le tapis sont entièrement trempés. Ton dernier orgasme a une nouvelle fois expulsé ta jouissance hors de ta chatte. Je stoppe les deux vibrateurs et les retire. J’observe ton corps se tortillant encore sous l’excitation. Je pose ma queue à l’entrée de ta chatte et l’enfonce violemment au plus profond. Un cris de satisfaction s’échappe de ta bouche alors que les assauts commencent. Le bruit de mes couilles heurtant ta chatte trempée entremêlé à tes gémissements raisonnent dans la pièce. Chacun de mes mouvements bouge le plug dans ton cul et du même coup augmente encore plus ton excitation. Sentant ta chatte se serrer et ton souffle s’accélérer, je ressors aussitôt ma queue et cesse tout mouvement. Ton bassin bouge comme pour rechercher ma queue afin qu’elle termine ce qu’elle a commencer mais en vain. Mais doigts s’emparent du plug et commencent à le sortir lentement de ton cul qui termine de l’expulser, enfin libéré de cette emprise. J’écarte tes fesses et observe quelques instant ton cul encore ouvert. Je frotte ma bite entre les lèvres de ta chatte pour la tremper encore plus et pose ma queue à l’entrée de ton cul.


       Stop! Pas ça!


       Mais déjà ma queue pénètre dans ton cul avec une facilité déconcertante. Le plug a vraiment bien fait son travail et rapidement je commence à entreprendre de longs va-et-vient. Je donne des coups de rein de plus en plus forts et c’est à ta grande surprise que tu sens l’excitation monter à nouveau en toi. Ma queue maltraitant ton cul alors que mes couilles heurtent ta chatte. Lorsque ton regards croise à nouveau la photo de ton mari, tu as l’impression qu’il te regarde, choqué de te voir prise ainsi prendre tant de plaisir en te faisant enculer par un inconnu. Cette image monte encore l’excitation et tu finis par jouir une nouvelle fois. C’est la première fois que tu jouis en te faisant prendre par derrière et cette idée te déstabilise particulièrement. Une fois l’orgasme passé, la douleur reprend le dessus et les violents coup de queue commencent à te faire souffrir de plus en plus. Tu es soulagée de sentir ma bite quitter ton cul, mais à peine le temps de souffler que déjà elle y replonge intégralement. Ce petit supplice continuera encore à quelques reprises avant que je ne finisse par t’enculer de toutes mes forces. Le rythme et la violence des pénétrations t’arraches des cris de douleurs et de supplication et lorsqu’enfin tu sens ma queue quitter ton cul et éjaculer sur tes fesses, le soulagement est immense. Le sperme coule sur tes fesses, lentement, descendant le long de tes cuisses. Ma bite vient se poser une nouvelle fois devant ton visage.


        Nettoie ma bite!


Tu ferme la bouche, dégoûtée.


        Tu refuse de goûter à ton cul c’est ça?


       Tu hoches la tête. Je reprends le plug dans ma main et le dressant devant tes yeux écarquillés, te dis:


        Je penses qu’il va falloir que je te remette une nouvelle fois à ta place.


Je ré-’introduis alors lentement le plug dans ton cul.



        Non! Arrêtez, pas ça, pas encore !!!!


       Le plug est rapidement en toi et après avoir donner 5 grosses claques sur chacune de tes fesses, je reviens positionner ma queue devant ton visage.


        Et maintenant, tu veux goûter ton cul petite bourge?


        Oui, je veux le goûter. Donnez moi votre queue mais par pitié arrêtez.


       Tu prends timidement ma queue dans ta bouche en faisant abstraction du goût. Ma queue ramollie entre entièrement dans ta bouche, la remplissant entièrement, ton cul quant à lui toujours maltraité par le plug. Tu lèche avec application la queue et les couilles devant toi. Puis je me retire et boutonne mon pantalon. Je récupère mes affaires que je range calmement dans mon sac. Je retire le plug et le range également. Puis enfin je te retire les menottes.


        Je te laisse le soin de te détacher toute seule


       Puis je quitte la pièce sans même prendre la peine de te regarder. Tu entends la porte d’entrée claquer. Tu t’affaires aussitôt à te détacher, ce qui te prendre plusieurs minutes. Une fois relevée, tu constate l’étendue des dommages. Le canapé et le tapis sont trempés. Des morceaux de tissus jonchent un peu partout sur le sol et dans les escaliers. Ton cul te fais atrocement souffrir mais pas le temps à perdre, ton mari rentre demain dans la matinée et tu dois ranger tout ça. Tu passeras une grande partie de la soirée et de la nuit à savonner le bureau de fond en comble. Une longue douche suivie d’une courte nuit et le voilà déjà de retour, venant t’embrasser comme accoutumée.


       Depuis cette soirée, tu ne peux plus rentrer dans le bureau de ton mari sans revoir les humiliations subies ici et ressentir un doux frisson te parcourir le corps,


   


vendredi 3 octobre 2014

[Fiction] Ballade en forêt

La semaine a été rude et ce vendredi de congé tombe à pic, l’un des rares avantages à travailler en horaires irréguliers. Tu te lève aux aurores, comme à ton habitude avec la ferme intention de profiter de cette journée pour te ressourcer. Le soleil automnale pointe le bout de son nez à travers la brume matinale. Une ballade matinale en forêt sera une belle manière de débuter la journée. Tu termine ton café et te dirige dans la salle de bains pour te préparer. Un discret passage dans ta chambre à coucher pour prendre des vêtements tout en faisant attention de ne pas réveiller ton mari qui dort encore pour une poignée de minutes avant de ne débuter sa journée de travail. Tu prends les vêtements et après un nouveau passage dans la salle de bains, te voilà prête pour une ballade. Tu enfile une paire de basket prends ton trousseau de clefs et quitte l’appartement. Ta voiture se dirige vers ton petit coin de paradis, un coin de forêt à quelques kilomètres de chez toi dont l’accès est dissimulé par un long chemin à travers champs. Cet endroit est presque toujours désert à part quelques habitués.

Arrivée sur place, tu gare ta voiture et cache le trousseau de clefs sous une pierre à proximité. Depuis que tu as passé des heures à chercher une clef perdue lors d’une ballade en forêt, il y a de cela plusieurs années, tu laisse désormais toujours tes clefs cachées à proximité. La fraîcheur matinale englobe ta peau de ses bras humides pendant que tu t’enfonces dans la forêt sur le petit sentier. Le soleil se fraye un chemin à travers les branches et réchauffe ton corps. Rapidement, tu retire ton pull que tu attaches autour de ta taille. Ton mari te reproche souvent de ne pas suffisamment te vêtir lorsque les températures commencent à baisser et si il te voyait avec ton pantalon trois-quarts et ton t-shirt par cette température, il ne manquerait certainement pas de manifester sa désapprobation.
“De toute façon il n’en saura rien” Penses-tu en souriant.
Ta ballade se poursuit dans le silence interrompu uniquement par les sons de la nature. Personne aux alentours, pas de téléphone portables ni de bruits de voiture, rien. Juste le silence. Ce genre de ballade est vraiment une bouffée d’air frais pour toi. Plus d’une heure et demi plus tard et te voilà de retour à ton point de départ. Ton planning de la journée est déjà tout réfléchit, retour à l’appartement où ton chéri ne sera déjà plus là, pour une bonne douche bien chaude avant de te poser sur ton balcon avec un bon livre entre les mains. Une petite salade à midi en compagnie de ton mari avant d’aller faire un petit tour en ville cet après-midi. Tu soulève la pierre et saisit ton trousseau de clefs. La voiture déverrouillée, tu t’y installe. La clef de contact tourne, mais le moteur de démarre pas. Rien pas un bruit! Tu cogne ton front contre le volant en prononçant autant d’insultes et de jurons que l’exige la situation. Cette voiture n’es vieille que de quelques mois et déjà elle pose problème et aucun téléphone portable à disposition bien sûr. Tu décroche le capot et sort de la voiture, dépitée, en disant à haute voix: “De toute façon tu n’y connais rien en mécanique! Tu espère arriver à réparer une voiture???”. Tu soulève le capot et l’accroche avant de rester l’air ébahi devant la mécanique. Ton regards tombe immédiatement sur une fleur posée là, au milieu du moteur. Une rose noire. Tu la saisit et un petit papier blanc en tombe directement. Tu te regarde, tétanisée, le papier au sol pendant que la rose noire glisse entre tes doigts avant de rejoindre la terre elle aussi.

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Un bras t’encercle aussitôt et une main étouffe ta bouche. Tu ne parviens pas à bouger et seul un cris de stupeur démontre une réaction de ta part. Tu as l’impression que ton coeur va sortir de ta poitrine tellement il bat fort. Tes poignets sont attachés ensemble dans ton dos lorsque tu reprends enfin le contrôle de ton corps et essaie en vain de te débattre. Tu commence à hurler, mais aussitôt ta bouche est recouverte d’un adhésif qui étouffe tes cris. Tu te retourne et me regarde apeurée. Tout de noir vêtu avec une cagoule sur la tête, tu ne parviens pas à savoir qui je suis ni à quoi je ressemble. Tu tentes de reculer pour t’enfuir, mais tu trébuches sur une racine. Assis au sol, tu me regarde fermer le capot de ta voiture avant de la verrouiller et de poser les clefs derrière la roue avant gauche. Je me penche vers toi et te relève par le bras. Je t’entraîne alors dans le bois. Ma main te tire fermement et tu trébuche régulièrement. Après quelques minutes nous arrivons dans une petite clairière où une croix en bois et des cordes attendent. Je te jette au sol et te retire tes chaussures. Tu te débats et aussitôt j’arrache le bouton de ton pantalon. Je le fais glisse le long de tes jambes qui se débattent puis je déchire ton t-shirt en lambeaux dévoilant ta poitrine nue de tout soutiens-gorge. Lorsque je saisis ton string, tu te trémousse pour m’empêcher. Agacer, je l’arrache aussitôt et tu te retrouve ainsi nue sur le sol glacé. Je te traîne jusque devant la croix et te libère les mains quelques secondes avant que la cordes ne vienne les lier à la base de la croix. Je tire tes hanches en avant puis soulève ta jambe droite et attache ta cheville avec l’une des cordes présente puis je fais de même avec ta cheville gauche. Je retire l’adhésif d’un geste brusque libérant ta bouche puis je recule pour observer le spectacle.

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Non!!! Pitié libérez-moi! A l’aide !!!!!!!!!!!
Fermes la!
A peine commences-tu à crier à nouveau que je m’approche de toi en déboutonnant mon pantalon. Ma queue jaillit, dressée et gonflée de désir.
Nooooooooonnnnnn!!!!!
Je me place devant ton visage et pousse ma queue entre tes lèvres qui restent closes. Je tire sur tes cheveux et force l’entrée. Ma queue glisse entre tes lèvres jusqu’à devenir étouffante. De longs va-et-vient s’ensuivent dès lors et mes mains maintiennent toujours ta tête. J’enfonce ma bite au plus profond de ta bouche te provoquant des haut-le-coeur. D’interminables minutes plus tard, ma queue gonfle encore plus et explose dans ta bouche. Le sperme en envahit les moindres recoins avant de sortir et finir de cracher son plaisir sur ton visage. Le liquide s’écoule de ta bouche sur tes seins. Ton visage souillé par le sperme s’abaisse, honteux, alors que je recule pour admirer mon oeuvre. Mon pantalon reboutonné, je vient me placer derrière toi. Tu ne parviens pas à tourner suffisamment la tête pour me voir. Tu tente de te détacher, mais aussitôt une branche de sapin vient s’écraser sur ton flanc. Les épines t’arrachent un hurlement de douleur.
Ne bouge pas, reste bien tranquille petite salope!
Un second coup finit de te faire accepter mes directives. Une larme s’écoule lentement sur ta joue, se mélangeant au sperme encore présent sur ton visage.
Les douleurs dues à la position et au terrain deviennent de plus en plus difficiles à supporter, mais à peine fais-tu un mouvement un tant soit peu important que la crainte d’un nouveau coup t’envahit. Tu n’es même plus en mesure de savoir si je suis encore derrière toi ou non. Le soleil caresse ta peau contrastant ainsi avec le sol froid sur lequel tu gît.
Cette attente paraîtra durer une éternité. Une branche craque derrière toi et me voici à nouveau devant toi. Toujours cagoulé, je retire mon pantalon et vient me mettre devant toi. Ma queue vient à nouveau devant ta bouche.
Suce la!
A peine le temps de voir la branche dans ma main droite que tu avale le morceau de chair ramollit et commence à le sucer. Rapidement la queue se durcit puis quitte ta bouche. Je ta bouche vers mes couilles et te tenant par les cheveux attend de voir ta langue sortir de ta bouche et les lécher avec application. Je t’oblige à les lécher en alternance avec ma queue. Rapidement ta salive s’écoule en abondance sur ma bite. Je recule et m agenouille devant toi. Je pose ma main sur ta chatte et y plonge deux doigts qui en ressortent trempés de ton désir.
J’ai l’impression que tu aimes ça?!
Un timide signe de la tête tout en baissant les yeux me servent de réponse. Je pose dès lors ma main sur ton clito et commence à le frotter à toute vitesse. Ton souffle s’accélère de plus en plus et en quelques minutes de ce traitement t’arrache un violent orgasme. Tes cris raisonnent dans la forêt alors que le plaisir s’écoule de ta chatte. De petits spasmes agitent tes jambes pendant que tu reprends ton souffle. Ma queue plonge alors dans ta chatte inondée et rapidement le désir remonte en tes reins. L’orgasme précédent t’a amené à un tel niveau d’excitation que tu ne parviens plus à te retenir. Tes cris de plaisirs et tes soupirs se multiplient de plus en plus et en quelques minutes de va-et-vient ma queue se retrouve inondée de ta nouvelle jouissance. Ces deux orgasmes à quelques minutes d’intervalles t’ont épuisé et déstabilisé. Ma queue quitte ta chatte te laissant relâcher un soupir de soulagement aussitôt stoppé par ma queue qui se presse à l’entrée de ton cul.
Non ! Pas ça ! Pitié ! Venez dans ma bouche ou dans ma chatte, mais pas dans mon cul, pitié !!!
Tu bouge les hanches pour tenter de m’empêcher mais mes mains viennent maintenir tes hanches pendant que ma queue entre lentement dans ton cul. Les sécrétions de tes précédents orgasmes sur ma bite facilitent un peu la pénétration. Ton cul serré n’est pas habitué à ce genre de traitement et la pénétration se fais difficilement. Puis commencent les interminables va-et-vient jusqu’à ce que ton cul s’ouvre de plus en plus. Des râles de douleurs s’échappent de ta bouche alors que la vitesse et la force augment encore. Les râles laissent place à des cris de douleurs. Je finis enfin par jouir dans ton cul avant de ressortir ma queue, souillée de foutre et de la plonger dans ta bouche. Tu t'efforces de la sucer sans penser à l’endroit dans lequel elle se trouvait il y a quelques secondes jusqu’à ce qu’elle quitte enfin ta bouche. Tu sens le liquide chaud s’écouler de ton cul dilaté et rougit de douleur alors que je remets mon pantalon.
Rentre vite, ton mari va arriver…
Je libère tes mains et m’éloigne alors que tu t’empresses de détacher tes chevilles. Tu te relève enfin, nue et ramasse les vêtements qu’il te reste. Ton t-shirt est en lambeaux, dès lors tu mets directement ton pull sur ta poitrine nue et souillée. Tu ne parviens pas à retrouver ton string, qui de toute façon était lui aussi destiné à la poubelle. Tu enfile ton trois-quart et tes baskets tout en regardant aux alentours si je suis encore là. Puis tu t'empresses de retourner à ta voiture en regardant par dessus ton épaule, sursautant au moindre bruit. Tu prends les clefs derrière la roue et t’enferme dans ta voiture. Ton cul te brûle et le simple fait d’être assise te rappel le traitement auquel tu as eu droit. Ton pantalon beige mouillé par les différents fluides laisse apparaître quelques tâches d’humidité. Tu tourne la clef et entend le moteur démarrer au quart de tour alors que la panne de toute à l’heure trouve son explication en un sabotage de ma part. Tu quitte la forêt et rejoins ton appartement à toute allure pour arriver avant ton mari. A peine entrée, dans la chambre que tu entends ton mari arriver. Tu enfile un string, un pantalon et un pull en vitesse sans avoir eu le temps de te débarbouiller pleinement. Le repas de midi est un véritable supplice tant tu te sens souillée et ton cul te fais horriblement souffrir. Tu parviens à sauver les apparences et lorsque ton mari t’embrasse avant de partir travailler, tu ne peux t’empêcher de penser à ce qui est passé dans ta bouche plus tôt dans la journée...

jeudi 22 mai 2014

[Fiction] Une fin de semaine mouvementée

La semaine a été éprouvante et le week-end est plus que le bienvenue. Tes enfants en vacances durant une semaine chez des parents à compter d’aujourd’hui, la maison sera bien grande pour toi et ton mari Will.
Les enfants déposés à la gare et le dur moment des adieux passés, tu rentres enfin à la maison après un bref détour par le supermarché pour concocter un délicieux repas à ton bien-aimé pour cette soirée. Tu t’empresses de ranger les courses avant d’aller te faire couler un bain tout en prenant un verre de vin avec toi. Tu te déshabille et plonge doucement la jambe au milieu de la mousse. L’eau est brûlante, tu y pénètre difficilement mais à peine immergée tu sens aussitôt toute la tension emmagasinée durant toute la semaine s’envoler aussitôt. Tu porte le verre à tes lèvres et laisse le nectar glisser lentement dans ta gorge. Le contraste entre la fraîcheur du liquide et le bain brûlant te donnes le tournis. Tu fermes les yeux et te laisse enivrer par cette sensation. Quelques gorgées supplémentaires et tu t’assoupis…
Un bruit te fait sursauter, l’eau froide a enveloppé ton corps. Tu bondis hors de l’eau et t'emmitoufle dans une serviette. Tu sors de la salle de bain en disant: “Y’a quelqu’un? Will? C’est toi?”.
Tu tends l’oreille et entends du bruit à la cuisine, c’est probablement Will qui prépare le repas. Tu entre dans la cuisine et constate que personne n’est là, les courses sont renversées sur le sol. Tu entends alors un cri étouffé provenant de la salle à manger. Lorsque tu arrive sur le pas de la porte, tu t’arrêtes net en voyant Will, attaché sur une chaise, un bâillon dans la bouche et totalement nu. Au moment où il te voit, son visage se referme aussitôt. De grands yeux t’indiquent de te retourner, mais à peine a tu eu le temps de comprendre que déjà des bras t’encerclent et te projettent au sol. Tes cris et tes mouvements de défense restent vain et tu te retrouve rapidement les mains menottées dans le dos. Will s’agite sur la chaise, impuissant les yeux consternés au moment où je t'agenouilles devant lui. Ta serviette tombe au sol, dévoilant ton corps nu et imberbe. Tes seins sont encore durcis par l’eau froide. Tu rétorques aussitôt: “Lâchez moi! Arrêtez!”. Tu me regarde, mon visage masqué sous une cagoule, me dirigeant vers Will et glissant un couteau sur son torse. “Sois bien obéissante si tu ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose.” Tes yeux écarquillés observe la lame cheminant sur la chair de Will immobile. Tu t’arrêtes aussitôt de hurler, résignée et le regard empli de haine. Je m’approche à nouveau de toi et commence à déboutonner mon pantalon, libérant ainsi ma queue encore molle que je présente devant ta bouche. Ma main agrippe tes cheveux et dirige ta bouche vers ma bite. Will se tente de se libérer et gémis au travers du bâillon, mais tous ses efforts restent vains. Tu ouvres les lèvres et laisse entrer ce morceau de chair qui commence rapidement à durcir et grossir dans ta bouche. En quelques secondes, ma bite et complètement tendue et le rythme s'accélère. Le chemin forcé au plus profond de ta bouche, tu ne parviens pas à contenir ta salive qui s’écoule de ton menton à tes seins. Tu vois Will qui t’observe, le regard stupéfait. Ma queue quitte ta bouche pour faire place à mes couilles que tu lèches avidement au moment où tu sens la lame du couteau glisser sur l’un de tes tétons. Ma queue trempée de salive caresse ton visage avant de s'engouffrer violemment dans ta bouche pour plusieurs minutes. Lorsque ma queue la quitte enfin, tu prends une grande bouffé d’air tout en sentant un morceau de cuir s’enrouler autour de ton cou. Le collier se referme avec le clic d’un cadenas. Je me sers de la laisse qui y est accrochée pour te diriger vers ton mari. J’attache une corde glissée sous ses fesses à ton collier puis enfourne ta tête entre ses cuisses. “Prends sa queue dans ta bouche maintenant!”. Tu prends le membre en bouche. Sa queue est complètement molle, le traitement qu’il te vois endurer ne lui procure aucune excitation. Tu sens alors la corde se tendre et tirer sur ton collier. Ton visage se trouve plaqué contre le pubis de Will, sa queue entièrement dans ta bouche. Je finis  d’attacher la corde pour te maintenir ainsi. Avant de venir me placer derrière toi. J’ouvre tes genoux pour me présenter ta chatte et ton cul. Mes doigts commencent à fouiller ta chatte sans ménagement. Bien malgré toi, ta chatte s’humidifie peu à peu. J’affole ton clitoris à l’aide de caresses rapides et de petites claques de temps à autre. Des gémissements s’arrachent de ta bouche dans laquelle tu sens le membre de Will durcir. J’insère progressivement 2 puis 3 doigts dans ta chatte désormais trempée. Un quatrième fait péniblement son entrée. Les mouvements de va-et-vient que je donne avec ma main en train de te fister, génère un léger mouvement de tête qui continue à faire bander Will. Sa queue envahit le moindre recoin de ta bouche et tu tente tant bien que mal de tourner la tête pour donner un peu d’espace à cette queue étouffante. Vous n’aviez jamais eu de rapports particulièrement inhabituels jusque là, vous limitant aux pratiques les plus courantes. Ma main est entièrement dans ta chatte pendant que tu entends Will gémir de plaisir. Son membre enflé, ses soupirs et ma main t’arrache un orgasme. Tes cris sont atténués par la bite tendue de ton chéri. Ma main quitte ta chatte inondée, s’écoulant le long de tes cuisses. Tes jambes tremblent encore alors que tu sens ma bite s’introduire dans ta chatte brutalement pour quelques aller-retours. Puis elle vient se presser sur ton petit trou. Tu bouge les fesses et tes mains, toujours menottées dans ton dos, tentent d’éloigner ma queue de ton anus. Mais ma bite entre lentement dans ton cul, la mouille de ta chatte encore sur ma queue l’aide à entrer et rapidement ton cul est usé par de longs et rapides va-et-vient. Chaque pénétration créé un mouvement de ta tête autour de la queue de Will. Tu la sens gonfler encore, avant qu’elle n’explose dans ta bouche, Will hurlant d’un plaisir qu’il ne peut contenir. Le foutre chaude envahit ta bouche et s’écoule dans ta gorge. Le reste glisse entre tes lèvres, ne parvenant pas à tout avaler. Ton cul est maintenant bien ouvert et je sors régulièrement ma queue en prenant bien soin de l’écarter avec mes mains pour en admirer sa dilatation. La queue de Will se ramollie enfin, te permettant enfin de soulager un peu ta mâchoire. Sa queue hyper sensibilisée par son orgasme le fait crier de douleur à chacun de tes mouvements que tu ne peux contenir sous les assauts donnés à ton cul. Tout en continuant de t’enculer, je te détache la corde maintenant ton visage plaqué entre les cuisses de Will. Tu relève la tête, aspirant une grande bouffée d’air et observant la queue de Will, irritée et souillée de salive et de sperme. Tu n’oses pas le regarder dans les yeux. Je sors à nouveau ma queue de ton cul et te jette sur le canapé face à Will. Couchée sur le dos avec la tête pendant en arrière dans le vide. Ma queue souillée par ton cul se présente devant ta bouche. Tu détourne la tête, mais mes mains la maintienne bien droite et lorsque je commence à serrer ta gorge, t’empêchant de respirer, tu ouvres grand la bouche et laisse ma bite s’y engouffrer. J’enfonce ma queue au plus profond de ta gorge ce qui te provoque des haut-le-coeur.
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Le rythme soutenu et l’aspiration de ta gorge ont rapidement raison de moi. Ma queue gonfle et je la ressort pour la laisser exploser sur ton visage. De longs jets jaillissent sur ta figure. Puis je la replonge dans ta bouche pour que tu termine de la nettoyer. Lorsque je m’éloigne, tu vois le visage stupéfait de Will,te regardant pleine de foutre, baisée de partout. Je me dirige vers lui et le libère de la chaise en prenant soin de ne pas lui détacher les mains. Je le mets au sol, à genoux, les fesses remontées. Je viens ensuite te prendre par la laisse et dirige ta bouche entre ses fesses. “Vas-y, lèche lui le cul!” Tu refuses, mais lorsque tu sens une baguette en bois venir s’écraser sur tes fesses et t’arracher un cri de douleur, tu commence à lécher le cul de Will. Tes mains sont enfin librérées, seul le collier et la laisse dans ma main te maintienne désormais prisonnière. “Branle le en même temps!”. Tu saisis sa queue pendante et commence à le branler tout en le léchant. Tu as l’impression de le traire…..
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Pendant ce temps, ma main s’invite à nouveau dans ta chatte trempée. Rapidement mon poing en entier est entré et commence à bouger à l’intérieur. Ta langue continue son exploration et la queue de Will est à nouveau gonflée de désir. Je me retire enfin lorsque tu finis par faire jouir Will une nouvelle fois. Son sperme s’écoule lentement sur le tapis de ton salon. Un objet tombe à côté de toi. Tu baisse les yeux et vois un gros gode-ceinture. “Oh non pas ça, pitié!”. Un nouveau coup de baguette s’écrase sur ton cul, puis un autre et encore un autre.
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Les larmes aux yeux, tu saisis le gode-ceinture et le mets. Will te supplie du regard en tentant de te parler à travers son bâillon. 2 coups supplémentaires sur tes fesses et te voilà en train de cracher sur le gode avant de lentement l’entrer en Will qui hurle de douleur. Tu ressors au moindre de ses mouvements  avant qu’un nouveau coup sur ton cul désormais écarlate ne te force à entrer à nouveau. Les coups s’arrêtent lorsque tu sens ma bite entrée à nouveau dans ton cul. Chacun de mes violents coup de reins, enfonce ton gode plus profondément dans le cul de Will.
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Après plusieurs minutes interminable à limer ton cul sauvagement, je ressors enfin et finis par jouir sur tes pieds. “Sors de son cul et mets-toi à quattre pattes!”. Tu obéis, choquée en voyant l’état du cul de ton chéri. S’était à n’en pas douter une première pour lui et à voir le regard méprisant qu’il te lance, il n’a pas apprécié. Je te menotte les mains autour du radiateur. “Venges-toi maintenant!”, Je détache Will qui caresse rapidement sa queue jusqu’à la faire durcir, avant de venir l’enfourner dans ton cul endolori par les multiples assauts subis. Le moindre de ses mouvements est douloureux et t’arrache un cris. Il ne ralentis pas, déversant toute sa colère sur ton cul, humilié par ton traitement précédent. Tu entends alors la porte claquée et constate que je ne suis plus là. “Tu peux arrêter, il est parti.” Mais Will, le regard fou de colère, continu à t’enculer. Après avoir jouis à nouveau, il te regarde, droit dans les yeux, te lançant: “Selon toi, Maya, qui l’avait laissé entrer?” avant qu’un sourire vicieux n’apparaisse sur son visage. Tu resteras attachée ainsi plusieurs heures encore, te faisant humilier et prendre de tous les côtés par Will qui abusera sans relâche de son plan.

mardi 15 avril 2014

[Fiction] La répétition de Véronique

La répétition arrivée à terme bien plus tard qu’à l’accoutumée, tu te dirige vers le parking où est stationné ton véhicule. Tu entends un bruit de pas derrière toi, ce qui te fais accélérer la cadence. Les pas se rapprochent et tu te retourne d’un bond pour faire face au danger. Un jeune homme, vraisemblablement ivre, passe à côté de toi, te déshabillant d’un regard pervers qu’il ne prend pas la peine de masquer. Tu te rends compte qu’habillée avec cette jupe et ce petit chemisier à cet heure ci et dans cet endroit n’est pas un choix des plus judicieux. Tu te retourne et t'empresses de regagner ta voiture. Le bruit de tes talons raisonne entre les bâtiments, seule dans la pénombre. A l’approche de ton véhicule, tu plonges la main dans ton sac à main et en ressort ton trousseau de clefs. Le saisissant, tu voit une carte attachée au trousseau sur laquelle figure simplement un logo que tu reconnais aussitôt.


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Ton corps tout entier s’immobilise et ton pouls s’emballe. Tu sens tes jambes trembler alors qu’une 
main étouffe ta bouche et qu’un bras t’immobilise en te plaquant sur le capot de ta voiture.
Bonsoir Véronique.” entends tu à ton oreille
Tu sens le contact du plastique autour de tes poignets qui irrémédiablement les maintiens de plus en plus fermement l’un contre l’autre derrière ton dos. Un morceau d'adhésif recouvre ta bouche, étouffant tes derniers gémissements. Un bandeau finit par obscurcir définitivement ta vision, déjà floutée par ces évènements. Une main te saisie brutalement par la hanche pour te relever du capot avant de te lancer littéralement dans le coffre de ta voiture. Tu as l’impression que ton coeur va sortir de ta poitrine tellement il bat fort. A peine le coffre refermé que tu sens ta voiture t’emmener vers ton calvaire. T’y voilà, près de 2 mois que tu épiais le moindre mouvement, que tu te retournais au moindre bruit, mais toujours en vain. Et maintenant que tu relâches ta garde, te voilà ligotée et bâillonnée dans le coffre de ta voiture. Le véhicule te maltraite de gauche à droite avant de s’arrêter enfin. Le coffre s’ouvre et après quelques secondes, une main te saisis par les chevaux, posant ta joue sur le rebord de ton coffre. L’adhésif arraché t’extirpe un cris de douleur et de surprise, aussitôt étouffé par un morceau de chair s’engouffrant au fond de ta bouche. Ma bite entièrement dans ta bouche gonfle sans cesse au contact de ta langue. Tu la sens envahir le moindre espace. Tu tentes de te débattre, mais ta tête est maintenue fermement par tes cheveux entre mes mains. Les va-et-vients commencent de plus en plus profondément. Le rythme est tellement rapide que tu ne peux ravaler ta salive que tu sens couler le long de ta joue. Ma bite force encore et toujours le passage au plus profond de ta bouche avant de finir par cracher sa jouissance dans ta bouche.  A peine ma queue quitte enfin ta bouche que le scotch ta bâillonne à nouveau avant même que tu n’aies eu le temps de recracher. Tu sens ensuite ma queue se frotter sur ton visage, essuyant ce mélange de jouissance et de salive, alors que tu avales mon sperme. La bouche pleine de ce goût, le visage souillé, tu te fais projeter à nouveau dans le fond du coffre qui se referme aussitôt avant que la voiture ne redémarre à nouveau.
Ballottée d’un côté et de l’autre, le trajet te paraît interminable. Et lorsque le moteur se coupe enfin, tu es soulagée un bref instant avant que tu ne réalise que le pire est certainement à venir. Ton estomac se noue et lorsque tu entends le coffre s’ouvrir à nouveau, tu te blottis au fond du coffre mais en vain. Des mains t’extirpent de l’habitacle puis te force à avancer rapidement. Le sol est très irrégulier et tes chaussures à talons ne sont clairement pas à leur aise. Les yeux toujours bandés, tu trébuches à plusieurs reprises, mais aussitôt te voilà redressée fermement pour continuer ton périple. Un court moment de répit durant lequel tu entends une porte s’ouvrir et te voilà à nouveau contrainte d’avancer durant quelques mètres.
Arrêtes-toi et agenouilles-toi!
Tu t’arrêtes puis reste immobile, debout, ne sachant pas quoi faire, obéir ou résister.
Quand je te dis de faire quelque-chose, fais-le sans réfléchir!
Tu te sens alors tirer au sol par tes menottes dans le dos. Tu t'écroules lourdement sur tes genoux, le contact avec le sol glacé semble accentuer encore la douleur de ta chute. Le béton est encore plus glacé au travers de tes bas déchirés par endroit à la suite de toutes ses chutes. Le scotch s’arrache à nouveau de ta bouche, te permettant de prendre une grande bouffée d’air pour tenter de retirer ce goût de sperme qui te semble ancré au plus profond de ta gorge.
Tu reconnais immédiatement le morceau de chair qui se presse déjà contre tes lèvres que tu refermes immédiatement.
Suces là!
Non, pitié…” laisses-tu filer entre tes lèvres closes.
A cet instant mon gland s’éloigne et tu sens mes mains empoigner ton chemisier et commencer à le déchirer. Les boutons explosent l’un après l’autre et retombent sur le seul exposant ton soutien-gorge qui se retrouve également déchiré libérant ta poitrine volumineuse que je m’empresse de malaxer fortement.
Non, arrêtez...
Puis te voilà penchée en avant, le visage collé au sol, les mains toujours attachées dans le dos et le cul bien relevé. Je remonte ta jupe autour de tes hanches, dévoilant ton string noir. Les lambeaux de tissus frottent ton corps puis tu sens ton string écraser ton pubis pendant que je l’arrache. Il résiste longuement avant de céder enfin, relâchant la pression sur ta chatte.
Je vais te montrer ce qu’il coûte de ne pas obéir.
Tu sens ma queue se glisser entre tes fesses et venir se presser à l’entrée de ton cul et commencer à forcer le passage pour y entrer irrémédiablement centimètre après centimètre…
Noooon! Pas ça! Donnez la moi, je vais vous sucer, mais pas ça !!!
Trop tard, il fallait obéir avant…
Et ma bite finit de s’enfoncer d’un seul coup au fond de ton cul. Les mouvements de va et vient s’accélèrent rapidement alors que tes mains essaient de me bloquer l’accès à ton anus, mais en vain. Mes mains écartent tes fesses pour entrer encore plus profondément en toi et la cadence s’accélère avec de plus en plus de force. Tes supplications n’ont pour seul effet d’amplifier encore plus l’intensité de mes coups de reins. Ton cul est en feu lorsque je retire ma queue. Je te redresse en te tirant par les cheveux pour te remettre à genoux.
Et maintenant, nettoie moi cette queue.
Sans prendre le temps de réfléchir, tu t’empresses d’enfourner ma bite dans ta bouche. Tu t’applique à la sucer en tentant de faire abstraction de l’endroit où elle se trouvait auparavant. Je dirige ta bouche vers mes couilles que tu lèches goulument puis ma queue recommence à baiser ta bouche violement au plus profond de ta gorge, rendant ta respiration difficile. Lorsqu’elle requitte ta bouche, tu sens de long filets de salive s’écouler de ta bouche et tomber sur ta poitrine. Je te repenche en avant et replonde d’une traite dans ton cul. Tu cries de douleurs et de surprises. Ton cul est violement pénétré pendant d’interminables minutes avant que je ne commence à passer sans cesse de ton cul à ta chatte qui malgré toi laisse s’écouler ton plaisir entre tes cuisses.
Garde ton cul bien ouvert avec tes mains!
Tu t’exécutes aussitôt, me facilitant ainsi l’accès à ton anus. Je vois tes piercings sur les lèvres de ta chattes et profite de les malmener pendant que je te baise en passant d’un trou à l’autre.  C’est alors que je recommence à t’enculer que je parviens à t’arracher un orgasme que tu ne peux contenir et tu jouis dans un hurlement mélangeant plaisir et terreur. Ta chatte est inondée et continue de s’écouler. Ma bite quitte ton cul et après t’avoir couchée sur le dos, vient se branler entre tes seins. Je relève ta tête pour que tu lèche mon gland pendant que je fais des aller-retour entre tes seins avant qu’il ne crache sa jouissance entre tes seins et sur ton visage.
Je te retire les lambeaux de vêtements restant ne te laissant que tes bas déchirés et te transporte vers ce que tu analyse comme étant une table sur laquelle je te couche à plat ventre. Tes chevilles se retrouvent attachées aux pieds de la table et tes mains ne sont libérées que quelques secondes avant de se retrouver attachées aux pieds opposés.

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J’attache un wand body entre tes lèvres et l’enclenche à bonne vitesse. Malgré tes mouvements, l’appareil reste en contact permanent avec ta chatte et continue ses vibrations. Un gros plug vient alors s’enfoncer au fond de ton cul et tu reste ainsi, les yeux toujours bandés. Ne parvenant pas à résister à ce traitement, en quelques minutes, un nouvel orgasme t’es arraché. Tremblante, les jambes dans le coton, tu continue de subir ce supplice. Après d’interminables minutes, la vitesse est réduite au minimum, mais tu es dans un tel état que ces petites vibrations suffisent à elles seules à te faire lâcher prise. Ma bite vient alors se forcer un chemin dans ta bouche. Elle se durcit  peu à peu et une fois dure elle se dirige à nouveau vers ton cul. Le plug est retiré et ma bite te sodomise à nouveau. En à peine 2 minutes, un nouvel orgasme explose. Des jets de cyprine jaillissent de ta chatte… Après t’avoir enculé, je viens jouir dans ta bouche. Une fois terminé je replace le plug dans ton cul et coupe le wand body. Totalement déconnectée du monde qui t’entoure, tu profites de ce moment de répit, ma bite encore dans ta bouche. Tu sens ma queue se ramollir dans ta bouche.
Suces la doucement, lèches là. Ne t’arrête pas tant que je ne te l’ai pas dis.
Tu la suce tant bien que mal, la sentant molle, vidée de tout excitation. De temps à autre mes couilles viennent prendre sa place avant qu’elle ne revienne intégralement dans ta bouche. Après plusieurs minutes, j’allume à nouveau le wand body au maximum. En à peine 30 secondes, te voilà à nouveau trempée. Ma queue toujours molle dans ta bouche te sert de défouloir. Tu la suces avidement pour compenser le supplice. Lorsqu’elle recommence à durcir, tu te rends compte que tu vas avoir droit à un nouvel assaut. Une fois bien tendu, elle quitte ta bouche et vient plonger dans ta chatte trempée. Je la défonce de toutes mes forces, t'arrachant des cris. Chacun de mes mouvements de bassin bouge le plug planté dans ton cul pendant que les vibrations continue leur sévice. Chaque mouvement provoque une décharge électrique dans ton bas-ventre. Tes cris inondent la pièce alors qu’enfin je finis par jouir sur tes fesses. Le sperme coule sur tes fesses alors que ta chatte continue de tremper tes cuisses. Ton corps tout entier tremble… Alors une forte odeur d’alcool vient recouvrir ton nez et ta bouche. La tête te tourne quelques brefs instant avant que tu ne fermes les yeux.
Lorsque tu reprends connaissance, tu es dans ton lit, entièrement nue et durant un faible instant, tu penses qu’il ne s’agissait que d’un rêve pervers et inavouable comme tu en fais parfois. Mais lorsque tu sens le plug toujours enfoncé dans ton cul et que tu vois les marques d’attaches autour de tes poignets, tu réalise que tout ça était bien réel. Tu libère enfin ton cul de cette emprise et te lève pour constater que je ne suis plus présent. Tu referme la porte à clef et fonce sous la douche pour enlever toutes ses traces humiliantes des heures de débauches que tu as passé. Les maltraitances données à ton cul sont telles, que durant toute la journée, chacun de tes pas te rappellera les sévices reçus la veille. A chaque client qui entre dans ton magasin, tu sursaute et reste sur tes gardes de peur que je ne resurgisse, mais avec toujours la même question:
Qui était-ce ?